La loi de religion

Texte 2 : « La Loy de Religion », seule vraie loi fondamentale des ligueurs (1588)

Les oppositions entre catholiques et protestants on été a l’origine d’une série de huit conflits qui ont ravager le royaume de France, que l’on a appelle guerre de religion. Cette période qui a dure un siècle a été un moment de remise en cause mais aussi de clarification pour l’Église et la religion dans son ensemble mais aussi pour le royaume de France.
c’est ainsi qu’on arrive en 1588 a cette réponse des vrays catholiques françois aux catholiques anglais pour l’exclusion du roy de Navarre de la couronne de France. Cet extrait du texte sera l’objet de notre commentaire de document.
l’on sait d’après l’auteur que ce texte a été écrit en 1588 et qu’il est destine a l’Église catholique anglaise, donc a des intellectuel et aussi qu’il a sûrement été traduit en Anglais. Cet texte, comme on l’a dit plus tôt, ce texte est probablement une lettre en réponse aux catholique anglais qui ont émis un avertissement a ce que le roi de Navarre n’hérite de la couronne de France car ce dernier n’appartient pas au courant catholique. En effet, pour accéder a la couronne de France il fallait remplir certain critère de sélection, dont un qui stipule que l’aspirant au trône doit être de confession catholique. Ce que n’est pas le roi de Navarre, qui remplir les autres condition importante sauf celle la, car il appartient a la religion reformée donc au protestantisme. On peut également constate que ce texte s’articule autour de quatre grands mouvements : le premier mouvement part de la (l. 1 à  9), le deuxième part de la (l. 9 à 25), le troisième de la (l. 26 à la l. 36) et enfin le quatrième de la (l. 37 jusque a la fin du texte).
Concernant l’auteur l’on ne sais pas grand-chose, l’on sait juste qu’il a participe en collaboration avec d’autres auteur pour l’ouvrage La pensée politique d’où ce texte est cité.
Comment a partir de ce texte, l’auteur nous montre l’importance qu’a la religion au sein du royaume de France
Notre analyse, s’effectuera en trois partie. D’abord, l’on s’étalera plus sur l’importance qu’a la loi, ensuite l’on parlera de la place qu’occupe la religion et enfin nous verrons le rôle de l’Église a travers le rôle qu’effectue le roi et le pape.

I. la Loi

dans ce texte, l’on constate une omniprésence du mot loi. Elle est répété plusieurs fois dans le texte avec des orthographes différentes. Et c’est ce qui va nous intéresser particulièrement dans cette première partie de notre analyse du texte, sur ceux l’on attaque la première sous partie de l’analyse qui est :

       a . Les lois présent dans le texte

comme sont titre l’indique cette première sous-partie est consacre a l’étude des différentes lois cité dans tous le texte.
On commence déjà avec la première loi cité au tous début du texte à la (l. 2)  : « la Loy de Religion », quant l’on s’appuie sur le sens qui est donne par le texte, la Loy de Religion est la loi incontournable. Elle est indispensable car elle englobe tous et défini tous, elle est au centre même de notre vie et dans le texte au centre du Royaume de France. Selon le texte, elle est aussi appeler « la Loy de Jésus Christ » : à la (l. 3) ou encore « la Loy chrestienne & Catholique » c’est a dire universelle et donc commun a tous.
Autre loi que l’on trouve un peu plus loin dans le texte, de la (l. 27 à 28)  : « de loy qu’on nomme Salique » cette loi a été instaure afin mettre en avant la primogéniture masculine et ainsi éliminer les femmes de la succession au trône y compris les filles de souverain décédé.
A ces définition on peut également s’arrêter un instant sur l’orthographe du mot, car elle est écrit de deux manière dans notre texte. Première écriture la « Loy » cité un peu partout dans le texte et la « Loix » cité à la (l. 6 et 8). On peut donc émettre un hypothèse d’écriture, la première écriture « Loy » représente une forme de loi supérieur au deuxième « Loix » qui selon est moins important d’où le faite qu’il ne soit pas beaucoup cité.

        b. Exit-il une loi plus importante que « la Loy de Religion » ?

Cette deuxième sous-partie, va elle se concentrer sur les interrogation que l’auteur pose sur « la Loy de Religion ».
avant tous, le texte commence avec une interrogation : « Premierement y’a-il Loy, soit escrite, ou non escrite, plus naturelle, plus fondamentale, ancienne, & universelle, de tout le monde, que la Loy de Religion ? » (l. 1 à 2). comme nous l’avons vu un peu plus tôt lorsque nous avons donner une définition à « la Loy de Religion », nous avons dit que c’est une loi qui sert de fondation pour toutes les autres lois et c’est ce que l’auteur cherche a démontre a travers cette interrogation. Il va encore plus loin dans son interrogation : « Y a-il Loy plus unie, essentielle, incorporee, & inseparable de ce royaume, que la Loy de Jesus Christ, ou la Loy chrestienne & Catholique ? » (l. 2 à 4). On voir clairement que l’auteur pose une question rhétorique concernant la Loy de Religion. En effet, il nous donne la réponse dans sa deuxième interrogation en disait qu’il s’agit de la Loy de Jesus Christ et que la Loy escrite fait référence à la loi inscrit dans la bible. c’est aussi pourquoi l’auteur parle de «  Loy chrestienne & Catholique (ce n’est tout qu’un) », (l. 4) car la bible est le livre commun qu’on les Catholique et les chrestienne. Lorsque le message luthérien à commence a ce diffuser en France vers 1520, elle a change  la façon de rendre le culte, au lieu de passe par l’intermédiaire des hommes qui est le culte de la Vierge et des saints, on passe directement pas Jesus Christ, qui est le lien direct avec Dieu, c’est a dire le seul véritable intercesseur. Mais pour connaître ces détaille il faut avoir accès a la parole divine qui est la bible, ce livre rapporte l’importance qu’a Jesus Christ dans la Religion et donc pourquoi la « Loy de Religion » est aussi la «  Loy de Jesus Christ »
Donc si l’on doit répondre a cette question, il en va de soit de dire non, car la «  Loy de Religion » est la « Loy de Jesus Christ » qui lui est le fondement de toute les loi.

L’analyse de cette première partie nous a permis de définir certains terme du texte et aussi de reponde au première interrogation du texte.  Nous allons maintenant nous attaquer dans la deuxième partie de notre étude au cœur même du texte qui le place de la religion dans le royaume.

II. La place de la Religion dans le royaume de France

L’on a vu dans la première partie de notre analyse que la Loy de Religion est la basse de tout et donc indispensable au fonction d’un royaume. Par conséquent, nous allons parle du rôle du roi dans la religion et dans le royaume de France, ainsi que celui de Dieu par le bière de son intermédier direct qui est Jesus Christ.

        a. la religion, la base du pouvoir royale

la religion est au centre du royaume, car la France et un pays très catholique de ce fait, son appartenance a la croyance peut-être constate par cette affirmation : « que la loy chrestienne n’est pas appellee la loy du peuple, mais loy de tout le Royaume, », (l. 11). Tout est faire de tel-sorte que les décisions qui sont pris corresponde au système religieux. l’un des exemples qui traduit bien cette penser, c’est l’adoption en 1582 du calendrier grégorien du royaume de France. Calendrier qu’on utiliser tous les états catholique a cette période.
« d’autant que la loy de la religion Chrestienne est loy de la Republique, & les loix de la Republique  ne sont pas les loix de l’Église », (l.13 à 14). On constate une distinction claire et net, la loy de la religion est aussi la loy de la république, et dans le sens contraire la loy de la république est toujours soumis a la loy de la religion. En terme plus simple, c’est que l’état, le roi, la république, quelque soit sont appellation n’aura jamais le dessus sur l’église. Toutefois, cette phrase est a discuter car il y-a eu des moments dans l’histoire ou l’état, c’est a dire le roi a eu le dessus sur l’église.
Comme exemple exploitable…….
« C’est pourquoy noz Roys ne sont pas dits simplement Roys de France, mais Roys pas la grace de Dieu : ils ne sont pas dits tenir seulement leurs royaume de l’espee, mais principalement de Dieu, & de sa religion. » (l. 23 à 25). Ce passage est claire, tous pouvoir royale vient de Dieu, et lorsqu’on regarde en profondeur on comprends mieux plusieurs choses, comme pourquoi un roi ne peut pas être destitue, Dieu les protège en leurs corps et en leurs biens. En définitive ce sont les dieu de la terre.

        b. Qui peut-être roi en France

L’accession au trône de France se faire sur critère de naissance et surtout sur le critère religieux. Nous avons dit dans la première sous-partie que la France est un pays catholique et donc pour siéger sur le trône il faut l’être : « aussi ceste ancienne pratique & coustume, par laquelle Ton a tousjours veu, que nul n’a esté admis à succeder à la Couronne, qui n’aye esté catholique pas succession des Roys […] de loy pour la succession du royaume par laquelle nul n’y peut parvenir qui ne soit catholique. » (l. 28 à 31), c’est cette appartenance religieuse qui est l’origine de ce texte.
Un autre critère a remplir pour prétendre au trône de France : « par laquelle Ton a toujours veu que nul a succedé à la Couronne, qui n’aye esté masle pas succession des Roys, » (l. 26 à 27), seul les hommes peuvent être roi en France, les femmes en sont écarté a causse de la loi Salique, ( mentionne a la l. 28) et nous l’avons définir plus tôt dans notre analyse. Toutefois, il peut-y avoir des exception comme ce fut le cas de Anne d’Autriche, qui a été régente après la mort de Louis XIII car Louis XIV était trop jeune pour être roi.
L’autre étape de la succession au trône que nous verrons pour termine, se fait pas le bière des lois Fondamentales, c’est à dire des règles de transmission de la couronne par le sang. On garde tous les deux premier critère, donc un oncle qui a le sang royale peut-être roi, un cousin, un neveu. Cependant, l’on peut assister a des cas ou un individue accéder au trône sans faire partir de la ligné d’un roi.            

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