Internet, 3ème consommateur mondial d’énergie après la Chine et les États-Unis
Cours : Internet, 3ème consommateur mondial d’énergie après la Chine et les États-Unis. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Arthur Kasperzec • 31 Mai 2018 • Cours • 2 290 Mots (10 Pages) • 824 Vues
Introduction :
Internet, 3ème consommateur mondial d’énergie après la Chine et les États-Unis
Le capital social, ce n’est pas ce que vous connaissez, mais qui vous connaissez !
Consommer avec du sens
La marque devient facilitateur d’échange (brand utility)
La disruption : 3 caractéristiques de la disruption :
- Pair à pair / pas d’intermédiaire
- S’appuie sur le web 2.0
- Favorise l’usage à la propriété des biens
Acquier : la disparition d’un espace de travail géré par l’employeur, amène à l’indépendance hiérarchique mais à la dépendance économique.
Empowerment du consommateur : le consommateur a de nouveaux leviers d’influence, de pression, de contrôle indirectement sur les marques et les entreprises. La confiance est sa monnaie d’échange.
La loi va en ce sens de consommation responsable :
- loi de transition énergétique pour les investisseurs (avril 2016) : publication obligatoire des informations sur leur politique ESG sur les enjeux climat (Environnemental, Social et de Gouvernance) pour ceux gérant plus de 500 M€ d'actifs
- devoir de vigilance des sociétés mères
Robolution : menace pour les emplois (47% des emplois au Etats Unis) et 9% des emplois dans le monde
Bulle filtrante : état dans lequel se trouve un internaute lorsque les informations qu'il recherche sur Internet sont le résultat d'une personnalisation mise en place à son insu (Elie Pariser)
Fake news : informations délibérément fausses ou truquées émanant d'un ou de plusieurs médias. Elles participent à des tentatives de désinformation avec l'intention d'induire en erreur dans le but d'obtenir un avantage financier ou politique (Putaclic).
Métier : ensemble de compétences et de savoir-faire, dont la maîtrise permet à l’entreprise d’être présente sur plusieurs segments stratégiques.
Domaine d’activité : fait référence à l’offre et au marché
Opportunité stratégique : élément de l’environnement d’une entreprise qui peut être exploité.
Menace stratégique : caractéristique de l’environnement qui affectera la compétitivité d’une entreprise et de ses concurrents.
FCS (côté marché) : Attributs qu’une entreprise doit nécessairement avoir pour dépasser le niveau de rentabilité moyen dans lequel elle opère.
Compétences distinctives (en interne) savoir-faire etc… qui font l’avantage concurrentiel.
But de la business strategy : maximiser la performance dans une activité donnée. Mieux capter le potentiel de profit que les concurrents
But de la corporate strategy : maximiser la valeur globale de l’entreprise en choisissant les activités dans lesquelles investir.
Une entreprise est intégrée quand elle couvre la totalité des stades d’un filière (intégration verticale complète – versus partielle)
La politique : base de la stratégie :
Mission > objectif > analyse (interne + externe) > décision >mise en œuvre > avantage concurrentiel
La politique générale : intentions durables de l'entreprise concernant la nature de son activité et ses liens avec ses parties prenantes. C’est un ensemble de principes et de normes.
Culture d’entreprise : c'est ce qui fait que chaque organisation est unique, elle permet de maintenir une cohésion du personnel dans le but de devenir un facteur de performance.
L’entreprise est un lieu de conflits : pas d’entreprise sans pouvoir :
- 11% de salariés engagés
- 61% de salariés désengagés
- 28% de salariés activement désengagés
Les leaders :
3 objectifs du leader : donner une raison d’être du groupe ou de l’entreprise, gérer les systèmes sociaux (encourager l’esprit de communauté), consolider les valeurs (élites porteuses en interne)
Leaders authentiques : entretiennent et consolident la dignité, la valeur et l’efficacité d’un individu en créant de bonnes conditions de travail). Ils encouragent la communalisation (relation sociale basée sur un sentiment d'appartenance, telle que la famille ou la nation) dans :
- Le recrutement (base sociale)
- La formation (socialisation)
- Définition des rôles et des procédures
- Les systèmes de gestion des conflits
Les meilleurs leaders : selon Bennis et Nanus 1985 ont une capacité à
- Être visionnaire
- Communiquer cette vision
- Gagner la confiance des membres de l’organisation
- Comprendre ses points forts et les exploiter (c’est l’auto-déploiement)
Le leader a aussi besoin d’intelligence émotionnelle. 90% des écarts de performance entre les dirigeants proviennent de leur capacité à contrôler leur affect, à avoir de l’empathie et des rapports humains normaux. DONT PICK A JOB PICK A BOSS
6 qualités du manager bienveillant : humilité, empathie, sens de l’humour, reconnaissance, authenticité, intégrité.
Les leaders toxiques : Theo Veldsman (2016) les classifie et les oppose aux leaders authentique.
Les avantages financiers : découragent la moralité (on cherche sa propre réussite sociale)
Sociologie de la déviance et 5 « techniques de neutralisation » pour se protéger :
[pic 1]
La stratégie :
Elle traduit les choix fait grâce à la politique de l’organisation (domaine d’activité stratégique (DAS), plans d’actions, ressources nécessaires à atteindre les objectifs). Le processus conduit l’entreprise à construire et cultiver un avantage concurrentiel.
L’avantage concurrentiel inclut : les axes stratégiques (i.e. les orientations futures avec un modèle économique), leurs mises en œuvre, et leurs évaluations.
2 niveaux de stratégies :
Stratégie concurrentielle (business strategy), ce qu’il faut faire pour créer de la valeur i.e. les FCS
Stratégie de portefeuille (corporate strategy), portefeuille des activités de l’entreprise
Le business model (Selon Lehman et Ortega 2014) se décline en 3 éléments :
- Architecture de valeur (chaine de valeur interne et externe),
- Proposition de valeur pour le client,
- Équation de valeur (structure de couts)
On peut opposer les modèle d’affaires conventionnelles et les nouveaux modèles d’affaires (inspiré par Jan Junker et la Weconomy) :
[pic 2]
Couts complets :
Couts total de l’activité, dont les couts élémentaires sont conception, achat, fabrication, distribution, promotion, SAV, coûts administratifs et financiers
[pic 3]
Mais on a tendance à négliger les autres couts (sociaux, environnementaux etc…)
Chaîne de la valeur :
Elle permet :
- D’analyser comment chaque activité élémentaire (techniquement séparable) contribue à l’obtention d’un avantage compétitif et la valeur que les clients attribuent à l’offre
- D’évaluer les coûts qu’occasionnent les différentes activités
- De travailler sur le management du lien entre ces activités
« Business system » de M. Porter
- Activités principales (approvisionnement, fabrication, distribution, marketing/ vente, SAV)
- Activités de support (GRH, R&D, achats, administration)
[pic 4]
Problème de l’intégration de l’intangible :
Goodwill : différence entre l‘actif du bilan d'une entreprise et la somme de son capital immatériel et matériel valorisée à la valeur de marché.
Comment valoriser des valeurs difficilement chiffrables ?
- Valeurs sociales
- Valeurs environnementales
Il faut donc :
- Elargir les frontières du système à l’ensemble des acteurs de la chaine de valeur
- Créer de la valeur pour toutes les stakeholders
Materiality Matrix : A materiality matrix enables a company to decide which CSR (corporate social responsibility) initatives to invest in. The total value created by a CSR initiative can broadly be broken down into business and societal values
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