Francaiis
Note de Recherches : Francaiis. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiressuivit des cours au Bauhaus de Budapest, où régnait une grande foi dans le progrès technique. Il s'opposait avec véhémence à l'idée de l'artiste comme personne égocentrique ; comme dans l'œuvre de nombre de ses contemporains plus jeunes des années 1960, il n'y a aucun indice de l'artiste dans ses tableaux. Zebra, peinture de 1938, est exemplaire à ce propos : entièrement constituée de bandes diagonales noires et blanches tordues d'une manière à donner une impression tridimensionnelle d'un zèbre assis.
Le G.R.A.V.[modifier]
À partir de 1961, en France, les six artistes du G.R.A.V. (Garcia-Rossi, Le Parc, François Morellet, Sobrino, Stein et Jean-Pierre Vasarely, dit Yvaral) vont pousser très loin l'utilisation de la lumière artificielle et des nouveaux matériaux. Morellet, quant à lui, va explorer le système des « trames » d'abord dans la peinture et, peu après, dans les trois dimensions avec la Sphère-trame de 1962 (voir Biblio.[3] p. 77). Dans les tableaux noirs et blancs réalisés au milieu des années 1960, l'artiste britannique Bridget Riley introduisit de légères modifications au sein de structures géométriques. Ces œuvres déclenchaient des phénomènes d'oscillations et des ondulations optiques. Les pratiques du G.R.A.V. et de Riley étaient particulièrement désorientant et insupportable pour les admirateurs de l'abstraction géométrique, issue du cubisme qui était fondé sur une composition équilibrée, et de l'expressionnisme abstrait dont le succès faisait les beaux jours de l'école de New York et qui exprimait la complexité de l'homme et du monde modernes.
Sur un plan plus sociétal, les artistes du G.R.A.V., partant du principe que l'œuvre d'art ne renvoie qu'à elle-même, affirment que sa conception doit être expérimentale et s'appuyer sur les connaissances scientifiques de la perception visuelle. Ils réagissent contre l'image traditionnelle de l'artiste inspiré et le culte de l'œuvre unique (voir Biblio.[3] p. 76). Moins d'un an après l'exposition de Riley en 1964 à la Richard Feigen Gallery à New York, l'op art était connu en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Cette célébrité n'était pas due à une augmentation soudaine de la fréquentation des galeries, mais au fait que les procédés visuels des artistes furent repris presque immédiatement par le monde de la mode et du design graphique. Soudain, des dessins d'op art étaient partout, adaptés sur toute sorte de produits.
|INTRODUCTION |
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|Déf grale |
|OP ART (fr) = OPTICAL ART (usa) |
|fait partie du mvt art cinétique |
|exploitat° D effets + illus° optiques ds D construct° en 2D |
|influences diverses (début du XXème) |
|- Cubisme |
|- Orphisme |
|- Constructivisme |
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|-1ère apparition de l’op art ds exposition « The responsive eye » en 1964 au Muséum d’art moderne de New York = reconnaissance officielle. |
|Mvt existe depuis fin années 50 |
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|* Victor Vasarely, Bridget Riley = principaux artistes de ce mvt. |
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|Contexte hist. |
|-------> après guerre => recherches scientifiques intenses armes nucléaires, 1ers ordinateurs, puissance microscopes… |
|------> contexte socioculturel (art) -> recherches scientifiques autour de oeil |
|Op art et art cinétique s’inspirent de optique et de physiologie de la perception. |
|-différents mouvements se côtoient => volonté de se démarquer/ autres arts |
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|L'Op'art est un courant international. |
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|FRANCE : Josef Albers + Victor Vasarely |
|GRANDE BRETAGNE : Bridget Riley |
|ETATS-UNIS : Richard Anuszkiewicz
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