Introduction de commentaire sur L'Obéissance de François Sureau
Commentaire de texte : Introduction de commentaire sur L'Obéissance de François Sureau. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Oranda • 16 Septembre 2020 • Commentaire de texte • 345 Mots (2 Pages) • 717 Vues
Français
Introduction de commentaire littéraire
François Sureau à la base était à la haute fonction publique puis la quitte pour devenir écrivain et avocat. Auteur de nombreux romans, essais et recueils de poèmes et de nouvelles, il s'est engagé depuis plusieurs années pour la défense des libertés publiques.
François Sureau naît en 1957 à Paris. Il appartient à un milieu très bourgeois et a étudié dans un lycée très réputé. François Sureau a fait ses études en sciences politiques à Paris puis a poursuivi en faisait l’ENA en prenant la mention « droits de l’Homme ». Suite à cela, il devient haut fonctionnaire au conseil d’Etat parce que c’est un juriste. Puis, il monte son propre cabinet d’avocat et devient écrivain. François Sureau est un écrivain qui va essayer tous les genres : poésie, économie, politique… Cet homme a créé les droits juridiques d’En Marche.
C’est un extrait des pages 72 et 73 où le lieutenant Verbrugge dans une lettre au registre réaliste lors de la première guerre mondiale, décrit la ville de Dreuil. Verbrugge et ceux qui l’accompagnent de dirigent à Furnes où ils doivent traverser la zone d’occupation Allemande. Cependant, une fois arrivé, il constate que la ville a été littéralement détruite par la guerre… De nombreux indochinois ramassent les cadavres des défunts tombés pendant la bataille, ils les séparent en deux, d’un côté les militaires, et de l’autre, les civils. Pourtant, malgré la violence de la scène, Verbrugge reste indifférent devant celle-ci. Dans cette lettre on apprend que même lui et le capitaine Loth ne savent qui de leur camp ou de celui des ennemis a commis ces horreurs, ce qui nous dévoile l’absurdité de la guerre.
Comment Verbrugge décrit-il la ville de Dreuil ?
Tout d’abord, nous verrons que Verbrugge à travers la description de la ville démontre la déshumanisation et l’absurdité de la guerre. Ensuite, nous verrons qu’au passage du ramassage des corps on découvre une ville sans vie et enfin nous verrons que toutes les horreurs découvertes par le Lieutenant ne lui provoquent aucune compassion.
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