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La Peste Aujourd'Hui

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nt contaminés par les génois qui arrivaient par bateaux. Bien qu’ils les expulsèrent directement la maladie elle resta dans la ville.

Dans toutes les villes affectées par la peste, les morts étaient enterrer dans des fosses communes car les cimetières étaient surabondés. Cela montre bien que les autorités étaient dépassés par les événements et que ces grandes fosses étaient la seule solution trouvée par ces derniers afin d’enterrer tout de même les morts en terre sainte.

2) Enterrer les morts… Où et comment ? Tournai, 1349.

Il y avait tellement de mort que des funérailles personnelles n’étaient pas possible. Les citoyens aidaient à construire des cercueils en bois et les morts étaient enterrés ainsi en terre sainte. Aucune cérémonie n’était célébrée. Les citoyens essayaient de trouver de la place pour enterrer les morts. Les morts ne pouvaient pas être individuellement et soigneusement enterrer. Dans certains cas, les cercueils étaient fabriqués en toute simplicité par des bénévoles afin de augmenter la production. Ils étaient donc enterrer où la place le permettait et souvent côte à côte. Les religieux essayaient tant bien que mal de donner à chaque morts ou mourants une bénédiction afin qu’ils puissent aller au paradis mais comme les morts se succédaient de plus en plus, l’obligation de les enterrer devenait indispensable car les odeurs commençaient sérieusement à poser des problèmes dans les rues des villes. C’est donc pour cette raison que les prêtres ne pouvaient pas bénir tout le monde

3) Réglementation de la peste à Reggio (de Calabre), 17 janvier 1374.

Tous les pestiférés durent se rendre en dehors de la ville. Pour être soigné ou dans la plus part des cas y mourir. Toutes les personnes ayant essayé de soigner les malades étaient isolées pendant un certain temps afin d’avoir aucun contact avec les autres. Les membres du clergé examinaient les malades et faisait des rapports aux autorités. Tous les pestiférés étaient dans l’obligation de céder leurs biens à l’Etat, et tous ceux qui prenaient soin des malades sans avoir été désignés étaient possibles d’isolement et même parfois de peine de mort et surtout de confiscation de tous leurs biens.

Les autorités avaient découvert que la peste se transmettait par les humains mais ne savaient pas comment exactement. Les pestiférés étaient considérés comme des malfrats et devaient céder leurs biens à l’Etat. On voit par ce texte, que la mesure prise par les autorités étaient d’expulser tous les pestiférés hors de la ville afin qu’ils ne répandent pas la maladie dans la ville.

4) Mise en quarantaine, Milan 1576.

Charles Boromé parle de Milan. Il n’y avait plus personne, ils avaient fui le mal. Tous les magasins, échoppes, marchés, boutiques étaient désert, clos et abandonné. C’était à l’époque, l’une des villes les plus importantes dans le marché.

Elle devint soudainement une ville de mépris, fuie par le peuple. La peste ravagea cette grande ville de l’époque et tous fuirent le mal et la ville. Celle-ci devint alors totalement déserte. L’une des villes les plus importantes économiquement parlant fut du jour au lendemain abandonnée et méprisée par la population.

Ce texte montre bien les conséquences de la peste sur une ville, qu’elle soit grande ou petite, puissant ou impuissante. Et que même face à une grande quantité de personnes, la peste ne laissaient pas de gagnant mais ravageait tout sur son passage.

5) Les religieux bénissent les mourants, Florence 1348.

On enterrait les morts dans des fosses communes. Il y avait trop de morts, les cimetières étaient surabondés. Les prêtres venaient bénir les morts et faisaient des serments afin qu’ils puissent aller au paradis. Les fosses communes étaient en dehors de la ville et en terre sainte. Les citoyens aidaient volontairement car il n’y avait pas assez de personnes attitrées. Les hommes de l’église étaient là, ils bénissaient les morts et mourant afin qu’ils montent au ciel. On peut voir une représentation de Dieu en haut de l’image. Malgré tout cela les autorités religieuses ne faisaient pas le poids à côté de la quantité de morts qui était chaque jour, à nouveau là et qu’il fallait absolument enterrer.

6) Purification de l’air et des maisons, Londres 1603.

L’odeur de la mort était tellement présente dans les rues que les gens faisaient des feux au milieu d’une rue, avec des bois parfumés, des encenses ou des herbes tel que le romarin par exemple, afin de purifier l’air. Pour essayer de faire partir cette odeur de la mort ou peut-être purifier l’air de quelques microbes. Mais nous ne pensons pas qu’ils essayaient d’enlever le virus qu’ils ne croyaient sans doute pas dans l’air à cette époque.

Sur cette image, on voit clairement que les gens étaient désespérés. Ils tiennent leur tête dans leurs mains. Une des choses qu’ils pouvaient encore faire mise à part le fait de purifier l’air, c’était de prier ou de faire des vœux afin d’espérer un futur meilleur. On peut également lire sur les portes des bâtiments à droites sur l’image, des inscriptions en anglais, qui signifient en français « Dieu ait pitié de moi » et en dessous de cette phrase on y voit une croix qui doit être en couleur, rouge.

Les habitants étaient tellement dépasser par les événements qu’ils se refugiaient la plus part dans des vœux et des prières.

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Comparaisons

* Dans les documents 1, 2 et 5, les pestiférés étaient enterrés dans de grandes fosses communes car le nombre de morts était très important, les cimetières n’avaient donc plus de places.

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