La Conscience
Documents Gratuits : La Conscience. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoirest, et l’individu ne peut donc être totalement conscient de qui il est.
Tout d’abord, un individu est bien conscient de lui-même dans plusieurs aspects. L’individu a une conscience de ses actions, conscience morale, et possède des connaissances privilégies à son sujet. Ensuite, une personne a une conscience de son existence, une conscience de l’individu, et une conscience d’appartenance. Il est conscient de son existence et de ses actions, mais il a aussi une conscience morale, une conscience du concept d’individu et une conscience d’appartenance. L’individu a également un accès privilégié à son entité, car celui-ci possède une connaissance de soi qu’aucun autre individu ne possède vraiment.
C’est ainsi qu’en se posant une telle question, certains penseraient immédiatement « qui de mieux placé que soi même, pour se juger? ». En effet, parce qu’un individu est son propre juge, celui-ci peut donner place à jugement particulier. L’individu connaît plusieurs éléments à son propos, qu’autre ne connaitrai pas forcément. Les autres individus ignorent plusieurs aspects d’un individu, mais l’individu en question même en sera conscient.
Une personne peut toujours obtenir la meilleure note parmi les dissertations de philosophies qui sont à faire à la maison, et prétendra être le meilleure en philosophie. Mais cet individu qui prend en fait ses dissertations de l’Internet
est le seul à savoir vraiment qu’il n’est pas doué en philosophie. Le fait qu’on est son propre juge permet de franchir le mur du mensonge, de la prétention, de l’hypocrisie et donne une meilleure connaissance de soi à l’individu. La connaissance que chaque individu a de soi, privilégie cet individu et lui permet de bien se connaître.
Les humains sont également conscients de leurs actions et ont une conscience morale. Dans son poème « La Conscience », Victor Hugo nous raconte l’histoire de Caïn, un homme qui veut cherche refuge d’un œil qu’il ne cesse de voir quelque soit l’endroit qu’il est et qui le tracasse. Ce poème nous confirme donc non seulement la conscience qu’un homme a de ses actions, mais aussi la conscience morale qu’il possède. En effet, cet œil symbolise la culpabilité que ressent Caïn vis-à-vis une action qu’il a commise précédemment. Cet œil qu’il observe, ce n’est pas ses yeux qui le voient, mais c’est sa conscience. Le fait que Caïn n’arrive pas à faire l’œil disparaître symbolise aussi le fait que la conscience humaine ne peut se séparer des humains. C’est d’une certaine manière l’union indivisible du corps et de l’esprit. La manifestation d’une conscience morale s’observe entre autre par les principes de plusieurs religions, dont le christianisme, lors de la confession et du pardon. On peut donc affirmer que l’Homme possède non seulement une conscience de ses actions, mais aussi une conscience morale.
Ensuite, par le simple fait de se poser des questions, de penser, de philosopher, le locuteur fait preuve d’une conscience. Si celui-ci se pose de telles questions, c’est qu’il est conscient de la vie et de son existence.. C’est par ce principe là, que Descartes dit « Cogito ergo sum » (« Je pense donc je suis »). C’est par ce qu’il est conscient de son existence qu’il se pose des questions pareilles. Il ne lui serait pas possible de se poser de telles questions sans être conscient de son existence. Ainsi il peut ainsi être certain de son existence, et tout individu peut donc déjà affirmer qu’il connaît certains aspects de lui même.
En se rendant compte qu’il existe, l’individu cherche à comprendre son existence, et sa place dans le monde. C’est ainsi que tout personne a un concept plus ou moins développé de ce qu’est un individu. La conscience de l’individu est ce qui permet à une personne de comprendre qu’il est un individu, et que son voisin est un autre. Il permet à l’individu de mettre une division entre lui et le monde qui l’entoure.. Cette personne comprend aussi qu’il possède ses propres pensées et sentiments, désirs, particularités, et sa propre nature. Il sait qu’il a certaines particularités que d’autre n’ont pas, et que chaque individu est unique. Le simple fait qu’il choisi d’employer des mots à la 1ère personne, tels que « je » et « moi », démontre qu’il a une conscient de son individualité. Il est capable d’employer la 1ère personne lorsqu’il il le faut, et la 2ème et la 3ème personne, lorsqu’il il le veut. Pour faire cela, il a forcement une conscience de son individualité, dans le monde. Cette conscience d’individu nous est bien confirmée par le fait que l’on donne des prénoms aux gens. Cela permet de distinguer plus facilement un individu d’un autre, surtout lors d’une communication. Ainsi, l’individu possède une conscience qui permet de le différencier du monde, et qui met en évidence son aspect unique qui le caractérise.
De la même manière que l’individu est capable de se distinguer d’un autre individu par ses différences, l’individu en est venu à être capable de reconnaître ses ressemblances avec un autre individu. Entre autres, une des conséquences en est l’apparition d’une certaine conscience d’appartenance à un ou plusieurs groupes. L’individu est sait identifier les ressembles qu’il a avec autrui. Cela s’observe dans la vie commune de tous les jours. Souvent, un ensemble d’individu qui vit sous le même toit, ont un lien de parenté étroit qui les relis. De même, les individus appartenant à la même famille, possèdent en générale le ou les noms de famille de leurs ancêtres. Cela s’observe dès l’Antiquité chez les romains, qui possédaient tous l’équivalent d’un nom de famille dit « gentilice». Cela est une conscience de parenté. Un autre exemple à plus grande échelle est la création de l’état d’Israël. La création de cet état est à l’origine, un désirs de plusieurs juifs à travers le monde, de vivre dans un état dans lequel les juifs ne seraient pas minoritaires, et n’aurait plus à craindre autant de la discrimination (ce n’est pas l’unique motif de la création de l’état d’Israël, mais un des plus importants). Un tel désir est bien preuve d’une conscience d’appartenance. Si il n’y avait pas ce sentiment d’appartenance, ce désirs qui existait en communs ne se serait jamais manifesté d’une telle manière, et l’état 0d’Israël n’existerait peut être pas aujourd’hui. Cette conscience d’appartenance est donc présente chez tout individu, et permet de dire que l’individu encore une fois n’est pas un étranger pour lui même.
C’est ainsi que l’on peut affirmer que l’Homme est conscient de plusieurs aspects à son sujet. Tout cela commence par sa conscience d’existence, puis sa conscience d’individu, suivi de sa conscience d’appartenance, et enfin de la connaissance privilégiée qu’il a de lui même. L’Homme se connaît donc déjà très bien, et n’est un étranger pour lui même.
Néanmoins, l’Homme a souvent fait des erreurs dans ses manières de voir la réalité. Tout d’abord il faut se questionner sur le fait que le locuteur est à la fois l’acteur et le sujet jugement. Nous verrons ensuite la pertinence et la validité de nos connaissances. L’Homme a déjà gardé à plusieurs reprises une idée fausse dans son esprit, sans vraiment sans se questionner sur la validité de leurs fondements. Cela nous amène bien à se questionner s’il n’y aurait pas certains aspects qu’on ignorerait sur soi, et sur la validité de ce que nous affirmons connaître de soi. Certaines découvertes ont bouleversé le monde, et d’autre qui ont bien mis en évidence certains aspects infatués des humains. C’est ainsi que la théorie de Freud de l’inconscient, devint la 3e blessure narcissique. Les hommes ont toujours cru être supérieur à l’animal par leur conscience. Ils pensaient que par leur conscience, qui les caractérise, ils se connaissaient bien ; ils pensaient qu’ils savaient qui ils étaient. La révélation de cette théorie bouleversai les hommes, et les poussa à mieux connaître cet aspect inouïe, qui supposément influençait quotidiennement les individus.
Tout d’abord, il est essentiel d’avoir un point de vue objectif. Or, avoir une connaissance objective de soi est difficile. Presque toutes les connaissances qu’on a de soi même passent à travers le filtre de l’opinion et la subjectivité. Une personne qui observe son voisin jeter ses déchets dans la rue, pourrait juger son action comme étant male, alors que s’il le faisait à son tour le lendemain, il aurait plutôt tendance à chercher une raison pour justifier sa mauvaise action et aura donc un jugement moins critique sur lui même. C’est ainsi que l’on peut exagérer, ou amoindrir la valeur de certains de nos caractères ou actions. De même, plusieurs autres facteurs peuvent faire en sorte
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