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Philosophie

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Par   •  10 Avril 2019  •  Cours  •  25 454 Mots (102 Pages)  •  558 Vues

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Bibliographie :

-foi et savoir de Derrida

-propos d’Alain, suis la ligne historique de Descartes

-2 sources de la morale et de la religion 1932

l'avocat de la superstition (Spinoza : pense que c'est intéressant)

-Opuscules technologique Thomas d'Aquin

-La cité de Dieu de Saint- augustin

-les confessions de saint-augustin

La religion dans les limites de la simple raison

Dissertations possibles :

-peut on désirer l’absolu

-doit on opposer la croyance a la pensée

-Doit on opposer la croyance a la raison ?

Pourquoi le progrès scientifique n'a pas fait disparaître la croyance ?

La religion est elle irrationnelle ?

Pourquoi la religion ?

pourquoi ne pas croire ?

la religion doit elle nécessairement s'opp a la politique ?

Plan du cours :

1)Texte d'Alain (these arg)

2) en vous fondant sur votre réflexion mais aussi la méditation physique 1 et 2, mais aussi le texte d'Alain, doit-on opposé la croyance a la pensée ? (diviser en 2 parties 1 des textes)

Croyance : un jugement subjectivement suffisant et objectivement insuffisant

I) la religion le retour de la religion et la foi

II) Penser n'est pas croire

III) La croyance et la superstition

IV) le fait religieux et la politique

V) penser la religion dans les limites de la simple raison

1) Dans le texte

-Penser se n'est pas croire :

la faculté productrice de penser, réussir a prendre de la distance sur le sujet ou l'objet, accepter le doute et les réfutation

-Croire : s'attacher a un objet, sujet sans vraiment avoir une réflexion pas accepter le questionnement d'autrui

Descartes : partir du sujet vers le phénomène

L'opinion commune pense généralement que penser c'est croire et croire c'est penser.Se sont deux choses que l'on confond, que l'on emploi sans vraiment faire une distinction précise entre ces deux termes

Or, Le philosophe Alain est radicalement opposé à cela .

Le doute : J'accepte d’être réfuté, comme les physiciens qui remettent en question (grâce a l'erreur on évolue) leur thèse le contraire des philo n'accepte pas la remise en question et la philo n'evolu pas

Le physicien construit, la science construit, le philo déconstruit les doctrines des autres.

Pas de diff entre croire et penser un objet, croire c'est donner corps et âme, penser prendre la distance

I le retour de la religion et la foi

-Parler de la religion et la foi en philo

pourquoi on en parle, pourquoi on parle de « la religion » ?

elle développe un terme particulier, on le retrouve dans plusieurs langues, permettent de révéler la nature de la religion

-Immun : commun a nous(latin), religion abrahamique, on parle du salut, être sauver,qlq chose en relation avec l'immunité, ou l'aurore(sanskrit)

ce qui est humain, sacré indemne (en grec), celui qui a pourvoir sur la vie

→ reste intacte, non souillé, pas soumis a la génération ou a la corruption, pas soumis au temps, pouvoir sur les autres

-immunité : accordée a l’église, service de protection, on pouvait se cacher a l’intérieur, personnes d'églises n’étaient pas sous le pouvoir du roi ou des personnages politiques, pouvaient refuser leur service d'armée

généralement on l'a relie a la croyance mais il une y a une différence

Croyance/foi : penser en Dieu ? Croire en Dieu ?

Croyance opposé : incroyable, pensée(réfute les représentations communes ,O.C., rend possible le dialogue, rend possible le doute, qlq chose d'extra mais vrai)

croyance :monde commun dans lequel on ne veut pas s'arracher, nous empêche de penser, main mise sur le monde que je crois, pétrie de suffisance, produit d'une communauté,force, parfois essentielle et vitale pour l'homme

conviction religieuse ?

Convaincre : raison

Pensée c'est juger, subsumer le sensible en 1 règle

-pour penser il fut s’étonner, douter du monde

-penser c'est aller au-delà des opinons communes

-la foi c'est l'assentiment de l'âme a un événement extraordinaire

-seul la religion parle du salut pour être sauvé, pas la politique, qui elle veut regler les affaires humaines

I)-2

le retour de la religion : opposition possible entre elle et la science, savoir/croire

rapport religion politique : vie privée et générale

la science apparaît avec plusieurs progrès

la religion, qu'on pensait perdue, revient, les philosophes pensaient que la religion allait s'effacer et que le savoir prendrait le dessus

-Weber Max : premier a « critiquer la science et la technique, elles poussent a atrophier le monde, le monde s'est transformé en un monde d'objets,plus on découvert plus on se rend compte de notre faiblesse par rapport au monde et toute sa connaissance, plus on apprend plus on découvert plus on découvert encore, et cela montre notre petitesse

La science accepte la réfutation, donc tout ce qui est apprit peut être réfuté infiniment

-Voyage dans la lune : on ne peut pas savoir tout ce qui existe sur terre, plus hommes veulent connaître les phénomènes plus ils se rendent compte qu'il ne sont rien, donc les gens essaient d'expliquer certains faits par la religion alors que c'est plus compliqué

Michel Foucault(journaliste philosophe) : la religion c'est le désir de l'origine, psq si le chah d’Iran ne les a pas conquit c'est psq la religion c'est permettre a l'homme de remettre un lien verticale, par la prière je retrouve Dieu, ils les interrogent « que voulez vous » « nous voulons le gouvernement islamique et pas une révolution démocratique car dans un monde désenchanté sans bonheur

La religion devient une croyance ancestrale motivée par le désir de la nostalgie de l'origine, pas une démocratie qui respecte les        , le retour du sacré au profane, du pur a l'impur, « leur fin, leur humiliation, leur haine du régime du shah, et la volonté de le renverser, dans une histoire rêvée religieuse et politique »

c'est un effort de sauver l'immun, ce qui est sain, indemne, mais en mm temps il n'y a pas de retour de l'immun sans détournement du sens, sans la violence qui accompagne ce retour. Violences pour ce régime islamique ou de ce désir absolu de ce retour d'origine

Il pose problème car il consacre la haine de la R, le méprit du jugement clair et distinct, car on demande croire et plus penser. En adorant le sacré, en interdisant toute interprétation de texte sacré, on peut exalter tout ce qui est l'ordre du respect de l'interdit de ce qui est sauf intacte donc la religion au méprit de la pensée

Heidegger : la religion c'est la halte de ce qui doit rester sain sauf ce qui est intacte indemne, immun, au prix de sacrifice de soi et dans la prière.

Ce qui conduit a penser que la religion multiplie les tabous les interdictions de la liberté du corps, avortement, progrès artificiel, car il s'agit d'actes contre l'immun, qlq chose qui doit rester indemne qui appartient qu'a Dieu

Pour conclure : la conclusion n'est pas évidente, la religion constitue une rupture avec la pensée, cela devient un obstacle a la pensée

I)3

la religion abrahamique et les lumières

-les 5 pentateuques

-Analyse de Bergson: on est arrivé a une forme d’incarnation de Dieu dans une chair(Jésus> »fils de Dieu »), plus les religions progresse plus « elle » devient une -grande religion monothéiste

    >quand bien même le Dieu n'est pas incarné, il a qd même un lieu, il est incarné dans un lieu qui est le monde méditerranéen

Il a un rapport entre le rayon de soleil et la topographie du monde méditerranéen

Ce lieu est lumineux et céleste, contraire des ténèbres

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