Mémoires De Guerre

ner la fourberie des Anglais est « l’Angleterre menaçante se dressa devant la France ».

8. Lors de la crise du Levant, les pouvoirs français qui illustrent les discordances que De Gaulle évoque sont : le personnel de la diplomatie française, la presse française ainsi que l’Assemblés consultative qui pensait que ce qui arrivait en Syrie était la conséquence d’une politique abusive qui avait été menée en France.

9. De Gaulle va essayer de se mettre le plus possible à l’écart de la chartre des Nations Unis cas celle-ci avait été mise en place sans l’avis des Français qui avaient une fois de plus été mis de côté tout comme ils l’avaient été lors de la conférence de Yalta.

20. Le chapitre « Discordances » se clôt sur un certains nombre d’exclamations et de questions. Les questions remettent en question tout ce qui c’est passé au paravent : « Mais quels sont ces cris, péremptoires et contradictoires, qui s’élèvent bruyamment au-dessus de la nation ? Hélas ! ». Il commence déjà a s’avancer vers la problématique du prochain chapitre et de faire une conclusion rétrospective du chapitre précédent.

Chapitre 6- Désunion, pp. 279-234

1. Le chapitre 6 s’appelle « Désunion » c’est le chapitre qui suit le chapitre « Discordances ». Dans le premier paragraphe de ce chapitre de Gaulle récapitule les évènements du chapitre « Discordances ». Il énumère a nouveau les problèmes de ce dernier chapitre et cherche maintenait à surmonter ce « bilan de ruines »

2. Les dommages causés par la guerre sont de nature purement matériels : « 500 000 immeubles ont été complètement détruits, 150 000 gravement endommagés ». De Gaulle parle uniquement des dégâts et des dévastations matérielles de la guerre et non des destins des familles ou des soldats eux-mêmes.

3. De Gaulle se présente ici comme le sauveur miraculeux de la nation française. La France a presque été « englouti (r) » et avait presque perdu « ses raisons d’exister ». C’est lui qui a aménagé les ressources nécessaires pendant et après le guerre. Le « pétrole », « le charbon » et même l’ « énergie atomique » ont été procuré par de Gaulle. Il utilise des termes médicaux pour décrire la France « malade » et en « déclin physique ».

4. De Gaulle cite Clémenceau au moment du renouvellement des municipalités. Les différentes parties ne cherchent qu’à obtenir le plus de voie et se livrent à un combat électoral. De Gaulle se trouve au centre de ce manège et au milieu de ce climat de concurrence et de « surenchères » et il craint « la pire souffrance de l’âme », « le froid » déjà mentionné par Clémenceau.

5. L’arrivée des prisonniers de guerre se présente de manière paradoxale. D’un côté des milliers de prisonniers et de déportés sont accueillit de manière chaleureuse, émotionnelle et enthousiaste, mais d’un autre côté la France rencontre un problème logistique. Elle n’a pas les moyens de transports, de logement et vestimentaires pour s’occuper des prisonniers.

6. De Gaulle s’oppose à la majorité et en particulier à la Haute-Cour toujours en vue d’une France encore plus forte et parfaite.

7. Envers Philippe Pétain, de Gaule est assez indulgent. Pétain s’est retiré « dans le silence » et est déjà âgé. De Gaulle l’estime donc finalement comme « sage » et « digne », de plus « ce qu’il avait couvert était indéfendable ». Il laisse donc transparaitre de la pitié pour cet homme. De Gaulle montre son côté humain et légèrement personnel ce qu’il ne fait pas souvent.

8. Dans le discours du 24 mai, De Gaulle compare les Français aux marins de Christophe Colomb car, ceux-ci voient aussi l'horizon alors qu'ils vont au plus mal.

9. La fonction du discours que De Gaulle adresse aux miniers de Béthune est d'encourager les miniers à travailler davantage pour entendre dirent les autres : «Ils se sont tirés d'affaires ! »

10. De Gaulle remarque que toutes les villes de province dans lesquelles il se rend sont dévastées. Cependant, le peuple semble plus que déterminé à tout mettre en œuvre pour pouvoir se remettre sur pied. L'opposition est que les hommes plus que déterminés et confiants sont pris d'une grand haine envers tout ce qui concerne la politique.

11. Tout d'abord, De Gaulle demande au peuple lui-même de choisir s'il souhaite revenir à la IIIème République ou s'il veut en construire une nouvelle. Puis, une fois que le peuple aura choisi une nouvelle République, la Constitution devra être établie par l'Assemblée

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