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Fiche lecture: "la mort est mon métier " de Robert Merle

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acté par le parti. Quelque temps après il se voit dans l’obligation de quitter la ferme pour aller avec sa famille s’installer a Auschwitz. En effet le Reich a nommé Rudolf à la tête d’un nouveau camp de concentration. Les détenus s’entassant, Hitler va donner bien vite l’ordre secret à Rudolf de transformer le camp de concentration en camp d’extermination a gros débit. Ayant gravit rapidement les échelons de la carrière SS Rudolf se retrouve a la tête de ce chantier. En suivant à la lettre les ordres Rudolf exterminait 500 000 unités par ans. A la chute du parti et au suicide d’Hitler ; Rudolf va être interrogé et emprisonné par les américain en attendant son procès.

Jugé une première fois lors des procès de Nuremberg il sera ensuite livré à la justice polonaise pour qu’il puisse répondre de ces actes. Suite au jugement Rudolf sera condamné à être pendu a l’entré de son compte.

Le personnage principal Rudolf Lang.

Le portrait psychologique de ce personnage peut être sondé en deux : d’un coté un enfant craintif et de l’autre un adulte sans sentiment. Mais il va s’en dire que l’un ne va pas sans l’autre : en effet c’est l’enfance de Rudolf qui a forgé son caractère et sa personnalité quelque peu atypique.

Enfant ce jeune adolescent de 13 ans paraissait craintif et peureux. Sa vie était rythmé à la seconde prés ; en effet dans son comportement on ne retrouve aucune spontanéité, chacun de ces mouvement et pensé et murement réfléchi. Il apparaît comme un enfant qui a peur de faire quelque chose d’inhabituel, cette dépendance est tellement présente qu’il panique complètement quand les fait sont inhabituel ou quand quelque chose qu’il a l’habitude de faire est mal fait, il va jusqu'à répéter le mouvement plusieurs fois pour ce punir (ex les pas qu’il fait dans la cour , il ne faut pas le dérangé car il doit faire autant d’aller retour par jour pour assouvir son obsession.) Il se rattache a quelque chose de familier pour aller mieux pour se réconforter (ex quand il cire ces chaussure quand il a un problème ou réfléchir dans le froid la fenêtre ouverte habitude qu’il tient de son père)

Un parti de sa personnalité d’enfant craintif est surement le résultat de son enseignement catholique intensif. En effet ce jeune garçon a été embrigadé dans la religion catholique depuis sa plus tendre enfance par son père. Celui-ci l’emmenait a la messe chaque matin, il avait déjà choisit la voix de son fils celle de rentrer dans les ordres pour apparemment expier un mystérieux péché qu’il avait commis dans sa jeunesse a paris. Sa dépendance à la religion était tel que le jeune Rudolf ne pouvait entrer dans les toilettes sans avoir peur de la gravure du diable qu’il y avait sur le mur.

En grandissant il comparera les juif qu’il déteste depuis son enfance (éducation de ces parents) a cette gravure du diable.

Par la suite quand il deviendra adulte Rudolf sera tellement dessus par la religion qu’il refusera d’en entendre parler, au point même de ce déclaré sans religion.

Son caractère d’adulte est le reflet évolué de celui qu’il avait étant enfant, certes il n’est plus craintif et peureux tel qu’il l’était dans son enfance mais il a gardé les crises de panique qu’il avait quand il était petit (celle-ci se sont répété quand il n’avait plus rien et qu’il était au chômage avant de tenter de se suicider)

C’est un adulte droit et frigide qui n’exprime aucun de ces sentiments, il est à l’image de son père. Comme quand il était enfant il obéit à tous les ordres de ces supérieurs tel un pantin tiré par des ficelles. C’est a cause de cette loyauté démesuré que Rudolf a réussi à exterminer autant de personne sans ressentir une once de remord ou de culpabilité. Dans son esprit ce n’était qu’un ordre qu’il se devait de suivre. On parle très peu de ses enfant et de sa femme mais le seul moment ou l’on croit apercevoir un peut d’humanité dans ce personnage c’est quand sa femme découvre son terrible secret, humanité qu’il n’est pas capable d’exprimer d’ailleurs. On ne peut pas considérer ce personnage comme une victime car il aurait put se rebeller mais ne ressentant aucun sentiment il n’a put dire non. C’est un homme formaté qui obéit aux ordres d’un supérieur. On ne peut que blâmer se personnage mais il est le résultat d’une enfance malheureuse et détruite par un amour des parent non exprimé et quasi absent...

Il y a très peu de description physique mais au fil du roman on arrive à se forger une image du personnage par les indications de l’auteur. Enfant on le décrit comme petit et maigre on sait qu’il est plus petit en taille que ces sœur. Plus tard adulte il est décrit plus petit que la plupart des hommes mais puissant donc avec une musculature conséquente (ayant fait l’armé). On sait aussi qu’il est brun mais l’auteur ne s’attarde pas plus sur la description physique qui est supplanté par une description mentale beaucoup plus poussé.

Description partielle d’Elsie sa femme.

Elsie est la femme de Rudolf, elle parait comme un être tendre qui aime son mari et qui lui et fidèle mais on ne sait pas réellement le font de sa pensée ; en effet la jeune femme n’exprime jamais ses sentiment envers son mari mais d’après son attitude consiliente et bienveillante on suppose qu’elle tient réellement a son mari. C’est d’ailleurs la seul personne qui vit au contact de Rudolf or mis elle il n’a personne pas d’amis il l’a juste elle. Cette union au départ désapprouvé par Rudolf c’est avéré plutôt réussi car elle aura donné naissance à 3 enfants.

La description d’Elsie n’est pas très précise non plus en effet on sait qu’elle a les cheveux blond et qu’elle est plus grande que son mari.

Description partielle de son père.

Son père est présent au début de l’histoire dans son enfance dés le début du récit il est déjà décrit comme quelqu’un d’un certain âge avec la santé fragile : il tousse beaucoup d’ailleurs il décède en 1914. Il est représenté comme un homme autoritaire, droit, sévère, et qui ne tolère aucun excès. A ses yeux la religion est très important en effet de nombreuse prière rythme sa vie au quotidien : la messe le matin, les prières au déjeuné et au diner. On le découvre comme un être inaccessible du fait qu’il est peu bavard. De plus il n’entretient pas beaucoup de contact avec sa famille : Rudolf ne le voit quasiment jamais en dehors de la prière et du repas,

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