Imagine Of The People

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|A brotherhood of man |Aucun besoin d'avidité ou faim |

|Imagine all the people |Une fraternité d'homme |

|Sharing all the world |Imaginez tous les gens(le peuple) |

| |Partage de tout le monde |

|You may say I’m dreamer | |

|But I’m not the only one |Vous pouvez dire que je suis le rêveur |

|I hope someday you’ll join us |Mais je ne suis pas le seul |

|And the world will live as one |J'espère un jour que vous nous joindrez(nous|

| |rejoindrez) |

|John Lennon, Imagine 1970 |Et le monde vivra comme un |

Imagine

I want a house on a hill like the ones with gardens where Pap works. We go on Sundays, Pap’s day off. I used to go. I don’t anymore. You don’t like to go out with us, Papa says. Getting too old? Getting too struck-up, says Nenny. I don’t tell them I am ashamed-all of us staring out the window like the hungry. I am tired of looking at what we can’t have. When we win the lottery… Mama begins, and then I stop listening. People who live on hills sleep so close to the stars they forget those of us who live too much on earth. They don’t look down at all except to be content to live on hills. They have nothing to do with last week’s garbage or fear of rats. Night comes. Nothing wakes them but the wind. One day I’ll own house, but I won’t forget who I am or where I came from. Passing bums will ask, can I come in? I’ll offer them the attic, ask them to stay, because I know how it is to upstairs. The attic grumble. Rats ? they’ll ask. Bums, I’ll says, and I’ll be happy.

Je veux une maison sur une colline comme ceux avec des jardins où la Bouillie travaille(marche). Nous continuons dimanche, le jour de congé de la Bouillie. J'ai eu l'habitude d'aller. Je ne fais pas désormais. Vous n'aimez pas sortir avec nous, le Papa dit. Obtention de trop vieux ? L'obtention aussi en haut frappé, dit Nenny. Je ne leur dis pas que je suis chacun d'entre nous honteux regardant fixement de la fenêtre comme l'affamé. Je suis fatigué de regarder ce que nous ne pouvons pas avoir. Quand nous gagnons la loterie … La mère commence et ensuite j'arrête d'écouter. Les gens(le peuple) qui vivent sur le sommeil de collines si près des étoiles(stars) ils nous oublient ceux de ce qui vivons trop sur la terre. Ils ne regardent pas en bas du tout sauf être contents de vivre sur des collines. Ils n'ont aucun rapport avec les déchets de la semaine dernière ou la crainte de rats. La nuit vient. Rien ne les réveille, mais le vent. Un jour je posséderai la maison, mais je n'oubliera pas qui je suis ou d'où je suis venu. Le passage(l'admission) de clochards(derrières) demandera, puis-je entrer ? Je leur offrirai le grenier, leur demanderai de rester, parce que je sais(connais) comment il est à en haut. Le grenier bougonne. Rats ? Ils

demanderont. Des clochards(derrières), je ferai(serai) pour dire et je serai heureux.

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