Globalisation Financiere
Note de Recherches : Globalisation Financiere. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresterme, signifie « la constitution d'un marché mondial intégré des capitaux » Ses trois caractéristiques important sont « la déréglementation (abolition du contrôle des changes et des restrictions aux mouvements de capitaux), la désintermédiation (accès direct des opérateurs aux sources de financement sans passer par des intermédiaires) et la décloissement (éclatement des compartiments qui existaient que ce soit du point de vue géographique, fonctionnel ou temporel.) » [3].
D’abord, les changements principaux apportés par la globalisation financière sont l’expansion des fluctuations transfrontalières, une plus grande partage de risque dans le monde entier, l’augmentation des possessions de capitaux transfrontalières (FMN) et les marchés financiers sont devenus aussi beacoup plus internationaux.
Comptant les moteurs principaux de la globalisation financière on doit citer l'impact d'avances technologiques dans l'élaboration, la transmission d’information, l’accélération de l’innovation financière et la baisse de coûts de comminication.[4] C’est la dominance de la propriété privée et les marcés devenant de plus en plus libéraux qui ont créé la possibilité d’existance d’une concurrence globale. Puis c’est la révoulution technique et technologique et l’explosion informatique des années 90 qui ont ecouragé le dévéloppement et l’accélération du phénomène.[5]
III. Est-ce que la globalisation financière un phénomène positive ?
On peut dire, oui. Il est indiscutable que la globalisation a apporté beacoup de possibilités et opportunités. La question n’est pas si elle est une opportunité mais à qui ?
Restons pour le moment sur les gains : les ressources de financement sont devenus moins chères, plus étendues et fléxible et la prise de risque est récompensée. On peut trouver des arguments qui disent que ce phénomène a causé des crossiances. Quant à moi c’est vrai pour les pays de l’Europe Centrale qui avaient peur d’être isolé, et en effet étaient motivés de s’associer le plus vite possible au processus d’intégration et de libéralisation.[6]
a) Institutions internationales
Pour l’intégration dans l’Union Européenne c’était indispensable d’être adhéré aux institutions mondiales comme l’ Organisation Mondiale de Commerce (la Hongrie en 1970), le Fond Monétaire International et la Banque Mondiale (la Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement). La Hongrie était adhérée en 1982. La précédente (WTO) serve comme un forum pour les négotiations commerciales. Le FMI et la BIRD sont nées à la conférence de Bretton Woods en 1944 et ont eu comme mission la reconstruction de l’Europe et l’empêche d’une autre crise possible. En fait, le FMI assure des crédits – des liquidités – à court et moyen terme pour ses pays-membres qui sont en difficulté. Lorsqu’il ait comme but de relancer l’économie, normallement par la baisse des taux d’intérêts et par l’augmentation des recettes d’État, il exige contrairement l’augmentation des taux d’intérêts et la diminution du déficit budgétaire ce qui – logiquement- fraîne l’économie.[7]
b) L’impact des instutions internationales sur les pays d’Europe Centrale
L’OMC a forcé la déconstruction des barrières tarifaires, OCDE prescrait la libéralisation du marché des capitaux. L’Union Européenne exige le Principe du traitement national ce qui signifie que les entreprise étrangères devraient être traitées la même façon que les hongroises (nationales). C’est une force économique de s’intégrer à temps pour renforcer les positions économiques et pour attirer les capitaux, il faut s’adapter aux règles internationales.[8]
En théorie la globalistaion financière pourrait augmenter le taux de croissance par de différents canaux dans les pays en développement. Il y en a certains qui stimulent directement les déterminantes de la croissance économiques (l’augmentation d’ épargnes nationales, la réduction de coûts de capitaux, le transfert de technologie et l’évolution des secteurs financiers nationaux).
Il y a des canaux indirectes, pouvant être en certains cas plus important que les directes, qui contiennent : l’accroissement de spécialisation de la production à cause d’un management des risques plus active et un avancement dans les politiques macroécomiques en raison d’ effet de discipline.
c) Les vrais avanatages apportés
D’abord la mondialisation a apporté une abondance d’informations. Lorsque il y a quelques décennies on devait payer un montant considérable pour lire un journal ou pour écouter voir acheter sa musique préférée, aujourd’hui ce n’est que quelques « cliks » sur Internet.[9] Néanmois on dit que l’Internet est accesible pour tous mais ce n’est pas vrai dans ce sens. Il y en a toujours des régions ou des pays (surtout si on prend l’exepmle d’Afrique) qui n’ont pas de ressources financières d’acheter ces techniques. Après il faut citer une deuxieme « innovation » de la globalisation, c’est la vitesse du progrès. On a jamais vue une progrès technique si rapide mais ce dernier apporte des inconvénients aussi. Bien que les pays moins riches aient l’argent ou le montant suffisant pour acheter les innovations, ils n’auront pas le savoir pour les utiliser. Ce phénomène est nommé comme l’inégalité digitale.
On peut facilement atteindre des ressources pour financer ses projets, le coût de capital a diminué. On n’a qu’aller dans une banque et prendre un crédit. Cela paraît très facile. D’ailleurs en Hongrie 95% des banques sont dans les mains étranger ce qui recèle des problèmes possible. Qu’est –ce qui ce passe si la Banque mère fait faillite ? Traitons ce problème dans la partie suivante.
Les flux des capitaux actifs (IDE : investissement direct en étranger) sont multipliés ce qui entraîne le développement des pays importeurs de capitaux. Ainsi l’importeur peut utiliser les capitaux importés donc le PIB national augmente et l’exporteur peut s’implanter dans ce pays - il peut décentraliser une service de sa société par exemple. Des sociétés d’investissemnt (hedge funds) ont été créé qui sont spécialisées à la redistribution des captitaux. Le rôle des Agences de Cotation s’est aussi élevé qui classent les pays, les banques, les entreprises et les différents types de titres. Ce qui était inimaginable il y a qulques années c’est réalisé : les capitaux sont flexibles et trasmissibles. C’est par la globalisation aussi que les FMN aparaissent dans le monde entier et donc c’est pour cela on a la possibilité de manger le même BigMac partout. Ce n’était pas une publicité de McDonald’s mais une besoin des gens de recevoir le même que dans l’autre pays. Pourtant l’augmentation de l’offre n’est pas égale à la croissance de demande et en même temps produit des inégalités dans la consommation. C’est aussi par les flux de capitaux que milliers de pauvres ont un travail dans à l’usine. ( Ex : les emlpoyés de Nike[10] dans les pays en développement qui doivent de temps en temps travailler 14/13 jours et qui sont considérés comme exploités dans les pays occidentales.) Et bien sur ils sont exploités mais les FMN assure une possibilté de travail ce qui est davantage rémunérateur que produire des céréales. Si leurs travaux était meilleur payés les FMN n’auront plus l’intérêt d’y faire fabriquer leurs produits.
Il y avait des programmes d’éducation avec lesquels l’alphabet pouvaient se répandre dans des régions séparées. Dans certains cas c’était les programmes contre SIDA qui ont sauver milliers de gens de ce virus.[11]
On peut dire que ce n’est que dans les pays occidentales que les niveaux de vie se sont élevés mais en Asie et en pays en développement aussi. C’est la mondialisation qui a crée la possibilité d’existances des organismes altermondialistes.
IV. Pourquoi critiquent donc les altermondialistes la globalisation ?
Depuis Ricardo on force la libéralisation des marchés et l’optimisation de l’utilisation des ressources. Pourqoui pense-t-on que c’est un phénomène mauvais ?
a) La partage des opinions
C’est très intéressant d’examiner les opinions de différents pays de la globalisation. Lorsque en États- Unis 58% et en Chine 70% des gens pensent à la globalisation comme une opportunité et qu’en France ce n’est que 30%.[12] Pourquoi la France est la « seule » qui a peur de ce phénomène ? La France est historiquement un pays qui est contre la libéralisation bien qu’elle profite de la mondialisation elle reste contre. Mais elle n’est pas seule...prenons l’examle de l’Éthiopie où le FMI a frêiné sa croissance au lieu de lui aider. On peut imaginer qu’il y a beaucoup de pays desquels on n’entendent pas et qui sont souffrent de la globalisation. Ce qu’on peut entendre c’est la voix des altermondialistes.
Les altermondialistes sont les partisans d’une mondialisation plus équitable et plus humaine qui ne prendre pas seulement en compte les intérêts des plus puissants.
b) Pourquoi c’est une menace ?
Bien qu’il y a des avantages
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