Thérèse Raquin Une Étude De Moeurs

s réceptions ont toujours lieux avec les mêmes personnes, au même endroit, à la même date ce qui renforce la monotonie extrême des soirées du jeudi. Ces dernières provoquent mêmes des hallucinations à Thérèse qui qualifie les invités de « cadavres mécaniques » et de « poupée de cartons ». Le narrateur fait ainsi comprendre aux lecteurs que ces soirées sont du plus grand ennui en particulier pour Thérèse qui en a horreur et qui fait tout pour éviter d’être présente. Les jeudis soir sont tous semblables, ils se répètent de façon régulière et font partie de la « routine » des personnages.

D’après toutes ces affirmations, nous pouvons conclure que Thérèse Raquin d’Emile Zola est bien une étude de mœurs, une étude des conduites de la vie. On pourrait parler « d’histoire des classes sociales » avec la mise en évidence d’une fatalité qui conduit inévitablement à la mort. Ces mœurs sont bien mis en scène grâce au réalisme et au naturalisme notamment.

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