Retrospective 2011
Note de Recherches : Retrospective 2011. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresrnement Leterme II en affaires courantes. Et ce gouvernement, même en affaires courantes ne s’est pas croisé les bras. En juillet 2010, deux semaines après les élections, la Belgique héritait pour six mois de la Présidence de l’Union européenne.
On avait peur qu’à cause de la crise politique, la Belgique ne puisse pas assumer correctement sa présidence. Mais finalement, tout s’est passé au mieux. Tous les eurodéputés ont même félicité la Présidence belge pour le travail accompli pendant ces six mois. Certains ont même dit qu’à cause de la crise, les Ministres avaient été plus disponibles pour les affaires européennes.
En mars 2011, le gouvernement en affaires courantes a voté le budget du pays pour 2011. Un budget difficile car l’Union européenne exige que le déficit public ne dépasse pas 3,7% de déficit. Et ce budget a fait mieux. Le gouvernement a même réussi à prolonger les mesures anti-crise.
Enfin, le gouvernement en affaires courantes a voté l’envoi de soldats belges en Lybie. Et plus récemment, le Premier ministre en affaires courantes Yves Leterme et la ministre de l'Intérieur Annemie Turtelboom se sont réunis pour organiser la sécurité du pays après la mort d’Oussama Ben Laden, le numéro un de l'organisation terroriste Al-Qaïda.
Pourtant, le gouvernement fédéral en affaires courantes ne peut pas tout faire. Par exemple, il ne peut pas décider d’investissements financiers importants, ni de grandes réformes. Cela pose des problèmes notamment dans le domaine de la justice.
Les Régions et Communautés
Si la Belgique n’a pas de gouvernement fédéral depuis un an, elle a quand même d’autres gouvernements élus qui ne sont pas démissionnaires et qui travaillent normalement. En effet, la Belgique est composée d’entités fédérées : les Régions et Communautés.
Par exemple, la région wallonne a adopté son plan Marshall 2.vert. Ce plan prévoit que 30% de l’énergie produite en 2016 soit de l’énergie verte.
La région wallonne a aussi décidé de consacrer 600 millions d’euros pour les routes et 900 millions d’euros pour le logement soc
Mon avis : Cet article reste pour moi très subjectif car il ne relate que le côté positif de la crise. En effet, malgré la crise du gouvernement belge, le pays a continué à fonctionner, nous avons eu l’opportunité de dirigé l’union européenne pendant 6 mois et ceci sans le gouvernement fédéral du pays. Mais il faut bien se rendre compte que le gouvernement fédéral s’occupe des finances, de l’armée, de la justice, de la sécurité sociale, dette publique, pour l’intérêt général des belges, il décide des grandes lois de la protection sociale c’est-à-dire du chômage, pension, allocations familiale ou encore des assurances maladies. Pour les compétences appliquées par le fédéral, la crise n’a pas été favorable.
Nos dirigeants ont mi 18mois pour former un gouvernement, après des négociations entrepris entre francophones et flamands incapable de s’entendre sur le budget de 2011 mais surtout sur le dossier BHV. Je pense que cette crise n’a servi qu’à ternir notre image face aux yeux du reste du monde et à provoquer la délocalisation de certaines entreprise tel que Arcelor Mittal. Le gros problème de la crise belge est que la Flandre veut être indépendante et avoir pour elle, Bruxelles, Hall Vilvorde au détriment de la Wallonie car elle consciente que l’économie du pays est centré dans ces régions-là. J’espère que le nouveau gouvernement du premier ministre Di Rupo tiendra longtemps pour le bien du pays mais surtout pour tous les belges capable de vivre tous ensemble dans le respect de l’autre.
Emeutes en Côte d’ivoire :
Deux présidents rivaux, une menace d'attaque ouest-africaine, des risques de nouveaux affrontements internes: la Côte d'Ivoire entame l'année 2011 en pleine crise.
Près de cinq semaines après la présidentielle du 28 novembre qui devait pourtant ouvrir une nouvelle ère à l'issue d'une décennie de tourmente politico-militaire, les Ivoiriens échangeaient des vœux de santé, de prospérité mais aussi de paix pour la nouvelle année. Car les dangers sont à la mesure de l'impasse.
Certes, l'organisation ouest-africaine de la CEDEAO tenter une nouvelle manœuvre pour résoudre la crise ivoirienne, selon un communiqué officiel reçu samedi. "La Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest va décider de nouveaux pas d'ici mardi de la semaine prochaine après avoir reçu des rapports de ses émissaires", détaille le communiqué.
En attendant, bien installé dans son palais d'Abidjan, Laurent Gbagbo a très clairement dit qu'il n'entendait pas renoncer à la présidence, comme l'exigent l'ONU et de nombreux pays, notamment africains.
"Nous n'allons pas céder", a-t-il lancé vendredi dans des vœux retransmis par la télévision d'Etat RTI, en accusant Alassane Ouattara de "tentative de coup d'Etat menée sous la bannière de la communauté internationale". Il repousse ainsi l'ultimatum de son rival, qui lui avait donné jusqu'à minuit pour céder la place, lui promettant en échange la tranquillité.
"Nous n'allons pas céder", réplique Laurent Gbagbo (ici avec le président sierra-léonais Ernest Koroma le 28 décembre 2010 à Abidjan)
AFP/Archives/Sia Kambou
Ouattara ne veut pas non plus jeter l'éponge, fort d'un large soutien international. Dans son propre discours de vœux jeudi, il s'est montré confiant, annonçant pour 2011 "la rupture avec les dix années de souffrance, de pauvreté et de mort" du régime Gbagbo.
Mais il reste confiné avec son propre gouvernement au Golf hôtel d'Abidjan. Dans cet établissement de luxe soumis à un blocus des forces loyales à son adversaire et gardé par des blindés de l'ONU et des ex-rebelles, la vie suivait son cours: quelques militants déambulaient samedi matin paisiblement dans le hall après les festivités musicales du réveillon.
Ouattara ne veut pas non plus jeter l'éponge, fort d'un large soutien international (ici avec les membres de son gouvernement le 8 décembre 2010 à l'hôtel du Golf à Abidjan)
AFP/Archives/Issouf Sanogo
Alors que la crise a fait 179 morts ces deux dernières semaines selon l'ONU, qui pointe la responsabilité du pouvoir en place, les chances de succès de la médiation ouest-africaine paraissent minces, même si Laurent Gbagbo évoque "le temps du dialogue".
Après un passage cette semaine à Abidjan, trois émissaires de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) doivent revenir lundi en Côte d'Ivoire. Les présidents Boni Yayi (Bénin), Ernest Koroma (Sierra Leone) et Pedro Pires (Cap-Vert) vont tenter d'obtenir le retrait du sortant.
Mais en cas d'échec, la Cédéao a averti qu'elle pourrait user de la force et a déjà mis "la machine en marche", préparant des plans pour un "dernier recours" au cours d'une réunion de chefs militaires à Abuja. Ils doivent de nouveau plancher sur la question mi-janvier au Mali.
Les corps d'Ivoiriens tués le 16 décembre 2010 à Abidjan
AFP/Archives/Issouf Sanogo
Le Premier ministre d'Alassane Ouattara, le chef de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) Guillaume Soro, mise désormais sur une intervention armée extérieure. "Les dictateurs ne négocient pas leur départ, on les fait partir", a-t-il tranché vendredi.
A court terme, les risques de nouveaux affrontements à l'intérieur sont réels. Le leader des "jeunes patriotes" pro-Gbagbo a appelé ses fidèles à "libérer à mains nues" le QG de Ouattara, après le 1er janvier. S'il met son projet à exécution, l'ONU redoute une reprise de la "guerre civile" de 2002-2003, qui avait entraîné une partition du pays.
Mon avis : L’élection présidentielle a été caractérisée par l’usage excessive de la force par les partisans de Laurent Gbagbo qui a été très irresponsable en décidant de rester au pouvoir alors qu’il avait perdu face à Alassane Ouattara. Ainsi il incita à la guerre, à la haine et provoque la mort de plusieurs ivoiriens, des arrestations caractérisés par des atrocités, des disparitions inquiétantes ou la fuite de la population vers les pays frontalier. Je trouve que cette situation est vraiment à déplorer car elle aurai pu être évité si seulement le dialogue, la force de la parole avait triomphé sur celle des armes. Nos dirigeants africains doivent être conscients que c’est pour un temps qu’ils sont au pouvoir et que lorsque ce temps est écoulé ils ont le devoir céder la place à leur prochain. Les ivoiriens sont fatigués de la guerre, tous les africains veulent que ce genre de conflits n’aient plus lieu d’être car elle détruit notre existence, porte atteinte à notre liberté. Durant les affrontements, nous avons vu que la France a eu son mot à dire étant donné que les soldats français ont intervenus dans la capture de l’ex président, des images atroces de son arrestation et celle des membres de sa famille nous avaient été diffusé par satellite. Ainsi, malgré l’indépendance
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