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Présentation Rapide De Ce Que Je Recherche

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à mettre en valeur la gravité des actes du lion.

Vers29 ( court par rapport aux autres ; ce vers met en valeur le berger.

Le discours du lion est construit de manière très rigoureuse puisqu’il emploi d’abord le « nous » ou il montre ce qu’il faut faire. 2éme partie il s’accuse en mettant en valeur ses crimes. Dernière partie du discours il invite les autres à s’accuser selon un principe de justice.

C’est une délibération par la suite

2éme animal qui parle ( le renard = hypocrisie, ruse, intelligence

Vers34 : l’apostrophe « sire » montre que le renard veut se soumettre à la force du lion. Flatterie de la part du renard « trop bon, loué » qui sont des termes mélioratifs. Le but du renard est de flatté le lion. Il va minimiser les crimes du lion en critiquant ses victimes.

Question réponse pour effacer les crimes du roi. Le lion utilise le verbe « dévorer » et le renard le verbe « croquer » ce qui atténue les crimes du lion. Le verbe « dévorer » connote la gloutonnerie alors que le verbe « croquer » est beaucoup moins grave : c’est un euphémisme.

Vers 41-42 : La Fontaine profite de l’inversion de la situation pour critiquer l’attitude des hommes.

Vers 43 : La Fontaine critique l’attitude des courtisans. La stratégie du renard est de flatter et de minimiser les crimes du lion mais il ne s’accuse pas. Son discours est entièrement tournez vers le roi mais il n’est jamais tourné vers lui. La Fontaine après abandonne le discours direct et reviens au récit. Il y a une ellipse narrative c’est-à-dire qu’on ne saura pas ce que dise les autres animaux au discours direct car les arguments seront toujours les mêmes.

Jugement du narrateur au vers 46.

Vers 48, le narrateur juge les animaux et l’expression « petit saint » est ironique. Opposition dans les animaux qui sont qualifiés par l’adjectif « querelleur ».

Dernier animal qui parle ( l’âne.

La Fontaine n’a pas le temps de faire parler tous les animaux parce que l’apologue est un genre court qui est condensée.

Les caractéristiques de l’âne sont la faiblesse et son honnêteté.

Vers 54 ( L’âne avoue sa culpabilité. La faute de l’âne est ridicule, c’est une béquadille. L’âne est le seul à être franc.

Vers 55 à 62 ( jugement

Accélération du récit (vers 55), « on a trouvé le coupable » tous les animaux se retournent contre l’âne

Cette fable veut dire que maîtriser le langage c’est maîtriser les autres.

Vers 57 à 60 : accusation du loup et jugement de l’âne.

Les vers 59 à 60 sont découpés en 2 parties, il se sert de ces vers pour montrer la disproportion entre la faute de l’âne et le châtiment qu’il lui réserve.

Le vers 60 est divisé en 2 parties, c’est un alexandrin qui se découpe en partie égale de 6 syllabe. L’efficacité de l’apologue nécessite un récit rapide et on le voit à la fin du récit car le jugement et le châtiment appliqué vont être très rapide.

Dans les 2 derniers vers de la fable La Fontaine dégage explicitement la morale qu’on peut tirer de ce récit. On passe du narratif à l’argumentatif. On passe du récit à l’argumentation. On est dans le registre didactique. La Fontaine s’adresse à son lecteur avec la 2éme personne du pluriel et montre qu’on ne doit plus faire référence aux animaux mais au lecteur et aux hommes en générale. Le terme « court » montre bien qu’on parle des hommes, on relève des oppositions dans ces 2 derniers vers qui prolongent l’opposition du récit, qui sont mise en valeur par la conjonction « ou ».

Puissant ou misérable ( puissant=blanc et misérable=noir ( mise en parallélles antithèses

La morale passe par le récit dans son ensemble et dans les 2 derniers vers de manière explicite. Il s’adresse au lecteur par la 2éme personne du pluriel.

L’argumentation par le récit est de manière indirecte et elle est directe dans la morale. On peut mettre en valeur le « selon que » à l’avant dernier vers qui montre que l’injustice n’est pas juste.

Cette fable critique la justice en premier lieu qui varie en fonction du statut social. On a un simulacre de procès (faux procès) où la force l’emporte sur la raison. La Fontaine critique aussi la cour, les courtisans, la flatterie, l’hypocrisie et l’utilisation de la langue.

Exemple de questions

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