La Vision Du Centre Sur Les Mouvements Nationalistes

ésentent des thèmes : i) la vision du centre sur les reformes socioéconomique et politique, ii) la propagande communiste et les mécanismes de contrôle du centre sur les républiques en faveur d’internationalisme soviétique et iii) la vision des républiques sur les reformes. En analysant ses thèmes et en contextualisant la vision du centre sur les mouvements nationalistes en autres périodes historiques, on peut comprendre qui le nationalisme et communisme soviétique se dialoguent dans un modèle de circule vicieux.

La vision du Parti Communiste dans le gouvernement du m. Gorbatchev est caractérisée par l’idée de que « l’élaboration de la puissance de l’État soviétique et de sa richesse dépend de la réalisation des potentiels de chaque république et de chaque région économique ». Donc, La vision de Gorbatchev et de le Parti Communiste à la décade de 1980 s’approximait au Marxisme-Léninisme, dans lesquels diminutions des inégalités et accroissance des prospérités permettrait de réduire les différences nationales. Ainsi comme Marx, Gorbatchev et le Parti Communiste croyaient au début de la perestroïka que le nationalisme était un sentiment qui pourrait dissiper par le mouvement plus importante, le internationalisme socialiste. Ça ne signifie pas que l’existence des nations doivent être disparaître : Gorbatchev était international socialiste, mas il n’était pas cosmopolite. Ainsi comme Lénine, Gorbatchev au début de la perestroïka croyait dans le modèle fédéraliste de forte république et fort centre. Cette vision est en accordance au argument de m. Ligatchev de que « L’Union Soviétique émergera encore plus forte dans la restructuration et que la force d’attraction du socialisme est en train de croître ». Ainsi comme Marx, ils croyaient que les travailleurs sont bénévoles d’entre eux et pour ça le mouvement international est trop forte que le nationalisme. Donc, il a permit certaine autogestion république (khozrachet), usage des langues natives dans les territoires autonomes, contrôle sur le système éducationnel et liberté de presse, bien sûre en respectant « quel point on peut étendre les droits des républiques » et « la politique Gorbatchévienne de Glasnost ou de trop grande ouverture ».

La propagande communiste dans les deux textes présent un contexte d’amitié des nations depuis la révolution d’octobre. Est important faire attention á la vélocité des mouvements de nationalisme, une conséquence peut-être non prévu pour Gorbatchev sur les reformes graduels. Est aussi importante faire attention à comment le politiques de glasnost a changé l’influence de la propagande du Partie Communiste dans les républiques nationales. Ensemble au renforcement des identités nationales depuis Andropov et Chernenko, les républiques ont gagnés conscience nationale de son pouvoir et son souhaites. La conscience nationale développée par « progrès économique et social de toutes les nations et nationalités » a eu l’effet de réduire la légitimité d’un gouvernement central. Un exemple de ce effet est le ouverture du dialogue sur le pacte Molotov-Ribbentrop qui ont fait qui les républiques baltiques questionnassent le légalité d’annexion à l’Union Soviétique. Autre exemple, Gorbatchev a poursuivit amélioré des relations avec les états capitalistes et établir la coexistence pacifique et les relations économiques. Les républiques, plus ouvertes aux influences occidentales, ont obtenus informations extérieures sur la situation de l’Union Soviétique, déclenchement un mouvement non pas plus capable de être restreignit par le centre.

La vélocité des mouvements nationalistes et l’incapacité du centre de contenir ses forces sont exemplaires de la vision des républiques sur les réformes du Parti Communiste. Beaucoup des républiques nationales n’acceptaient pas un fédéralisme avec un centre fort et autres n’acceptaient pas payer l’inefficace des autres républiques dans une système fédéraliste, par exemple de soutient des satellites de le sud-est européens. Chacune des républiques autonomes avaient des motives de s’opposer au gouvernement central et ses motives n’étaient pas seulement les nationalismes. Pourtant, le nationalisme a de capacité de concentrer les demandes sur un mouvement commun : « le people ne lutte pas nécessairement pour la nation, mais par la nation » (Kemp, 1999 : 196).

Ses trois thèmes présents dans les textes peuvent être se communiquer avec le modèle de circule contradictoire et vicieux ou le dilemme de l’apprenti sorcier de Kemp (1999) : le centre font des concessions en théories à les demandes des nationalités comme une forme de utiliser le nationalisme comme légitimation du centre. Mais le nationalisme ne peut pas être contrôlé et dans un moment le nationalisme doit être contenu pour des mesures drastiques. Ces mesures créent un effet plus fort dans un moment futur. Le centre essaye de corriger ou contrôler la pression nationaliste mais ça seulement renforce des mouvements. En traduisant dans un circule ça marche comme ça : i) le présentation des mots, lois, actions pour le centre en cherchant légitimé avec les mouvements nationalistes au même temps que essaye de ; ii) crée les actions de légitimé le étatisme et centralisme pour se maintenir dans le pouvoir ; iii) neutralise le nationalisme en cour temps mais développent des sentiments de anti-centrisme et pro-nationalisme qui justifie commencer le circule.

Lénine a commencé le dilemme avec le politique d’auto- détermination théorique mais supprimant dans l pratique toutes les mouvements de nationalisme. L’utilisation de théorique de l’auto-détermination a crée un force agressive qui a fait Lénine accepte le création des Commissariats. D’après, Staline a utilisé la suppression des nationalismes avec ses politiques de « nationalisme en forme,

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