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La Production (Aehsc)

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e est la mère de tous les biens ». Principal représentant : QUESNAY

« Terre est unique source de produits nets ». MIRABEAU « La terre rend d’avantage de richesse qu’elle n’en consomme. ». Pouvoir multiplicateur, terre source de productivité, toutes les autres activités qualifiés de stériles = utiles mais ne font que transporter ce qui existe déjà.

Il n’est plus question d’argent : conception matérialiste de la richesse. Mais conception très restreinte, les Classiques vont l’élargir.

3) Les classiques

Classiques s’orientent tous vers une concept° subjective (même si débat entre eux)

1er classique : A. SMITH, (Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776)) => division du travail . Secondaire plus important produit net est du côté de l’industrie. Smith « <dans une scté primitive, s’il faut 2* + de tps pour chasser un castor qu’un daim, il est normal que le prix du castor soit 2* + élevé que celui du daim. » => Théorie de la valeur du Travail en est en partie tirée. Argument qui montre que pour Smith la richesse vient du Travail. Autre argument : divis° du L (ex : manufacture épingles),

-1er effet : accroître puissance productive

2ème effet : réduction tps morts

3ème : source de PT

Il ajoute que c’est la proportion entre le L productif et le L improductif qui influe sur la croissance économique, proportion qui doit être favorable au L productif. L productif « sorte de L qui s’ajoute à la valeur de l’objet sur lequel il s’exerce », dont valeur s’ancre dans l’objet, ne concerne que les B (et transport), L qui permet de produire et transformer les biens. Industrie devient activité phare de la X° de richesses. L improductif « son ouvrage s’évanouit au moment même où il est produit », ne se réalise pas ds qqch = S. Smith ne mesure la X° que par L productif.

Malthus suit Smith alors que Stuart Mill et Say vont s’en éloigner.

Débat MALTHUS/LAUDERDALE. ». Malthus considère que l’éco n’est pas en mesure de contenir une mesure aussi extensive de la richesse car difficulté attribuer prix/valeur d’échange à toutes ces activités. Définition + semblable à Smith « La vraie richesse ce sont les ressource matérielles d’un pays. ». Distingue 2 types de B : ressources nécessaires à survie de l’H/tout le reste, afféteries (manières prétentieuses). Il ajoute : « Un pays sera riche ou pauvre selon l’abondance ou la rareté de ses objets (de 1er type) relativement à sa pop° ».Mais Lauderdale dernier a une conception extensive de la richesse : « Est richesse tout ce que l’H désire comme pouvant lui être utile ou agréable. Toutes les choses matérielles ou intellectuelle, tangibles ou non, qui peuvent être jouissives à l’utilité humaine

Concept° richesse progressivemt dépassée par STUART MILL, Principes d’économie politique, interrogat° à propos des S, distingue 2 types : S du transport et du commerce (apportent directement propriétés nouvelles, respectivement disponibilité de lieu et temporelle) / tous les autres S, apport indirect, ppté nouvelle (ex : armée, police => sécurité). 2 types qui doivent être pris en compte dans la compta de la richesse.

SAY considère 2 critères pour qualifier richesse : utilité/échange marchand (exclut S non marchands de la X°) (différent de Stuart Mill).

Néo-classiques vont clore débat => rejet séparation L productif/improductif. WALRAS définit éco politique par études richesse sociale. Richesse sociale : « ensemble des choses matérielle ou immatérielles rares qui nous sont utiles et qui d’autre part n’existe à notre disposition qu’en qté limitée. ». Concept° subjective de la valeur, côté consommateur (utilité).Ici question de ce qui n’est pas ds Nature naturelle, aussi bien B et S.

B/… et est conventionnelle dans les systèmes comptables,

Systèmes qui datent de l’après WWII.

1er système, 1954-75, système CNF (Compta Nationale Française). Produire : « Créer des B et S échangés sur un marché ». On y incorpore : les B et S marchands. Cet agrégat est la product° intérieure brute .

2ème système, 1976-2000, SECN (Système Elargi de Compta Nationale). Produire : « Créer des B et S habituellemt échangés sur un marché et/ ou obtenus à partir de facteurs de X° s’échangeant sur le marché. ». Comprend : B, S marchands et non-marchand utilisant facteurs de X° qui sont objets d’une rémunération (ex : école publique -> profs rémunérés). Ces derniers sont comptabilisés à leur coût de X°. Agrégat => PIB (appellat° qui va rester). Exclut : bénévolat, éco souterraine, L domestique (ROSANVALLON : « activités qui échappent au regard de l’Etat »).

3ème système, SEC 95 (depuis 2000-2001) => harmoniser compta différts pays euros. Pas de réelle déf de la X°, désigne à la fois processus et résultat (outputs-inputs). Contenus de la X° en 3 domaines : la X° marchande (B et S marchands vendus à un prix éco significatif) – 84% du total / la PEFP (X° pour Emploi Final Propre) : X° de B de C et/ou de X° destinés à usage des agents consommateurs, inclut loyers fictifs) – 5% / l’autre X° non-marchande : S gratuits (éclairage public, armée….), on ne sait pas à qui les attribuer => par convent° ce sont les administrat° qui consomment + S publics semi-gratuits (ex : université) considérés individualisables => Subvention Etat et participat° ménages – 11%. Agrégat : PIB. L domestique, éco souterraine, bénévolat tjs exclus.

PIB Frce = 1907,1 milliards € en 2009. Agrégat qui est une simple construct° sociale, une convent°.

(C/ et D/ sur polys)

II - … Fruit de la combinaison productive

A/ Définition

Association de ressources productives afin d’obtenir une nlle richesse (B et S). Inputs => Outputs. Transformer coûts en revenus.

Au niveau micro-éco, entrepreneur cherche meilleure combi productive possible. 2 étapes : 1°, opération technique, recensement de l’ensemble des combinaisons pour réaliser une certaine quantité d’un B en appliquant un principe d’économicité (ou non gaspillage des ressources rares) / 2°, opération éco, sélect° de 2 ou 3 combi qui lui semblent infférentes. Sélect° finale en fct° du prix relatif de chaque facteur -> applicat° règle du moindre coût => Technique qui sera soit travaillistique soit capitalistique.

B/ Les facteurs de production

1/ Le Capital

Nécessairement un stock (opposit° à flux).

Les différentes optiques du capital

Optique éco : K technique. Ensemble de B de X° (directs ou indirects) qui permettent de réaliser d’autres B et S. Smith distingue K fixe et K circulant. Le K fixe présente plusieurs caractéristiques spécifiques : 1°, Eugen Von BÖHM-BAWERK : le K fixe « forme un détour de X° fécond », exemple seau d’eau, « active perte de tps » ; 2° vieillit au cours des cycles de X° => remplacemt à la fin de sa durée de vie (naturellement, obsolescence ou évolution demande) par amortissent, obligation fiscale. De +, élément rigide, rend entreprise + sensible à conjoncture éco, constitue charges fixes qui sont lourdes. Mutation éco coûtent cher. Quand conjoncture éco morose : augmentat° coût fixe unitaire => zone de déséconomies d’échelles. C’est pourquoi faire en sorte de + en + variabiliser K fixe (ex : sous-traitance).

Optique juridique : K social (ou indiv si pas associat°). Réprésente apport(s) des associés (sous forme monétaire ou en nature). Act° (titre de ppté qui confère des dts) ou obligat° (titre de créance).

Optique de Gary Becker : K humain. « Ce sont les capacités physiques et/ou intellectuelles, innées et/ou acquises à travers l’éducation d’un individu ou d’un gpe d’individus favorisant la X° d’un revenu ». Renoncer à conso immédiate pour conso future. Calcul inter temporel effectué par agent éco. Une fois dans entreprise, autres salariés peuvent profiter de ses savoirs (-faire) => externalité positive.

La formation du capital technique nécessite une opération d’investissement obligatoirement…

Investissement : flux, opération éco qui consiste pour l’entreprise à acquérir des B de X° à caractère durable en vue : d’accroître/renouveler/améliorer la capacité productive de l’entreprise (I de capacité/remplacement (amortissement)/rationnalisation, modernisation).

A échelle macro : FBCF « valeur des acquisit° nettes des cess° d’actifs fixes, utilisées de façon répétée ds le processus de X° pdt au moins 1 an. ».

FBCF Frce 2009 : 392,1 Milliards € (52% pour SNF, 27% pour ménages, 16% admin° publiques, 5% SF).

Tx d’I d’une entreprise (micro) : I/VA

Tx d’I (macro) : FBCF/PIB

Immatériel (très) mal reconnu par compta nationale, mais pas par analyse éco. Dans FBCF : Tt I matériel + logiciels, dépenses de propspection

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