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Le Pop'Art

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r Marilyn Monroe, 1961 : Peter Blake est le premier à faire des collages de stars. Apparaît alors les premières icônes de beauté… Les artistes mettent en scène des personnages. De plus, ils ne font que le miroir de la société, tous le monde (en particulier les ados) fait ses collages.

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Beatles Sgt Peppers, 1967 : C’est la pochette du premier 33 tours des Beatles. Les Beatles sont représentés plusieurs fois, il y a d’autres artistes comme Marilyn Monroe, Hardy… Cela montre encore une foi que le pop’art engendre ces icônes et les icônes le rendent bien au pop’art.

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Elvis Shrine n°1, 2001 : Encore aujourd’hui, Peter Blake fait des collages avec des images anciennes et des icônes anciennes.

Remarque : collages  création icônes / idoles  création de l’ado  marché économique (argent de poche…)

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Richard Hamilton :

Just what is it that makes today’s homes so different, so appealing, collage, 1956 : On a ici le stéréotype même de la famille idéale américaine. Il y a des images qui se réfèrent au passé (tableaux, vieilles affiches…) et d’autres qui se réfèrent au futur immédiat  le cinéma parlant qui fut la mort du cinéma européen (cinéma vu par la fenêtre), la TV, le magnétophone… qui montre bien la société du spectacle qui apparaît. De plus, les personnes sont contemporaines, elles se préoccupent de leur physique, l’homme tient une sucette Pop et il y a la lune sur le plafond (période où Kennedy promis qu’on marcherait sur la lune).

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My Marilyn, 1965 : On peut comparer se collage avec un mur de rédaction d’un paparazzi. On a une multitude d’images différentes sélectionnées.

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Eduardo Paolozzi :

Scrapbook, 1947 : Au départ, c’était des collages personnels. On a une référence à Mickey qui est le premier dessin animé (même si c’est un cours métrage).

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I was a rich man’s plaything, 1947 : Plusieurs sujets sont souvent repris: l’amour, la guerre, les grandes marques (coca cola…). Ici on a un avion qui fait référence à la guerre froide.

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Bunk, 1971 : Il est fréquent d’avoir des onomatopées sur les collages.

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Eerró : (Ces artistes n’appartiennent pas vraiment au pop’art).

Planescapes, 1969-70 : Il fait un travail de peintre basé sur le collage.

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The second scream, 1967 : On a ici une référence sociétal et artistique. Artistique avec Le crie de Munch, et sociétal car d’après la date on pourrait faire un rapprochement avec ce tableau et la photo de la petite fille vietnamienne courant nue et brûlée au napalm. Attention ce n’est qu’une hypothèse.

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Alain Jacquet :

Le déjeuner sur l’herbe, 1964 : Il reprend le tableau moderniste de Manet. Il utilise de nouveaux procédés de sérigraphie, la quadrichromie.

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Gabrielle d’Estrée, 1965 : Encore une foi, il remet en scène un tableau ancien.

Le pop’art aux USA.

       Robert Rauschenberg Andy Warhol Tom Wesselman Roy Lichtenstein Claes Oldenburg Jasper Johns James Rosenquist

 Robert Rauschenberg

Rhyme, 1956 : Il combine la peinture et les objets réels. Il s’inspire de l’expressionnisme abstrait.

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Bez Naslova, 1955 : Collage, assemblage, peinture. On retrouve la peinture figurative refusée par les artistes expressionnistes abstractifs.

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Pilgrim et First landing jump, 1960 : Installation. Une peinture prise en photo avec un objet quelconque devient une installation. On a un travail plastique : il y a des rapports entre les formes, les couleurs, il y a des liaisons… C’est une « réalité confuse ». Le peintre mélange la figuration et l’abstraction. Monogram, 1955-58 :

Il n’y a pas forcément de sens, c’est le spectateur qui doit imaginer puisque le sens n’est pas expliqué (il n’y en a sans doute pas). Il y a tout de même une préoccupation plastique.

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Canyon, 1961 : L’aigle est le symbole de l’Amérique. Le pop’art reprend souvent les symboles du pays : le drapeau, le $ et l’aigle.

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Retroactive 1 et 2, 1964 :

 Andy Warhol :

5 death, 11 times in orange, 1961 : Epoque où les jeunes roulés très vite est bourrés. Il y avait énormément de mort. Andy Warhol fait une simple constatation. En général, il prenait des images de presse de mauvaises qualités qu’on lui envoyait. C’est le début de la société de spectacle, les personnes préfèrent prendre des photos plutôt que d’aller aidé la personne.

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Electric chair, 1967 : Images spécifiquement américaines. Mais il ne revendique pas de regard critique.

Green coca-cola bottles, 1962 et 100 cans, 1962 :

Il fait un constat froid, montre la société américaine, la société de consommation et la multiplicité des images.

Plus Andy Warhol est mécanique, plus il travail comme une machine, plus il atteint son rêve. Il aime les choses sans intérêts. De plus, il rêve d’être comme les vedettes. Campbell’s soup, 1965 : Ce sujet n’a aucune valeur en soi pourtant les gens achètent ces peintures.

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Marilyn dorée, 1962 : Andy Warhol s’est inspiré d’une image de presse qu’il a redimensionné et qu’il déclinera de toutes les façons possibles. Le fond d’or montre bien cette idée d’icône.

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Marilyn green et Four Marilyn, 1963 :

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Jackie, 1963: Images de bonheur et de malheurs. Elles ont été prises à l’enterrement du président Kennedy. Ce sont des images personnelles, on voit là bien le début de le société du spectacle qui dérive…

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Two Elvis, Flowers, 1970 et Cow, 1974 :

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Self portrait, 1985 :

Il se crée un mythe, il va même jusqu’à devenir un "martyr" quand une fan le poignarde (certains font la comparaison avec Saint Sébastien transpercé…) Son ami Richard Avedon le photographiera  coup de pub énorme.

Il fait aussi du cinéma, qui sera à l’image de ses arts plastiques. C’est l’art underground. On a là les mêmes critères du pop’art, le but est de rester objectif, de montrer toute la réalité des choses telles qu’elles sont.

 Claes Oldenburg :

Pink cap, 1961 et Cheeseburger with everything, 1962 :

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Case 1, 1961-62 : L’idée est de rentrer dans le magasin de l’artiste (comme on rentre dans une boucherie. L’artiste veut que son art du quotidien soit ouvert à tous.

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Soft light switches, 1963, Apple core,

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