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Secteur Automobile En France Et En Allemagne, Puis En Chine

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est devenu le premier marché automobile mondial, dépassant les Etats-Unis

・ Les marques chinoises ont représenté 26% du marché automobile en 2008. Leur part de marché est montée à 30% pour le mois de janvier 2009.

La Chine a toujours considéré le secteur automobile comme une composante essentielle de l’économie du pays et nourrit depuis longtemps l’ambition de créer des constructeurs automobiles chinois disposant de la taille et de la technologie nécessaires pour s’imposer sur le marché mondial.

En février 2009, la Chine est devenu le premier marché automobile mondial,

elles doivent utiliser des produits et services de classe mondiale. Convaincue

que les turbulences que traverse actuellement le secteur représentent une

opportunité pour amorcer un changement, le gouvernement a lancé un « Plan de

restructuration et de relance de l’industrie automobile ».

D’ailleurs, un article du « Monde » d’octobre 2009 constatait que les ventes de voitures particulières en Chine ont augmenté de 41,9 % au cours des trois premiers trimestres, et de 84 % rien qu'en septembre.

Par ailleurs, la Chang'an Automobile Group Co., un constructeur automobile chinois

appartenant à la China Ordance Equipment Group Corporation (COEGC), a

accepté mardi10 novembre de reprendre le secteur automobile de l'Aviation

Industry Corp of China (AVIC) pour former un géant automobile.

Ainsi, les entreprises chinoises fabriquent des produits de plus en plus

complexes et, pour devenir compétitives au niveau mondial, elles doivent utiliser des

produits et services de classe mondiale.

Les faiblesses des PME à l’international

Un des enjeux majeures de la France c’est le manque d’entreprises françaises à l’exportation : Les PME françaises indépendantes constituent le principal contingent (79% des entreprises), mais leur contribution au chiffre d'affaires total est faible :

15% de nos exportations.

A contrario, les entreprises étrangères (9% des exportateurs) et les groupes

français (6%) assurent l'essentiel des ventes : 45% et 39% en 2004.

Les PME françaises sont majoritairement de trop petites tailles pour s’engager dans une action structurée à l’international : elles sont deux fois plus petites que les PME allemandes.

En dessous d’une taille critique les entreprises exportatrices seraient dans l’impossibilité d’acquérir certains des atouts associés à une grande taille.

Le poids déterminant de la taille peut être illustré par l’observation suivante :

plus les firmes sont de tailles importantes, plus la probabilité qu’elles exportent est élevée.

L’offre des PME françaises est moins en phase avec la demande des pays émergents.

Or, les PME n’arrivent pas à se positionner sur des produits de haute technologie et sur des produits de hautes gammes dû aux insuffisances d’innovations et de recherche.

Une offre donc peu diversifiée dans un contexte où la compétitivité hors prix des biens tend à être de plus en plus reconnue dans les échanges internationaux.

Elles éprouvent de sérieuses difficultés à travailler collectivement à l’international.

Beaucoup de ceux qui s’engagent dans une démarche internationale mesurent mal les risques comme le risque d’impayés (risque de ne pas être payé par l’importateur). Cependant il existe d’autres risques signalés également

Au final, on distingue deux catégories contrastées de PME :

- Celles aujourd’hui minoritaires, qui décollent et acquièrent rapidement les capacités techniques, humaines et financières de se développer à l’international (elles sont également les plus innovantes).

-Celles dont le chiffre d’affaire stagne, et qui doivent se cantonner au marché français puisqu’elles n’atteindront pas la taille critique qui permet d’envisager un accès à l’international.

On compte une forte réticence du système financier

Dotés de structures financières fragiles et de fonds propres insuffisants, les PME ont

du mal à attirer les investisseurs en capital risque.

Les PME françaises subissent une série de contrainte tels que la flexibilité du droit

de travail et la complexité des réglementations.

2) Ce qui reste à faire, ou ce qui doit changer

Un manque de coordination entre les différents

organismes

- Esprit de compétition continuel

- Solution proposée : organiser l’accompagnement de façon locale, et notamment par région. Comme il n’existe pas un unique organisme, le plus cohérent serait de rassembler les intervenants les plus importants de plusieurs institutions et non pas de créer une structure unique (ce qui ne ferait qu’accentuer la question de : « quel modèle d’institution est le meilleur ? »)

Un

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