Nourrir Les Hommes

mais pas toute l’année)

insécurité alimentaire : ex : Nordeste : grave car taux de développement chez la population extrêmement bas

- Brésiliens revenus semblables USA, alors que d’autres, revenus de pays peu développés : grand écart

- doc 6 : lutte entre gds et petits propriétaires : quelques petits proprios résistent en culture vivrière : organisés en coopératives (minis ONG de défense de l’agriculture locale) (années 60 +/- révolutionnaire(s), ajd en toute légalité) = résistent au grignotage de leurs propriétés par les grands groupes.

- dans les années 70, tentatives de révolutions vertes : regrouper les terres ; mal passé, et révolte extrêmement sévères : prenait un aspect politique, car soutenu par parti communiste. S’est terminé par des répressions (alternance répression-négociation)

- coopérative : bière artisanale brésilienne par petits paysans + commerce équitable (plus attaquables) installé de A-Z : de culture de houblon à vente

- agriculture intensive (donner le plus de rendement d’une terre) ; extensive (bcp d’espace pour moins forcer la terre)

- déboisement/soja

- fazendas (grandes propriétés) = gds proprios (fazendeiros) = origine inégalités sociales très importantes/ paysans obligés de travailler comme des ouvriers agricoles

Cf. Carte 5 p 57 + txt 6 p 57

I – Croissance des productions, croissance des populations

- d’un côté besoins, de l’autre ressources, faire coïncider

- besoin de+ en+ importants, croissance de + en + forte

- besoins inégaux selon les régions

- besoins diversifiés selon la société (ex : alimentation carnée ou non)

- ressources dans l’ensemble disponibles, inégales dans le temps (cf. mousson ?) et dans l’espace (pays en surplus et d’autres en manque ; équilibre impossible)

-ressources accessibles limités : eau

- pbs liés utilisation engrais et pollution

= contexte compliqué car plus difficile que mettre en rapport besoin-ressource

- p63 : accroissement démographique important correspond accroissement de la demande alimentaire

- 9 milliards d’individus en 2050, augmentation de demande alimentaire de 70% d’ici 2050

- changement des habitudes alimentaires (citadins pas la même manière de manger que campagnards) développement ville = modification habitudes alimentaires = diversification

- pour les 70%, pas uniquement augmentation, mais aussi diversité et qualité demandée.

- Mise à part dans les PMA, le niveau de vie s’améliore sur la planète : ex : l’Asie, dvlp intéressent, augmentation du niveau de vie des pop, ex : Vietnam augmentation (Chine littorale explosion)

à cela correspond un accroissement de la demande alimentaire, ainsi que l’augmentation de la demande de viande = augmentation de l’élevage ; augmentation des céréales, des farines et de l’eau pour nourrir ovins et bovins (boivent bcp) (=augmentation de la pollution

-p68-69 : l’élevage, un danger pour la planète ?

- ajd, production agricole mondiale largement suffisante pour répondre à l’accroissement de la population et de ses besoins et cela sur plusieurs dizaines d’années.

- ajd, théoriquement, chaque habitant planète dispose de 2800 kcal par jour (ration suffisante 2500), en 1960, on possédait 2300 kcal ; en 50 ans augmentation (pas les mêmes besoins alimentaires chacun)

- Mais, p63, disparités, c-à-d, pays champion consommation calorique : USA, UE alors que pays où consommation, très largement en dessous 2200(Afrique centrale)

- comment accroître production agricole ?

-perdu surface cultivable, on n’a pas pu développer, à cause urbanisation, construire ville au dépend des campagnes avoisinantes (phénomène de mitage) ( ?) (ex : ts gde banlieue parisienne) (accroissement francilien par accroissement naturel, plus d’exode rural, grignotage de la banlieue, excellentes régions céréalières autour de Paris)

+ phénomène d’érosion des terres (notamment pays en voie de développement)

+ terres consacrées aux biocarburants qui ne nourrissent personne

- amélioration des rendements (dft augmentation de la superficie) par hectare. (ex : agriculture productiviste au Nord – pays industrialisés – où on utilise machines + engrais + sélection des espèces + pesticides + irrigation massive – dans des pays semi-désertiques Andalousie/Israël – Techniques pour améliorer rendements)

- programmes de révolutions vertes, choix faits par gvt ds pays en voie de développement

= se traduit par une agriculture intensive (=obtenir le meilleur rendement sur la terre que l’on exploite), y compris ds les régions où agriculture extensive par tradition

(Argentine-USA-Australie, de la place ne pas forcer la terre, pas agressivité sur la terre, agriculture extensive plus respectueuse de la nature ; pampa argentine, plaines de l’ouest américain, les bêtes peuvent vagabonder dans les plaines)

alors que là, exigence vis-à-vis de la terre.

- augmentation volume des échanges alimentaires, depuis vingtaine années, en parallèle dvp des transports et réduction couts de ceux-ci. ajd denrées alimentaires transportées par bateau-avion permettent de compenser les déficits locaux (Brésil importe du blé) et permet de diversifier l’offre, ex : UE, produits tropicaux : ananas, avocats, kakis sur étalages de marchés… dans l’autre sens endive importées au brésil ; diversification possible grâce à ces échanges et allers-retours

-pbs à régler : la permanence de la sous-alimentation et de la malnutrition (def p70) :

sous alimentation : disposer en permanence d’une ration alimentaire insuffisante (<2000 kcal) (= à manger mais pas assez),= entraîne état de faiblesse et déficience = maladies et incapacité à travailler

malnutrition : déséquilibre alimentaire : assez à manger, mais mal, ex : manger que des bananes, ou des biscuits, ration calorique apportée mais en déséquilibre

(ration calorique insuffisante, Afrique p.63)

(malnutrition, avant pays en développement, ajd, pays développés = entraîne obésité et problème cardio-vasculaires : Coca-McDo)

plus d’1 milliard d’hommes en sous-alimentation en 2009, (en ration incomplètes 2 milliards) (schéma p.70)

1 milliard en excès calorique ; 400millions d’obèses, dont 300 aux USA – pb qui commence à toucher la Chine.

- famine n’existe plus en tant que telle, tjs associée ou accompagnée à ou par des guerres (Afrique), catastrophes naturelles (pas de famine en Haïti ; sous-alimentation, oui) (facteurs +/- extérieurs

- crise alimentaire par cause climatiques (mousson qui dure), causes politiques …

2007-2008, à la suite de la crise financière (surtout Asie-Thaïlande), augmentation des prix agricole, fait basculer les pop dans la sous-alimentation, ajd, état +/- normal

- svt fait de firmes multinationnales : équilibre des échanges lié aux politiques des firmes multinationales qui régissent/régulent tous les échanges et pas tjs ds l’intérêt des pop, plutôt pour engranger des profits (exception commerce équitable)

ex : Nestlé ou au Brésil : Brasil Foods, agrobusiness = 1/3 PIB Brésil (l’eau même topo, prix fixé par multinationales)

-pb de mauvaise alimentation : chétiveté et maladie (=capacités physiques) + pbs cérébraux (=fonctionnement intellectuel)

= répercussions directes sur la santé

en même temps que niveau de vie chinois augmente, obésité augmente, = effet de la politique de l’enfant unique-enfant roi.

II – Assurer la sécurité alimentaire

défi relevé par diversité systèmes agricoles

1. Les pays industrialisés

- ds certains pays, aspects à la fois de pays industrialisés et de pays en voie de développement (cf. Chine)

- pays du Nord (anciennement industrie des XIX° - XX° siècles), ex : Europe occidentale, Amérique du Nord

= un haut degré de technique et disponibilités financières

- pays mécanisés, utilisation de machines, c-a-d peu d’hommes (taux de l’ordre de 5-6 % de paysans/fermiers aux USA) ; agriculture sans paysans

- agriculteurs plus techniciens qu’hommes de terrain

- agriculture industrialisée de haute technicité nécessite plus de techniciens que d’hommes de terrain

- paysages totalement transformés

- gdes sociétés de distribution

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