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et le tourisme. »(Ministère de la Famille, 2007). Même si elles se concentrent dans ces domaines au niveau post-secondaire, il est à noter qu’au niveau secondaire et collégial, qu’elles s’inscrivent de plus en plus dans des domaines jadis fréquenté presqu’uniquement par des hommes. Des secteurs de formation tels l’agriculture et les pêches et le transport constitue maintenant respectivement 67 et 28% des inscrits au programme.

Du côté universitaire, les sciences appliqués n’ont pas la cote chez les femmes. Bien qu’il y est une augmentation depuis 1999, un maigre 28% du total des diplômés de 2005 dans cette discipline était féminine. Elles semble se concentrer d’avantage dans les secteurs du génie et/ou de l’informatique bien que bien que leurs nombre reste bien en deça du nombre d’homme dans ces domaines. Elles sont majoritaire par rapport aux hommes au niveau des sciences biologiques, biochimique ou Microbiologique. « Toutefois, elles ne constituent pas encore la moitié de l’effectif en sciences phuqieus (22%), en mathématiques (42%) ou en chimie (46%). »(Ministère de la Famille, 2007)

Les sphères d’emplois des femmes

Les statistiques de l’année 2005 démontre que les femmes occupent surtout des emplois dans l’industrie des services où elles occupent 55% de la force de travail. Elles font aussi de plus en plus partie des ordres prefessionels québécois. En fait, les statistiques montrent qu’en dix ans, le nombre de membre féminin a augmenter dans dix-sept des vingts de ces ordres professionnels québécois. « Cependant, il y a peu de femmes parmi les arpenteurs-géomètres ou les technlogyes professionnels (8%), les ingénieurs (11%), les ingénieurs-forestiers (12%), les géoloques (13%) à titre d’example »(Ministère de la Famille, 2007)

Malgré ces chiffres qui démontrent une progression net de la présence des femmes sur le marché du travail, nous reconnaissons encore que l’indice de ségrégation est encore de 52,2%, une mince régression de 7% en 30 ans. Si aucune ségrégation n’existait, cet indice serait à zéro.

Les femmes et la rémunération

Une étude réaliser en 2009 par Emploi Québec révèle que le salaire horaire moyen des femmes agées de 15 à 64 ans était de 19.20$ pour les emplois à temps plein. « En 2007, le salaire horaire moyen des femmes de 15 à 64 ans employées à temps plein est de 19,20$” (Québec E. , Femmes et Travail, 2009)

De plus, l’étude indique que 38% des femmes employées en 2007 n’étaient pas syndiqués. « En 2007, 38 % des femmes sont syndiquées. »(Québec E. , Femmes et Travail, 2009)

Parmi les autres paramètres mis à l’étude ont note que les femmes sont fortement présente dans les entreprises de petite envergure. « les travailleuses sont un peu plus présentes que les travailleurs dans les petites entreprises. En 2007, le tiers des femmes travaillent dans une entreprise de moins de 20 employées et employés » (Québec E. , Femmes et Travail, 2009)

Comparaison de la situation des femmes et des hommes en matière d’éducation

À la lecture des étdues fait sur le sujet, il est évident que les femmes sont autant si non plus scolarisées que les hommes. Le tableau ci-bas montre les statistiques obtenuent par le Gouverement du Québec en 2001; mises côte à côte.

(Québec G. d., 2001)

Comparaison des sphères d’emplois entre les femmes et les hommes.

Les études menées en 2006 démontrent que les femmes se dirigent deplus en plus vers le marché des services dans lequel elles occupent plus de 55% du marché. Un élément qui n’est pas démontré dans les tableaux ci-bas est que les métiers d’éducatrices et aides-éducatrices est passé du 20em rang des professions occupées par des femmes au 7em, 10 ans plus tard tandis que les hommes ont eux optés deplus en plus pour des métiers relié à l’informatique alors que le classement est passé du 7em au 1er rang dans le même lapse de temps.

Les 5 principales professions les plus fréquentes chez les femmes en 2006 selon le rang en 1991, Québec, 1991 et 2006 |

| | |

| Population active |

| féminine |

Professions | 1991 | 2006 |

Secrétaires (sauf domaines juridique et médical) | 143 325 | 99 100 |

Vendeurs et commis-vendeurs, vente au détail | 79 895 | 96 015 |

Caissiers | 60 270 | 70 425 |

Éducateurs et aides-éducateurs de la petite enfance | 15 325 | 57 340 |

Commis de travail général de bureau | 54 705 | 55 740 |

(Québec G. d., 2001)

Les 5 principales professions les plus fréquentes chez les hommes en 2006 selon le rang en 1991, Québec, 1991 et 2006 |

| Population activemasculine |

| |

Professions | 1991 | 2006 |

Professions en informatique | 29 700 | 78 365 |

Vendeurs et commis-vendeurs, vente au détail | 56 125 | 73 300 |

Conducteurs de camions | 49 360 | 63 385 |

Directeurs de la vente au détail | 54 705 | 42 990 |

Mécaniciens, techniciens et réparateurs de véhicules automobiles | 33 975 | 37 625 |

(Québec G. d., 2001)

Comparaison de la rémunération entre les femmes et les hommes.

Comme mentionné précédemment la salaire horraire moyen des femmes en 2007 s’établissait à 19.20$ tandis que celui des hommes était à 21.60$ soit une différence de prés de 13%.

2 - Comment prendre en compte la présence des femmes dans les organisations.

Le recrutement

Indéniablement, les femmes représentent une trop grosse part du marché du travail pour que leurs besoins soient ignorés. Les études disponibles démontrent avec évidence que la conciliation travail-famille est un très grand obstacle pour beaucoup d’entres-elles. Les entreprises qui reconnaitront et pareront à ce problèmes principal auront une longueur d’avance sur leurs compétiteurs quant à l’attraction et la rétention des femmes dans leurs entrprise.

Les entreprises qui le peuvent se doivent de se doter d’un programme d’attraction des femmes en mettant en évidence des facteurs qui facilitent la vie des femmes mais qui démontre aussi des défis réels au travail. Des facteurs de flexibilités d’horraire dans laquelle elles verront la possibilité de gérer les rendez-vous de la famille ou bien encore des facteurs de rémunération alléchant. Plus précisémment, le programme optimum d’une entreprise devrait s’assurer d’énumérer les facteurs suivant :

* La possibilité d’un travail à temps partiel.

* La possibilité de faire du télé-travail.

* Une rétribution globale axée sur les besoins potentiels d’une famille ainsi qu’un salaire compétitif sur le marché et équitable par rapport aux hommes.

* Un nombre de jour de congé suffisant.

* Une liste de défis et avancement potentiel.

(inc, 2009)

Un tel programme aura tôt fait de développer la marque de l’employeur et d’assurer un bassin de candidate suffisant pour assurer un positionnement de choix dans le marché et la compétition. Il en sera aussi plus facile de gérer le processus de dotation lorsque le bassin de candidate est suffisant.

La dotation

La dotation en générale mais plus particulièrement celle concernant l’attraction et le recrutement des meilleurs talents féminin devra s’assurer de démontrer une image professionel de l’entreprise très tôt dans le processus de dotation en commencant par la qualité des recruteurs. Ces derniers sauront faire valoir le professionalisme de l’entreprise en faisant miroiter le caractère important du poste, les défis s’y rattachant et les conditions de travail inégalées.

Un des aspects qui projettera une image professionel de l’entreprise se situe au niveau des outils utilisés lors du processus de recrutement. En effet, l’utilisation de :

* test ou de mise en situation de travail

* test d’aptitudes intellectuels

* test de connaissance

* méthode d’entrevue de sélection strucutrée