Le soleil, Baudelaire

Le soleil : lecture linéaire numéro 2 :

Intro :

 Charles Baudelaire est un célèbre poète du XIXe siècles. Héritier du romantisme de Victor Hugo mais aussi du parnasse de Théophile Gauthier, il est l’initiateur du symbolisme. La modernité de son écriture et sa façon d’aborder l’humanité scandalisent la société bourgeoise de l’époque. Traîné en justice et condamné pour immoralité pour son recueil les Fleurs du Mal en 1857, Baudelaire se sentira toujours incompris. Cette condamnation impose le retrait de six poèmes et contraint l’auteur a modifier son œuvre, permettant une nouvelle publication en 1861, tableaux parisiens, s’ajoute a cinq sections du recueil. Le soleil j’ajoute a cette nouvelle section issue du recueil. Il y a plusieurs thèmes qui ressortent de ce poème comme, mais cependant, les thèmes du spleen et de la mort restent dominant.

Vers 1: Il y a deux mots qui connotent a la pauvreté, a la ville ou aux banlieues. - «du vieux faubourg» qui est un quartier populaire et le mot «aux masures» qui signifie une petite habitation misérable et délabré.  - Le cadre spatial est posé. C’est un cadre spatial urbain très péjoratif.

Vers 2 : Nous pouvons apercevoir que le vers 2 est constitué de 12 syllabes, c’est un alexandrin. Il y a aussi des rimes embrassés avec aa bb aa bb dans le premier octosyllabes. - Présence aussi d’une césure au bout de 4 syllabes marqués par la virgule. - permet au lecteur de reprendre son souffle.

- description dysphorique de la ville connote la saleté, l’insalubrité.

Vers 3 : Dans les vers 2 et 3 il y a une connotation flagrante a la violence avec une allitération en r. - Personnification du soleil. Le soleil entre en jeu, plein de spleen. - prop subordonnée de temps introduite par quand. L’aspect intérieur et l’aspect extérieure de  ville est péjoratif. Des les deux premiers vers enfaîte on a une atmosphère de spleen.

Vers 4 : Présence de phrases complexes ( v3a v5) cad il y a plusieurs verbes. « Sur la ville et les champs, sur les toits et les blés ». Cadre champêtre rural. - mais aussi présence d’un parallélisme de

 structure. «  Sur les champs, sur les blés ». césure également a l’hémistiche marqué par une virgule.

Vers 5 : « je » pronom personnel de la première personne du singulier. « je » du poète car champs lexical poésie cad que le soleil arrive et le poète aussi. « Fantasque escrime » c une métaphore de Prévert. Dans ce vers, il y a une césure avant le mot « seul ». - poète est incompris par la société.

Escrime c’est un sport de combat.

Vers 6 : Renvoie a une hérance animale avec le mot « flairant » qui fait allusion a un chien. Le poete erre  et la ville l’aide.

Vers 7 : - Comparaison au vers 7 avec le mot outil comme. Présence imaginaire pour écrire.

Vers 9 : -Anthitheses v3 « soleil cruel »  et « soleil nourricier » , apporte la vie, cela fait un éloge du soleil. -champs lexical de la campagne dans le prochain hautain comme par exemple : « roses, champs, les ruches de miels, aux moissons, fleurir ». Nous pouvons aussi apercevoir le cadre champêtre. Le soleil est définie comme un donneur de vie avec la phrase : « ennemi des chloroses »  du soleil, il permet la vie avec la personnification du père par exemple a la ligne 9.

(v9).

Le deuxième hautain, décrit le pouvoir

Vers 10 : -Comparaison avec le mot outil « comme » dans ce vers. Les vers sont comparés a des roses. C’est le symbole de la beauté.

Vers 11 : Et ce qui est un poids devient plus légers. Dans le vers 11, il y a une ascension vers l’idéal. «  un soleil bienveillant ».

Vers 12 : Paysage champêtre et printanier, riant, plein de couleur. Les cerveaux remplis de ruche de miel, c ‘est le savoir, l’intelligence.

Vers 13 : « C’est lui qui » présentatif, procédé d’emphase

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