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Exercices sur l'art

Compte rendu : Exercices sur l'art. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  15 Octobre 2020  •  Compte rendu  •  1 365 Mots (6 Pages)  •  426 Vues

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Exercices sur l’art

1) – L’art qui a un rôle de mimésis : je rangerais la peinture de Frida Kahlo intitulé « Moi et mes

perroquets » dans cette catégorie d’art, ainsi que la plupart de ses œuvres, car elle a toujours peint des

autoportraits. Elle cherche à atteindre le plus possible la représentation parfaite qu’elle se fait d’elle-

même. Mais je mettrais aussi la pièce de théâtre « Phèdre » de Racine dans cette catégorie, cette pièce de

théâtre représente diverses émotions que l’humain peut ressentir à l’égard de sa famille et pour l’amour

d’autrui. La haine, l’amour et la jalousie sont un cercle vicieux dans lequel tous les personnages de cette

pièce sont confrontés jusqu’à la fin de celle-ci.

- L’art qui a un rôle de catharsis : Le film « Divergente » réalisé par Neil Burger peut éventuellement être

rangé dans cet art qui a un rôle de catharsis. Avec toutes les violences, l’amour passionnel et l’envie de

changer la façon de penser, on peut ressortir de cette expérience cinématographique, libre. Nos pulsions

de violences et tant d’autres sont assouvies par la violence, l’amour et le changement représentés dans ce

film. Ainsi le poème « pour toujours » de François Coppée dans « Le cahier rouge » peut aussi rentrer

dans cette catégorie d’art, par les sentiments que les personnages imaginés par le poète ressentent l’un

envers l’autre. On pourrait penser, en lisant ce poème, que ces mots nous sont adressés et que nous

pouvons aimer à en mourir et pour toujours, sans être contraints de rentrer dans le case que nous a accordé

la société au fur et à mesure de notre évolution.

- L’art comme recherche du beau : La toile « Un déjeuner sur l’herbe » de Edouard Manet est une toile

quelconque d’un déjeuner, avec cependant une femme nue. Malgré la banalité de cette œuvre, elle en reste

pas moins plaisante à regarder car même rempli de banales choses enchevêtrées cela en découle un art

beau. Le penseur, sculpture de Rodin, n’est autre qu’un homme qui pense comme son nom l’indique,

néanmoins, la beauté, les détails apportés à cette œuvre révèle une volonté de beauté.

- L’art comme moyen de réflexion : Le livre « Et si c’était vrai » de Marc Levy suscite un questionnement

chez le lecteur, de plus l’histoire est tout sauf banale je pense. Un accident de voiture. Une jeune femme

dans le coma. Un appartement vide. Un nouvel arrivant. Un fantôme. Si ce fantôme était bel et bien vrai ?

Après la lecture de ce livre, des centaines de questions fusaient dans ma tête. Comment une âme peut-elle

être séparée de son enveloppe charnelle ? Comment a-t-elle pu se lier d’amitié pour un inconnu ? Vont-ils

continuer ce qu’ils avaient entrepris ? Comment ? Pourquoi ? Et des centaines d’autres. Par le suite le film

« August Rush » de Kirsten Sherida est un film qui m’a également imposé une réflexion sur le pouvoir de

la musique. Comment cette dernière a-t-elle pu reconstruire une famille qui avait comme avenir d’être

perdue ? Comment un prodige comme cet enfant a pu voir de la musique dans des sons si quotidiens ? Ce

film est un questionnement à lui seul.

2) Je prendrais comme artistes : John Green, un écrivain et Lonepsi, un musicien. Ils ne font pas la même

chose, ne produisent pas le même résultat, ne sont sûrement pas de la même époque, n’ont pas les mêmes

moyens pour fabriquer leurs œuvres, mais pourtant ils se rapprochent tellement. Ils produisent tous les

deux quelque chose d’incroyable, une chose qui engendre, passion, colère, haine, bonheur, joie. Tous

deux, ils réussissent par leur simple mot à produire des émotions que l’on ne soupçonnerait pas de

ressentir un jour. Ils sont semblables par les sentiments qu’ils nous procurent avec leurs œuvres, mais se

distinguent par la manière. J’ai tendance à les associer à la Lune et au Soleil. John Green serait le Soleil,

de par le bonheur que ses livres procurent, et Lonepsi serait donc la Lune, avec toute cette noirceur dans

ses paroles qui n’est pas négative, mais poétique. Pour moi, ces deux personnes relèvent du génie. John

Green serait donc un génie si je prends l’explication faites par Hegel. Cet auteur serait pour moi, né avec

un don pour l’écriture, ce don qui a été travaillé au fil des années par les acquis qu’on lui a enseigné.

Lonepsi est également un génie selon l’explication de Kant, il a créé à lui seul, une nouvelle catégorie de

musique, il a instauré de nouvelles règles. Ce musicien a trouvé sa place dans le monde de la musique, de

par sa singularité, son originalité de production. Il a conquis le cœur des personnes qui pensaient ne plus

en avoir. Il a réussi à mettre des mots sur les plaies de ses auditeurs. Il incarne le génie de l’inédit musical.

3) En premier lieu, l’ « expérience » esthétique que j’ai vécu, d’un point de vue musical a été la

découverte du titre « La fille du bus » de Lonepsi en version acoustique. Je ne dirais pas que ce style de

musique entre

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