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Les femmes et le secret

Analyse sectorielle : Les femmes et le secret. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  26 Mars 2021  •  Analyse sectorielle  •  440 Mots (2 Pages)  •  1 771 Vues

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Introduction :

Les femmes et le secret, est écrit par Jean de La Fontaine qui est un poète français du 17ème siècle, il est principalement connu pour ses fables.

Pb : Comment cette fable condamne-t-elle l’incapacité des femmes a garder un secret ?

Analyse :

V-1 : Présent de vérité générale - pronom : « rien » qui est une hyperbole et « peser » montre que la fable est comique

V-2 : verbes : « peser » ; « porter » ; et « difficile », donne une impression de lourdeur , le deuxième est de l’humour avec la métaphore : secret -> objet lourd

V-3 : L’adverbe « même » et l’assonance avec « bon » ; « nombre » ; « sont » montre le rapprochement entre : hommes/femmes

Du ver 1 à 4 : Nous pouvons donc voir que les femmes autant que les hommes sont incapables de garder un secret

V-5 à 8 : enjambement, discours direct -> montre l’affolement du mari

Les suivantes sont une parodie de la tragédie classique : « Ô dieux ! » ; « Quoi ! » ; « Quoi j’accouche d’un œuf ! – D’un œuf ? – Oui le voilà ».

Ceci est un mensonge du mari, et demande à sa femme de ne rien dire.

Au V-14-15 : l’épouse ne garde plus le serment de ne rien dire : « Mais ce serment s’évanouit avec les ombres de la nuit »

V-16 : La femme est qualifiée : « d’indiscrète » va répéter le secret : « Quand le jour fut à peine levé ». Cela montre l’empressement de l’épouse à révéler le secret.

V_20 : la femme dit : « N’en dites surtout rien », alors que elle-même propage le secret.

V-21 : Exagération : « Mon mari vient de pondre un œuf gros comme 4 ».

V-26 : « La femme du pondeur » montre bien que le mari n’en na jamais pondu et créé de la complicité avec le lecteur.

V-29 : « Au lieu d’un œuf elle en dit trois » ceci montre la propagation exponentielle.

Le secret est tellement répandu qu’il est devenu un discours public : « Le nombre d’œuf […] se montaient à plus d’un cent. »

Conclusion :

Cette fable un peu misogyne met en œuvre une situation comique.

Morale explicite : garder un secret est difficile et pesant.

Morale implicite : il ne faut pas croire tout ce que l’on entend.

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