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Au Bonheur Des Dames, Emile Zola Resume Chapitre Par Chapitre

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tort a toutes les petites boutiques spécialisées qui doivent baissé les prix pour concurrencer ce magasin. Malgré tout ce que Baudu avait dit il laissa le choix a Denise qui ne donna pas son opinion tout de suite. Elle parla d’aller se coucher tôt mais avant regarda les deux boutique face a face, l’une sombre et l’autre illuminée attirant le regard. Au final elle s’approcha de la porte du bonheur des dames et resta devant. Bourras et baudu lui parlèrent un dernière fois et M. Baudu rentra plein de tristesse et Mme Baudu demanda a Denise si le lendemain elle allait postuler et elle répondi que oui sauf si cela leur faisait trop de peine.

Chapitre 2 :

Denise était devant le Bonheur des dames avant même que les commis arrivent donc elle attendit un peu craignant d’être ridicule. Elle voyait les employé entrer et certain la dévisageait donc elle décida de n’entrer que lorsque tout le monde serai arrivé, elle fit donc le tour de la place et elle s’aperçut qu’un homme attendit comme elle. Il lui demanda si elle ne pouvait pas le renseigner mais il se rendit compte qu’elle etait comme lui et s’excusa. Au bout d’un moment elle interpella un homme et cet homme était Octave Mouret. Octave monta dans son bureau. Bourdoncle, un des lieutenants du patron, un des plus cher et des plus écouté entra dans son bureau et commencèrent un petite dispute amicale sur leur sommeille. Après un moment un silence régna. Ils descendirent vérifier que tout vas bien et réfléchir a des chose pour amélioré le magasin. Mouret survola le travail de chaque commis. Après quelque moquerie des employés Mouret leur expliqua le système de la petite prime qu’il voulait leur payer pour chaque erreurs découverte dans les notes du débit là les employés cessèrent de rire. Bourdoncle descendit voir Albert qui avait fait un erreur dans la prise de l’adresse, il détestait ça. Bourdoncle cria après Albert et Mouret vint a sont secours en gentil patron. Après une heure d’hésitation Denise entra ais resta planté devant un étalage, celui de Robineau. Elle perdait la tête et ne comprenait pas les explication, elle était perdu. Terrifiée elle demanda Mme Aurélie et se tromper de direction mais Hutin l’aida, elle cru qu’il était sincère mais il se moquait d’elle. Une fois montée elle demanda a une employée Mme Aurélie mais ne sachant pas où elle se trouvait la laissa de coté, quelque minutes plus tard Denise demanda si elle allait revenir bientôt mais personne ne savait Denise regarda donc par la fenêtre. Les vendeuses commencèrent a critique Denise. Quelque minutes plus tard Mme Aurélie monta et elle aperçut Denise elle vint la questionner et décida de l’inscrire Mouret et Boudoncle arrivèrent et Mouret demanda ce que faisait Denise ici et elle répondit qu’elle se présentait comme vendeuse. Bourdoncle rigola parce qu’elle n’avait rien de beau chez elle. Mme Aurélie demanda a Denis son nom, son âge, dans quelle maison de Paris avait elle travaillé. Denise répondit qu’elle venait de Valognes et Mouret la questionna a son tour quand il eut fini Mme Aurélie demanda a Denise ou résidait-elle a Paris et elle répondit chez son oncle Baudu et là Mouret réagit de nouveau et lui dit de faire passer un message a son oncle. Mme aurélie ferma le registre et lui dit qu’ils la contacteront. Denise partit en saluant tout le monde. A sa sortit l’homme du matin lui demanda comment cela c’était passer et c’était pour eux deux la même chose et l’homme se présenta sous le nom de Henri Deloche.

Chapitre3 :

Tous les samedi Mme Desforges invitait des gens de son intimité dont Mouret. Ce jour là elle s’arrêta et lui lui baisa la main elle avait du monde donc était un peu distante. Mouret lui demanda si le baron hartman allait venir. Elle lui répondit qu’elle avait sa promesse. Le baron hartman est le directeur du Crédit immobilier. Le baron n’est pas au courant de ce que Mouret veut. Mme Desforges est la maîtresse de Mouret. Il entra dans le salon où se trouvait toutes les femmes et les salua. Les femmes parlaient de leur affaires. Elles demandèrent l’avis de Mouret sur leurs achats. Mme Marty une fièvre acheteuse du bonheur des dames arriva. Elle montra au autre ce qu’elle avait acheté. M. de Boves et M. de Vallagnosc arrivèrent. Mouret retrouvait un amie d’enfance n’étant qu’autre que M. de Vallagnosc. Ils se remémorèrent leur enfance puis parlèrent de leur situation actuelle. Après un petit moment a parler Mme Desforges présenta le Baron a Mouret. Mouret flattât le baron en lui disant que sa dernière action avait bien fonctionné et qu’elle était étonnante. Tout sa sous la surveillance d’Henriette Desforges puis elle les laissa entre hommes. Ils s’installèrent tout deux dans le canapé et Mouret commença a parler de son projet qui consister a agrandir le magasin avec l’aide du baron qui l’aiderai a financer son élargissement puisque les crédits était principalement sur le pâté ou se trouvait le bonheur des dames. Mouret se confessa en racontant ses débuts puis les agrandissement qu’il a vécu. Puis il essaya de convaincre le baron en lui expliquant sa technique de vente mais ce qui inquiétait le baron c’était la clientèle du magasin.Mouret répondit qu’il avait la femmes et qu’il se fiche du reste, le baron est ébranlé. Mais après encore plusieurs explication Mouret demanda si Hartman était avec lui, mais le baron était encore a moitié conquis. Puis les deux hommes furent interrompis par les femmes que demandaient Mouret pour lui parler de la vente de lundi qui allait avoir lieu. Les nouveautés allaient être présente dans le magasin et toutes voulais des détails. Et elles avaient promis a Mouret d’être présente pour l’ouverture. Les femmes ne cessaient de questionner Mouret qui lui voulait laisser la surprise. Après avoir vu cela le baron lui dit qu’il lui ferait le crédit immobilier si la vente de lundi serai bonne, sinon il ne ferait rien et n’aiderai pas Mouret.

Chapitre 4 :

Lundi 10 octobre dès 8h quelques cliente même rare était présentent. C’était le premier jour de Denise au bonheur des dames, Mme Cabin lui montra sa chambre où elle allait loger le temps de son travail au bonheur des dames. Denise se changea et mit l’uniforme, une robe noire trop grande pour elle. Quand elle descendit elle éprouva un sentiment de honte. En arrivant elle entendit Clara se disputait pour être avant Marguerite sur le tableau des ventes, celui qui définit l’ordre dans lequel les vendeuse prenaient les clientes. Mme Aurélie dit a Denise qu’elle ne s’avait pas s’habiller et elle l’arrangea un peu. Clara se moquait des cheveux mais la lingère pris la défense de Denise et cette dernière la remercia du regard. Peu de clientes venait eu rayon confection et Denise était dans sa journée de teste mais quand une cliente arriva Clara se précipita et pris la place de Denise. Elle se révolta mais Clara s’en foutait donc Denis se retira les larmes aux yeux. Mme Aurélie lui dit de commençait par le commencement et Denise dût donc plier les affaires. Hutin avait besoin de 100 franc a la fin de la semaine et pour se faire 100 francs il fallait qu’il fasse de très bonnes ventes mais c’est a son tour et c’est un cliente qui n’achète rien donc il se cache derrière la caisse donc un autre s’occupe d’elle mais une autre cliente arrive mais ce n’est plus a son tour donc il se fait doubler de Favier et c’est Favier qui gagne des sous. Mme Desforges venait faire ses emplettes et acheta des gants et voulait une robe puis elle croisa Mme Marty et elles parlèrent. Après avoir acheté une robe en soie pari-bonheur Mme Desforges demanda a aller au confections, Hutin les accompagna. Dans le rayon des confection les jeune femme et Hutin rencontrèrent Mme de Boves. Mme Desforges remarqua Denise et dit a Mouret qu’elle serai mieu avec une robe a sa taille et Denise gêné pâli et elle souffrait des moquerie de la cliente et de son patron. Denise blessée retourna au tas de vêtement. Pauline vint consoler Denise. Ala fin de la journée le baron Hartman fût conquis par la vente et accorda le prêt. Ce soir là Denise regarda l’endroit où elle allait vivre, elle penser ne pas avoir le courage de recommencer un journée pareil, elle se changea et elle était fatiguée, elle avait mal aux pieds et un peu partout, s’abandonna sur son lit et pleura, elle était ivre de fatigue et de tristesse.

Chapitre 5 :

Dès le matin Denise est convoquée par Mouret mais elle avait passé un long moment pour arranger son attitude et Mouret en était content. Mouret lui dit de surveiller son physique. Denise doit surmonter les fatigues et le fait que les paquets de vêtement que lui cassaient les bras mais ce qui lui faisait le plus mal était ses souliers car elle était toujours debout. Elle devait aussi supporter les moqueries, la mise a l’écart, les surnoms méchants des autres filles du même rayon. Son seul refuge était sa chambre. Un soir après le dîner son frère vint lui demander dix francs qu’elle venait de gagner durement mais elle lui donna quand même. Denise évitait les dépenses. Pauline un soir alla voir Denise dans sa chambre et lui raconta son histoire et proposa a Denise d’en faire de même et Denise se mit a son tour a raconter son histoire. Pauline la consola et lui conseilla de se trouver un homme mais Denise ne veut pas. Pauline elle a un amant. Avant de retourner dans sa chambre, Pauline donna six francs a Denise. La jeune fille constata que la plupart des personnes sont en couple, elle perça même le

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