Theorie Et Histoire Du Cinéma
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II – Naissance du cinéma
Les frères lumières
La naissance du cinéma date de la première projection publique donnée par les frères lumières au salon indien du grand café le 28/12/1895 après de nombreuses répétition privées. Le film se nommait « La sortie de l’usine lumière a Lyon ». L’invention qui a permis cette prouesse c’est le « Cinématographe Lumière », le brevet de cette caméra, tireuse et visionneuse est déposé le 13 février 1895. Mais en 1896, les frères lumières doivent faire face a la concurrence, notamment avec le « vitascope » d’Edison. Pour cela, les frères lumières recrutent des opérateurs qu’ils envoient un peu partout afin de réaliser des documentaires, reportages et fictions.
George Meliès
Après que les frères lumières ait accepté que George Meliès cherche a se démarquer en réalisant des films susceptibles d’être projeté au théâtre Robert Houdin avec « L’escamotage d’une dame », Meliès vas tourner de faux reportage comme « Visite du sous-marin Maine » et tourne aussi des actualité comme l’affaire Dreyfus. Meliès aime le trucage et l’illusion, il devient maître dans l’art de la sur impression. Il vas faire bâtir un studio qui est un mélange d’une proportion de scène théâtrale et d’un studio photographique avec la serre de verre, il appelé ce studio « L’atelier de pose ».
Pendant toute sa carrière il va tourner 500 films qui apportent beaucoup aux bases du cinéma. Il est un des premier qui réalise les premier rapport comme « voyage dans la lune » qui se compose de 30 plans, ce film s’inspire d’autre films parlant de la lune. Il y a un gros travail sur les plan en gérant le champ/hors champ et ellipse. Ce sera un véritable événement avec un grand succès.
Maison de production
2 grandes maisons sont né en 1896, l’une dirigé par Charles Pathé et l’autre par Léon Gaumont.
F. Zecca : Père du naturalisme (investigation objective du monde conçu sur le modèle des sciences. Il réalise « l’histoire du cinéma »
Le traitement de ces fait divers, lors de la décapitation chez Méliès, pas brutal. Pour la même scène, traitement naturalise : Brutal, pas le temps de voir qu’il y a eu substitution.
Prisonnier pense a ce qu’il fait juste avant la décapitation : inscrit au flash back
Alice Guy : 1ère femme réalisatrice, qualité mélo dramatique, soin apporté aux personnages féminin
Marc Sender : Est influencé par Chaplin 1909. Grande popularité en France et auras réalisé 150 films : Homme Orchestre.
Griffith : Il commence a travailler dans le cinéma en 1907 comme acteur, dans un des film de Edwin Porter, Griffitz fait Rescued From an Eagle, il a tourné 450 films. Sont gout pour la littérature va le pousser a adapter des œuvres. C’est un des plus important réalisateur « Muet » aux US.
III - Cinéma soviétique
Koulechov et Poudovkine
Pour Sadoul ; 1929 ; quand Lénine nationalise l’ancien cinéma tsariste (….)
Lénine : « le cinéma de tous les arts pour nous le plus important » -> L’URSS soutient le cinéma idéologique.
Koulechov crée le laboratoire de cinéma expérimental : afin de montrer le rôle du montage (beaucoup d’expérimentation du montage) On trouve au coté de Koulechov quelques un des futurs cinéaste de l’union soviétique : Poudovkine avec qui il vas écrire un ouvrage sur les résultats de leurs expérimentation.
Les films de Koulechov sont une étape clés de l’histoire du cinéma ; les films démontrent que le montage est producteur de sens. Koulechov assisté de Poudovkine a pris un gros plan de mochvoukine afin de tester le gros plan « inexpressif » et un plan d’une assiette. Ces trois montage sont présenté a une assemblée qui vois (…)
Homme + soupe = faim
Homme + cercueil = Triste
Homme + femme = désir
L’expérience montre clairement que l’association de deux plans qui n’est pas égal a la somme de leurs contenu. Autrement dit a+b n’est pas égal a ab mais à c.
Ont s’aperçoit que la même image prend une situation différente selon l’image qui lui est associé ; le spectateur interprète l’image en fonction du plan précédent.
Cette expérience présente l’avantage d’une démonstration, le montage qui produit du sens est donc prouvé ; ont peut manipuler aussi bien avec le montage qu’avec le cadrage.
Koulechov et Poudovkine sont donc les pionniers du montage expérimental.
Dziga Vertov
Dziga Vertov; c’est un cinéaste atypique qui a travaillé sur de nombreux documentaires, c’est le monteur des premières actualités soviétique, sont approche du cinéma, il l’as doit beaucoup a Koulechov et Poudovkine. Il réalise des films de montage a base d’image d’archive.
Sadoul : Il entendait bannir comme invention bourgeoise le scénario, la mise en scène, les acteurs, les studios, etc. Pour recourir aux seuls éléments pris sur le vif ; ceux des documentaires et des actualités.
Vertof s’oppose à Eisenstein.
Le ciné œil désigne l’appareil de prise de vue cinématographique (caméra) ; ce que Vertov appelait l’œil mécanique. Cet œil mécanique déchiffre d’une manière nouvelle un monde qui nous est inconnu. La caméra serait cet outil qui permettrait d’accéder a la connaissance du monde. Vertof ne se dit pas cinéaste il se dit Kinok.
Les kinoki entendent révolutionné la représentation, en « fustigeant » le cinéma de (…) pour saisir la vie a l’improviste.
Vertov est un futuriste et en tant que futuriste, il rejoint l’idéologie des film de la Feks (l’équivalent soviétique du burlesque américain). On trouve a la tête de la feks deux personne Kozencheiv et robertz. En revanche tous sont réunis autour de la figure de proue : Le poète Maiakovski.
Le futurisme est un mouvement littéraire et artistique qui rejette la tradition esthétique et exalte le monde moderne, en particulier la civilisation urbaine ; la machine, la vitesse.
Le travail du ciné opérateur est de voir. Et le travail du cinéma-monteur qui vas recomposé cette réalité.
Dziga vertov: « Voir et montré le monde au nom de la révolution prolétarienne mondial. » Pour lui, le tournage réside en une fixation du processus historique, tandis que le montage opère un ciné-déchiffrement communiste du monde.
Dans l’homme a la caméra on vois le ciné-opérateur filmé entrain de filmer ; ont vois que la caméra dans ce film est fétichisé par vertof (vertof croit en l’authenticité de la caméra, qu’il considere comme œil plus parfait que l’œil humain.).
Eisenstein
Eisenstein vient du théâtre ; dans ce lieu, il imagine le montage des attractions. Le mot attraction correspond pour le cinéaste a une sensation violente imposée pour le spectateur. Par la juxtaposition de saynètes semi autonome au style volontiers caricaturale et burlesque, comme des attraction de music-hall auquel le thème est inventé. L’idée de l’autonomie suggère une discontinuité filmique. Eisenstein transpose ce montage des attractions au cinéma (cf la grève, 1925).
Pour trouver un équivalent du montage d’attraction ont peut évoque la fin d’Apocalypse Now (Coppola) -> juxtaposition de plan d’essence fictionnel et documentaire. A priori il n’y a aucun lien temporel entre les deux. L’idée est de dire qu’il y a une comparaison entre les deux essences.
Eisenstein travaille a la suite de Grifitz mais refuse pour autant le montage narratif.
Eisenstein travaille a sa suite sauf que Eisenstein refuse le montage narratif (alors que grifitz le pratiqué). Il refuse aussi la transparence filmique. La transparence est un système esthétique selon lequel le film donne a voir les éléments représentés, et non se donne a voir lui même les éléments du film.
Le fondement du cinéma classique, c’est le raccord. Le raccord a pour objectif d’effacer le changement de plan au yeux du spectateur : Le monteur donc créer une continuité filmique qui favorise l’identification primaire et secondaire,
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