Pourquoi Nous Trompons Nous ?
Recherche de Documents : Pourquoi Nous Trompons Nous ?. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoirespas rendre raison à une erreur, neanmoins nous n'aurons aucune difficulté à souligner la positivité de l'erreur puisque ne se trompe que celui qui cherche la vérité, et la vérité à besoins de l'erreur pour apparaitre, et ceux qui n'axeptent pas l'erreur, qui n'acceptent ni la possibilité de l'erreur ni la possibilité de corriger l'erreur sont anti-démocrates, parce qu'ils croient en une vérité absolue .
De plus l'erreur n'a pas de but, de raison d'être, ni de sens donc il ne peut y avoir des conséquences mais des causes. On peut par exemple se tromper par incompréhension, par manque d'experiences ou d'information qui nous emmène à de l'imprécision ou à de la confusion, et donc par négligence. Comment expliquer cette négligence (igniorance du vrai ou du bien) ? Dans ce cas, l'erreur est involontaire. En effet selon Jacques Lacan psychanalyste francais, les trois dimentions constitutives du sujet sont : le Réel l'Imaginaire le Symbolique. On peu penser que c'est l'imaginaire (donc l'illusion) qui assure la consistance de l'ensemble. Comme telle, l'erreur serait plutôt en rapport avec le Symbolique, tandis que l'illusion serait le propore de l'imaginaire et enfin l'hallucination serait l'apparence du réel. Ainsi pour Lacan l'erreur à un rapport avec l'imaginaire et aussi le desir.
En effet Freud explique dans son oeuvre "L'avenir d'une illusion" que ce n'est jamais par hasard que nous faisons erreur. En effet on peu y voir une origine inconsciente sucité par le desir. Par exemple selon les conceptions de la psychanalyse, l'acte manqué qui s'apparente à une erreur, un raté dans une action aisée, s'avère un acte réussi. Il s'agit en fait de la réalisation d'un désir inconscient; Le sujet croit échouer, mais éprouve en réalité une satisfaction pulsionnelle inconsciente. Par exemple dans un groupe, faire durer une conversation avec une personne afin (inconsciemment) de ne pas avoir à discuter avec une autre personne présente. Ou encore rater un avion afin de repousser le moment des adieux.
Enfin, on s'interesse à l'analyse cartésienne de l'erreur. D'où viennent nos erreurs ? Descarte est formel. Pour lui toute erreur est par définition une erreur de jugement et doit étre attribuée à la volonté qui juge, et cette volonté est infini. En effet Descarte fait une distinction entre entendement et volonté :" Maintenant pour ce qui concerne les idées, si on les considére seulement en elles-mêmes, et qu'on ne les rapporte point à quelque autre chose, elles ne peuvent, à propremenet parler, être fausses; car soit que j'imagine une chèvre ou une chimère, il n'est pas moins vrai que j'imagine l'une que l'autre" L'entendement conçoit et la vonlonté juge. Notre faculté de juger, donc de décider ou de nier est infini, par consequent notre cpacité de nous tromper est aussi infini. Cette conception cartesienne de l'erreur à une dimention morale assez facile à percevoir; En effet, si notre volonté est libre, et si c'est la volonté qui se trompe, alors nous sommes evidement responsable de nos erreurs. Et d'une certaine maniere ici l'erreur est une faute et est inevitable. Celui qui ne ne se risque pas à juger, celui qui ne cherche pas la vérité ne se trompe jamais. Descates sait combien l'erreur est inevitable et ncessaire car, contrairement aux philosophe de l'antiquité qui palaient sur un savoi fixe et éternél, Descartes, lui, pariait déjà sur un progrés possible de la connaissance.
Alain, philosophe Francais du début du siecle soulignait la positivité de l'erreur et lui trouvait une certaine grandeur :" quiconque pense commence toujours par se tromper d'abord tout autant qu'un autre (...) toutes noes erreurs sont des jugement téméraires, et toutes nos vérité, sans exeptions, sont des erreurs redessées" Ainsi l'erreur à une dimention morale.
Ainsi dans deux parties nous avons tenté de répondre à la question pourquoi faisons nous des erreurs ? Maintenant nous allons tenter dans une seconde partie de répondre à cette question pour quelles raisons nous mentons/trompons nous les uns les autres ?
Que le rapport à la vérité puisse être compomis avec le désir explique que la mauvaise fois, c'est à dire une tromperie plus ou moins intentionnelle, domine ou parasite l'usage que nous faisons de la vérité. En effet couramment le mensonge désigne une assertion contraire à la vérité, énoncée avec l'intention de tromper l'interlocuteur. En ce sens, il n'est pas opposé à la vérité, mais à la véracité, caractérisé par l'action de dire vrai. La vérité n'est pas un objet
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