DissertationsEnLigne.com - Dissertations gratuites, mémoires, discours et notes de recherche
Recherche

Résumé Chapitre Par Chapitre Gargantua

Mémoire : Résumé Chapitre Par Chapitre Gargantua. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires
Page 1 sur 15

ou ventre de sa mere CHAPITRE III

Gargantua était le fils d’un homme et d’une femme, bien portants et bons vivants : Grandgousier et Gargamelle. La gestation de cette dernière dura onze mois. Rabelais se met alors à justifier son propos à l’aide d’histoires antiques et de médecine, en expliquant notamment la légitimité d’un enfant, orphelin de père.

Tandis que tout le monde faisait la fête, Gargamelle sentit les premiers signes de l’accouchement. Grandgousier vint la rassurer et lui montrer son soutien, puis repartit boire. La douleur était de plus en plus forte et les villageoises se rapprochèrent de Gargamelle. Une vieille dame la fit accoucher de Gargantua, par l’oreille. Ses premiers mots furent pour demander à boire. Rabelais tente de convaincre le lecteur de la véracité des faits et lui énonce différents exemples de naissances étranges.

Comment le nom fut imposé à Gargantua et comment il humoit le piot CHAPITRE VII

Gargantua s’appela ainsi car les premiers mots de son père à sa naissance furent : « Que

grand tu as ! » (sous-entendu le gosier). Cet enfant n’était jamais rassasié et il fallait de nombreuses vaches pour l’allaiter. En outre, le vin était pour lui un calmant et le son des verres qui s’entrechoquaient lui plaisait énormément.

Comment on vestit Gargantua CHAPITRE VIII

de Gargantua à l’invention d’un torchecul CHAPITRE XIII

Grandgousier demanda à ce que l’on habille Gargantua, déjà très grand pour son âge. Les tissus bleus et blancs utilisés pour fabriquer son costume, ainsi que ses bijoux, ses chaussures et sa bourse, étaient démesurés.

Les couleurs et livrée de Gargantua CHAPITRE IX

Lors d’une visite de son père, Gargantua lui expliqua ses différentes expérimentations afin de trouver le meilleur « torchecul » (l’oisillon duveteux). Durant son explication, Grandgousier parut étonné et enchanté de voir son fils réfléchir.

Comment Gargantua feut institué par un sophiste en lettres latines CHAPITRE XIV

Rabelais explique le choix du blanc (joie) et du bleu (céleste). Il poursuit en discutant de la signification des couleurs et de leur vraisemblance.

De ce qu’est signifié par les couleurs blanc et bleu CHAPITRE X

A la suite de cette discussion, Grandgousier donna à Gargantua, un précepteur sophiste et reconnu : Thubal Holoferne. Son enseignement par lecture et répétition porta ses fruits : il sut rapidement dire et écrire son alphabet. Holoferne lui lisait régulièrement des livres. A sa mort, il fut remplacé par Maistre Jobelin, qui continua ces lectures.

Comment Gargantua fut mis soubz aultres pedagoges CHAPITRE XV

En utilisant des termes antinomiques, Rabelais démontre que le blanc correspond à la joie. Puis il donne plusieurs exemples qui se réfèrent à cette couleur, qu’il dit, refléter le soleil. Il propose en fin de chapitre, d’effectuer le même raisonnement pour le bleu.

De l’adolescence de Gargantua CHAPITRE XI

Entre ses trois et cinq ans, Gargantua vivait selon son plaisir, tout en mangeant et en buvant. Il semblait ne pas se soucier des conventions et paraissait déjà intéressé par les femmes.

Des chevaux factices de Gargantua CHAPITRE XII

Grandgousier constata que l’instruction de Gargantua ne le rendait pas plus intelligent. Il en parla à don Philippe des Marais, qui lui présenta Eudemon, dont l’instruction relevait, non pas des Anciens, mais de jeunes pédagogues. Sa démonstration plut à Grandgousier qui ordonna que l’on nomme Ponocrates (pédagogue d’Eudemon), comme précepteur pour Gargantua. Ils décidèrent de partir pour Paris, afin de constater les compétences de ces jeunes pédagogues.

Comment Gargantua fut envoyé à Paris, et de l’enorme jument que le porta, et comment elle deffit les mousches bovines de la Beauce CHAPITRE XVI

On lui offrit un cheval de bois pour qu’il s’exerce à devenir cavalier. Il apprécia tellement cela, qu’il se construisit lui-même plusieurs chevaux en bois dans sa chambre. Le seigneur Painensac et ses suivants, en visite, furent surpris de constater que ces grands chevaux étaient faux. Ils reconnurent tout de même le bon esprit et la bonne répartie de Gargantua.

Comment Grandgousier congneut l’esperit merveilleux

On fit amener à Gargantua une énorme jument afin de le transporter jusqu’à Paris. L’auteur poursuit en expliquant que lorsqu’ils arrivèrent en Beauce, la jument secoua la queue pour se défaire des mouches et des frelons, si bien qu’elle rasa la forêt. Rabelais complète - par un jeu de mots - en montrant que, depuis ce temps-là la Beauce devint une terre de culture.

Comment Gargantua paya sa bienvenue es Parisiens et comment il print les grosses cloches de l’eglise Nostre Dame

CHAPITRE XVII

Lorsque Gargantua se promena dans Paris, il éveilla la curiosité des parisiens et dut se cacher en haut des tours de la cathédrale NotreDame, pour s’en défaire. De là, il leur urina dessus et en noya un grand nombre. Rabelais, à nouveau, fait un jeu de mots et expose que depuis cette affaire, la ville ne s’appelle plus Lutèce mais Paris (« Par ris »). Gargantua vola ensuite les cloches de la cathédrale pour les mettre au cou de son énorme jument. La Sorbonne envoya Janotus de Bragmardo, récupérer les cloches.

Comment Janotus de Bragmardo feut envoyé pour recouvrer de Gargantua les grosses cloches CHAPITRE XVIII

Ponocrates, observa Gargantua pour définir ses lacunes, avant de l’instruire. Il constata que le géant passait la majeure partie de son temps à se faire plaisir : lever peu matinal, petit déjeuner copieux, prière à l’église…

Les jeux de Gargantua CHAPITRE XXII

Après un déjeuner copieux, Gargantua s’adonnait à des jeux de cartes, d’adresses,... Rabelais cite tous ces jeux. Puis il faisait une grande sieste et se remettait à boire à son réveil, et dinait abondamment, après avoir quelque peu étudié.

Comment Gargantua feut institué par Ponocrates en telle discipline qu’il ne perdoit heure du jour CHAPITRE XXIII

Janotus de Bragmardo, se rendit auprès de Gargantua avec d’autres maîtres. Gargantua et ses proches décidèrent de faire boire ces invités, tandis que l’on rendait les cloches. Puis ils écoutèrent le discours de Janotus de Bragmardo.

La harangue de maistre Janotus de Bragmardo faicte à Gargantua pour recouvrer les cloches CHAPITRE XIX

Ce chapitre relate le discours de Janotus de Bragmardo, qui pria Gargantua de lui rendre les cloches. Dans ce passage, Rabelais caricature la scolastique, en mélangeant français et latin, sans être toujours cohérent dans ce dernier.

Comment le sophiste emporta son drap, et comment il eut procès contre les aultres maistres CHAPITRE XX

Ponocrates commença son instruction humaniste en administrant de l’hellébore à Gargantua, afin de lui faire oublier ses connaissances précédentes. Puis il modifia son emploi du temps : lever très matinal, révision des leçons de la veille, exercice physique, repas moins copieux, découvertes culturelles (apprentissage des armes, de la cavalerie, de la musique, astronomie…).

Comment Gargantua employoit le temps quand l’air estoit pluvieux CHAPITRE XXIV

Devant le discours incohérent du sophiste, Gargantua et ses amis se mirent à rire de lui, si bien qu’ils décidèrent de lui offrir une multitude de choses pour l’en remercier. Janotus rejoignit alors les siens à la Sorbonne, mais ceux-ci le fustigèrent. Janotus les accusa alors d’abus et les mit en procès. Rabelais commente cette affaire et parait émettre l’idée d’un procès interminable.

L’estude de Gargantua, selon la discipline de ses precepteurs sophistes CHAPITRE XXI

Parfois, quand le temps ne permettait pas ces activités, Ponocrates, instruisait Gargantua avec des activités « d’intérieur » : escrime, peinture et sculpture, « herboristerie »,… En outre, une fois par mois, une journée était consacrée aux plaisirs, mais toutefois, Ponocrates, ne laissait pas son élève sans apprendre et ils réfléchissaient et répétaient des leçons antérieures.

Comment feut meu entre les fouaciers de Lerné et ceux du pays de Gargantua le grand débat dont furent faictes grosses guerres CHAPITRE XXV

Pendant ce temps-là, un conflit éclata entre les « fouaciers » et les bergers (vendangeurs). En effet, les « fouaciers » refusèrent de vendre leur pain aux bergers alors deux hommes de chaque camp se bagarrèrent.

Les bergers secourus par les paysans, achetèrent leur pain avant de les faire déguerpir.

Comment les habitants de Lerné, par le commandement de Picrochole, leur roy, assaillirent au despourveu les bergiers de Gargantua CHAPITRE

...

Télécharger au format  txt (24.2 Kb)   pdf (184.9 Kb)   docx (16.5 Kb)  
Voir 14 pages de plus »
Uniquement disponible sur DissertationsEnLigne.com