Voltaire

jectif : « misérable » ligne 40, il fait des antithèses, afin de faire un éloge, et rappelle leurs objectifs, « éclairé les hommes, les rendre meilleurs, enseigner des vertus » ligne 47 fait référence à la diffusion du savoir. Il souligne le rôle des livres d’histoires qui s’oppose aux merveilleux de la ligne 37, qu’il qualifie « d’heureuse stupidité ». Il y a le champ lexical de la stupidité qui fait allusion à la bible, ligne 38, l’histoire à une fonction morale.

b) L’éloge du progrès :

L’imprimerie permet de diffusé un savoir scientifique et technique « de dissiper l’ignorance » ligne 20. Il fait l’éloge de l’agriculture et des « arts mécaniques » ligne 26, « réveiller le génie », « exciter » : (verbes mélioratifs). Allusion aux progrès de la médecine. Il y a une opposition de la médecine et de la religion. Les religieux sont parfaitement indignés face aux progrès de la médecine ligne 62. Voltaire plaide pour la liberté de pensé, dénonce les limites, les interdits exercés contre la liberté, il ridiculise l’auteur de l’édit grâce à des formules trop élogieuses donc ironique comme : « lumière des lumières élus, entre les élus » ligne 3, « sottise et bénédiction » ligne 5. Voltaire montre la censure comme une machine qui prive toute liberté.

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