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Exposé Saint Cyr

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émonstrations de techniques de combat, la reconstitution d'une opération militaire en Afghanistan, ou encore les prouesses d'un pilote de voltige aérienne.

Une semaine de répétition

Plus solennelles, les cérémonies nocturnes à 22 h 45 après une parade de musique. La présentation des différentes formations a ouvert les célébrations. Dans la nuit noire, près de 1 500 élèves des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan ont pris place sur l'immense esplanade du Marchfeld. Le public ne distinguait que des ombres. Au garde-à-vous, les élèves sont apparus parfaitement alignés, éclairés par de puissants projecteurs. Une semaine de répétition, de jour comme de nuit, a été nécessaire pour cette prouesse.

La soirée a vu la création de l'école d'administration militaire (EAM), née de la fusion de deux écoles. Les officiers sortants de l'ESM et de l'EMIA ont remis le drapeau de leur école à leurs camarades.

Les nouvelles promotions ont été baptisées. La 2e brigade de l'école militaire interarmes se nomme désormais Colonel Déaudat de Puy-Montbrun. Ce dernier s'est illustré durant la Seconde Guerre mondiale et la guerre d'Indochine. Le 3e bataillon de l'École spéciale militaire porte quant à lui le nom du Capitaine de Cacqueray, décédé au combat en Algérie à l'âge de 30 ans.

Pour la dernière fois, les promotions sortantes ont ensuite défilé et entonné leur chant de promotion. Un feu d'artifice musical a clôturé la soirée. Samedi, il y avait des étoiles sur les manches des généraux, mais également dans les yeux du public.

Sarah CASTILLES

Ouest France, lundi 26 juillet 2010

Le triomphe, une vieille tradition, dans un premier temps cette fête félicitait un bon tir, aujourd'hui le triomphe est synonyme de départ.

Il y a foule au triomphe, il faut dire que dans la journée « la fête » est composée d'activités et de démonstrations multiples.

La soirée de cérémonie, qui elle a été longuement préparé est réglée comme du papier à musique ce qui la rend impressionnante de part ça précision et ces rites. La cérémonie se termine par un feu d'artifice et le lendemain les élèves se réveilles en tant que officiers.

Des jeunes s'engagent : du militaire à la militante - AurayIl est jeune et il s'engage. Rencontre avec Maxime Debost.

Portrait

À 24 ans, Maxime Debost vient de quitter Auray pour embrasser une carrière de pilote d'hélicoptère de combat. Portrait d'un jeune homme passionné et déterminé.

L'institution militaire, il la connaît depuis toujours. « Mon père était militaire. Je n'ai pas vécu sa carrière mais il m'en a souvent parlé. Et puis avec mes parents, on a beaucoup voyagé. J'ai été au collège Le Verger à Auray mais nous étions au Burkina Faso quand j'ai passé mon bac », raconte-t-il.

Où qu'il soit dans le monde, le jeune garçon était entouré de militaires. Il les a d'abord observés, puis côtoyés et admirés. « Que ce soit lors d'expériences vécues à l'étranger ou en regardant des reportages sur des militaires en mission à la télé, je m'y voyais. Mais je ne franchissais pas le pas. »

Bon élève, Maxime Debost s'est lancé dans les études sans trop savoir où il allait et sans s'épanouir. « J'ai fait une année de maths sup mais l'ingénierie ne me branchait pas du tout. Après j'ai fait sciences éco à Vannes, sans grande conviction », raconte-t-il.

Franchir le pas

Mais la fac de sciences éco avait quand même un sérieux atout. « Elle n'était pas loin du Cirfa (Centre d'information et de recrutement des forces armées). Un jour, j'y suis allé », poursuit-il. Dans le même temps, en 2007, Maxime a pris des cours de boxe française. « Ça m'a beaucoup aidé à prendre confiance en moi physiquement. C'est ça qui m'a fait sauter le pas. »

En juin 2009, le jeune homme n'a plus aucun doute sur son avenir. Il sera militaire. « Au départ, je n'ai pas focalisé sur le métier de pilote. J'avais plus une réflexion globale sur l'armée de Terre. » Après des premiers tests tout à fait concluants à Rennes, il a tenté ceux pour le métier de pilote à Paris, qu'il a réussis. « Pendant cette période, j'ai eu quelques moments d'angoisse parce que tout peut encore basculer. Or, je ne me voyais plus faire autre chose que pilote », se souvient-il.

De belles missions

En mai dernier, les dernières angoisses ont disparu. Maxime Debost va enfin pouvoir entamer sa carrière de pilote d'hélico de combat. Début septembre, il a signé avec sa nouvelle famille... l'armée de Terre. « Je suis heureux. Ça commence enfin. Mes parents sont fiers de moi. Ils m'encouragent », se réjouit-il.

Depuis quelques jours, Maximes Debost est domicilié à Saint-Cyr Coetquidan où il reçoit une formation générale d'officier.

Après, il ira à Dax où il suivra une formation de pilote d'hélicoptère pendant 14 mois puis au Luc en Provence pour les techniques de combat. « Je ne me fais pas de plans sur la comète. Je veux réussir le métier que j'aime. Je ne suis ni un va-t-en-guerre ni un peureux. Si je m'engage, c'est aussi pour être utile », précise-t-il. Nul doute que dans trois ans, Maxime Debost sera aux commandes d'un hélicoptère de combat. « C'est un rêve qui se réalise. »

Christel MARTEEL.

samedi 18 septembre 2010, Ouest France

Maxime Debost issue d'une famille de militaire, a beaucoup voyagé, grâce à son père, militaire, souvent envoyé en mission, c'est de cela que vient son choix de carrière.

Il a suivie des études, mais aussi des cours de boxe, ceux-ci l'ont aidés à s'affirmer. Puis il saute le pas, il passe les concours de saint-Cyr Coetquidan, puis les test de pilote d'hélicoptère.

Il trouve ça voue, au grand bonheur de ça famille, il va alors suivre ça formation, avec la sensation de se réaliser pleinement.

REPÈRESjeudi 15.01.2009, 04:49 - La Voix du Nord

Anaïs Prévot avait participé, le 11novembre dernier, aux cérémonies du 90 e anniversaire de l'Armistice de 1918.

| GROS PLAN |Un métier avec des responsabilités, de l'esprit de cohésion, de la rigueur et de la discipline, voilà ce que recherchait Anaïs Prévot. À 21 ans, la Malouine suit actuellement la deuxième année à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr-Coëtquidan. En juillet 2010, la jeune femme espère en sortir avec le grade d'officier sous-lieutenant et poursuivre sa carrière militaire dans la Gendarmerie nationale.

PAR OLIVIER TARTART

Son retour dans ca commune natale n'était pas passé inaperçu lors des cérémonies du 90e Armistice, le 11 novembre. Shako (couvre-chef militaire des saint-cyriens) vissé sur la tête, le casoar (plumet blanc et rouge qui orne le shako) fringant malgré la pluie fine, Anaïs Prévot avait marqué les esprits. « J'avais juste demandé à Saint-Cyr la permission de participer aux cérémonies du Onze-Novembre à Dunkerque, précise la jeune femme avec un charmant sourire. Et pendant les discours officiels, à la mairie, j'étais restée dans le public. C'est là qu'on m'a demandé de venir sur l'estrade. Les gens m'ont posé plein de questions. J'ai même signé des autographes ! » Le prestige de l'uniforme sans doute. Un uniforme qu'Anaïs porte au grand étonnement de sa famille. Personne, dans la famille, ne le porte ou ne l'a porté.

Sa soeur, Manon (étudiante en pharmacie), comme son frère, Rodolphe (lycéen en seconde à Jean-Bart) ne l'envisagent pas non plus. « Mes parents ont été surpris de ce choix car cela reste, quoi qu'on en dise, un métier

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