La princesse de Clèves

TOUJOURS DIRE LA LIGNE QUAND ON CITE

Elements intro :

Madame de La Fayette

(1634-1693) Paris.

Femme de lettres françaises.

Mouvement du classicisme.

Roman écrit dans la période dites classique.

Publié anonymement.

Ses oeuvres les plus connus sont “La princesse de Cleves” et “La princesse de Montpensier”.

L’extrait se situe dans la première partie de l’œuvre. Un bal est organisé au Louvre. La scène décrit la première rencontre entre la princesse et le duc de Nemours.

Problématique : En quoi cette scène de bal est théâtral ?

Le premier mouvement présente l’ouverture du bal et son contexte. Puis, le second mouvement décrit la découverte de Madame de Clèves et du duc de Nemours. Enfin, le dernier mouvement nous montre la rencontre des deux personnages et la présentation à la famille royale.

I - L’ouverture du bal

(L.1) l’adj “tout” qualifie le mot“jour” ce qui insiste sur la longue préparation a ce bal. Pas étonnant car c une invit a la cour du roi (festin royal). Cela nous permet de deviner Mme Clèves mise en valeur ce soir.

Cette parure va faire effet, ce que nous pouvons constater a la (l.3)…

L’emploi du pronom personnelle indéfinis “on” désigne ensemble cour roi.

Alors que le bal déjà commencé (l.3), un retardataire se présente. Il nous donne l’impression d’être une personne importante. En effet l.4 “il se fit un assez grand bruit” et l.5-6 “a qui on faisait place” montre que le perso qui vient d’arriver suscite réaction de la part de foule.

Mme Clèves va par l’intermédiaire du roi prendre pour cavalier le nouvel arrivant sans même savoir qui c.

II - La découverte

(L.8) “Elle se tourna” montre un cliche de la découverte amoureuse. Ensuite (l.8) “vit un homme … Nemours” on y retrouve la négation restrictive “ne que” qui indique qu’elle semble certaine de l’identité de l’homme. Elle le connait, bien qu’ils ne se soit jamais rencontré car la reput de Nemours le précède.

L’expansion du nom “qui passait…sièges” (l.9) renforce cliché de découverte amoureuse car donne impression franchir obstacles.

Nouvel arrivant est désigné par 2 elements, 1 titre “prince” (l.10) qui dit sa noblesse, et son physique.

Sa présentation est limité a son physique “était fait d’une sorte” (l.10-11).

Duc de Nemours a des atouts physiques indéniables “qu’il était difficile…jamais vu”. Ici, narrateur adopte pour court instant le point de vu de Mme Clèves comme l’indique l’accord féminin de l’adj “surprise”, en effet le pronom perso “on” qui suit, étant un indéfini on aurait logiquement attendu un accord au masculin de l’adj. De plus la cour connait déjà M Nemours et seule Mme Clèves ne la “jamais vu”. Toujours concernant physique duc, nous pouvons constater qu’il est mis en valeur par 2 adverbes “surtout” et “encore” ; Cela intensifie la beauté du nouvel arrivant qui comme Mme Clèves avait pris soin de se parer (l.13).

Conjonction de coord. “mais” nous introduit au regard de M Nemours qui voit lui aussi Mme Clèves pour la 1 fois” (l.14-15). confrontait a sa beauté, il éprouve étonnement mis en valeur par l’adj quali. antéposé “grand”. De même, l’adverbe “tellement” insiste sur la surprise cause par la beauté de celle qu’il découvre. Si bien qu’il n’arrive pas a cacher “son admiration” (l.18) comme l’indique la négation du verbe pourvoir (l.17).

Comme demandé par roi, les 2 perso se mettent a danser ensemble et devant leur beauté le reste de la cour est tt admirative “un murmure de louange” (l.19). Narrateur s’arrête ensuite sur la réaction du roi et des reines qui, admiratif devant le couple s’étonnent de ce qu’ils voient n’être sous leurs yeux. La beauté unique que forme les 2 danseurs est évoqués avec des termes vagues et particulier “quelque chose de singulier” (l.20-21). Ce qui semble si singulier est que les 2 personnages ne se connaissent pas mais pourtant forment un couple remarquable “ils ne s’étaient jamais vus”, “sans se connaitre”.

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