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Responsabilite Des Magistrats Romains

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utres. (Édition de 1734).

Denys d’Halicarnasse le dit formellement (IX) ; et cela paraît par l’histoire. Ils ne savaient point faire de galeries pour se mettre à couvert des assiégés : ils tâchaient de prendre les villes par escalade. Éphorus a écrit qu’Artémon, ingénieur, inventa les grosses machines pour battre les plus fortes murailles. Périclès s’en servit le premier au siège de Samos, dit Plutarque, Vie de Périclès, [M].

Comme on le voit dans le traité intitulé : Origo gentis romanæ, qu’on croit être d’Aurélius Victor, [M].

Denys d’Halicarnasse, (IV), [M].

Voyez dans Denys d’Halicarnasse (VI) un des traités faits avec eux, [M].

Sous prétexte de donner au peuple des lois écrites, ils se saisirent du gouvernement. Voyez Denys d’Halicarnasse, (XI), [M]

Voyez les traités qui furent faits, [M].

Livre II, Chapitre 1, [M].

Voyez dans Polybe, et dans Josèphe, de Bello judaico, lib. III, quelles étaient les armes du soldat romain. Il y a peu de différences, dit ce dernier, entre les chevaux chargés et les soldats romains. « Ils portent, dit Cicéron, leur nourriture pour plus de quinze jours, tout ce qui est à leur usage, tout ce qu’il faut pour se fortifier ; et, à l’égard de leurs armes, ils n’en sont pas plus embarassés que de leurs mains. » Tusculanes, II, [M].

Livre II, Chapitre XXV, [M].

Surtout par le fouillement des terres, [M].

Voyez Végèce, Livre I. Voyez dans Tite-Live, Livre XXVI, les exercices que Scipion l’Africain faisait faire aux soldats après la prise de Carthage la Neuve. Marius, malgré sa vieillesse, allait tous les jours au Champ de Mars. Pompée, à l’âge de cinquante-huit ans, allait combattre tout armé avec les jeunes gens ; il montait à cheval, courait à bride abattue, et lançait ses javelots. (Plutarque, Vie de Marius et de Pompée), [M].

Végèce, Livre I, [M].

Végèce, Livre I, [M].

Cum alacribus saltu, cum velocibus cursu, cum validis vecte certabat. Fragment de Salluste rapporté par Végèce, livre I, chapitre IX, [M].

La discipline militaire est la chose qui a paru la première dans leur état, et la dernière qui s’y est perdue ; tant elle était attachée à la constitution de leur république, (Bossuet, Discours sur l’Histoire universelle, III, 6).

Il vendit toutes les bêtes de somme de l’armée, et fit porter à chaque soldat du blé pour trente jours, et sept pieux, (Sommaire de Florus, Livre LVII), [M].

Frontin, Stratagèmes, livre I, chapitre XI, [M].

Livre X, chapitre VIII, [M].

Voyez surtout la défaite d’Asdrubal, et leur diligence contre Viriatus, [M].

Fragment de Nicolas de Damas, livre X, tiré d’Athénée, livre IV. Avant que les soldats partissent pour l’armée, on leur donnait un combat de gladiateurs. Jules Capitolin, Vie de Maxime et de Balbin, [M].

Les Romains présentaient leurs javelots, qui recevaient les coups des épées gauloises, et les émoussaient, [M].

Elle fut encore meilleure que celle des petits peuples d’Italie. On la formait des principaux citoyens, à qui le public entretenait un cheval. Quand elle mettait pîed à terre, il n’y avait point d’infanterie plus redoutable, et très souvent elle déterminait la victoire, [M].

C’étaient de jeunes hommes légèrement armés, et les plus agiles de la légion, qui au moindre signal sautaient sur la croupe des chevaux, ou combattaient à pied. (Valère Maxime, livre II ; Tite-Live, livre XXVI), [M].

De Bello judaico, lib. III, [M].

C’est le dénombrement dont parle Denys d’Halicarnasse dans le livre IX, 25, et qui me paraît être le même que celui qu’il rapporte à la fin de son sixième livre, qui fut fait seize ans après l’expulsion des rois, [M].

Ctésiclès, dans Athénée, livre VI, [M].

C’étaient des citoyens de la ville appelés proprement Spartiates. Lycurgue fit pour eux neuf mille parts ; il en donna ensuite trente mille aux autres habitants. Voyez Plutarque, Vie de Lycurgue, [M].

Voyez Plutarque, Vie d’Agis et de Cléomène, [M].

Voyez Plutarque, ibid., [M].

Tite-Live, première décade, livre VII. Ce fut quelque temps après la prise de Rome, sous le consulat de L. Furius Camillus et apr. J.-C. Claudius Crassus, [M].

Appien, de la Guerre civile, livre I, [M].

La guerre de Pyrrhus ouvrit l’esprit aux Romains : avec un ennemi qui avait tant d’expérience, ils devinrent plus industrieux et plus éclairés qu’ils n’étaient auparavant. Ils trouvèrent le moyen de se garantir des éléphants, qui avaient mis le désordre dans les légions, au premier combat ; ils évitèrent les plaines, et cherchèrent des lieux avantageux contre une cavalerie qu’ils avaient méprisée mal à propos. Ils apprirent ensuite à former leur camp sur celui de Pyrrhus, après avoir admiré l’ordre et la distinction de ses troupes, tandis que chez eux tout était en confusion (Saint-Évremond, Réflexions sur les divers génies du peuples romain dans les différents temps de la république, chapitre VI).

Voyez un fragment du livre I, de Dion, dans l’Extrait des vertus et des vices, [M].

Vie de Pyrrhus, [M].

Justin, livre XX, [M].

La présence d’Annibal fit cesser parmi les Romains toutes les divisions ; mais la présence de Scipion aigrit celles qui étaient déjà parmi les Carthaginois ; elle ôta au gouvernement tout ce qui lui restait de force ; les généraux, le sénat, les grands devinrent plus suspects au peuple, et le peuple devint plus furieux. Voyez dans Appien toute cette guerre du premier Scipion, [M].

Carthage étant établie sur le commerce, et Rome fondée sur les armes, la première employait des étrangers pour ses guerres, et les citoyens pour son trafic ; l’autre se faisait des citoyens de tout le monde, et de ses citoyens des soldats, (Saint-Évremond).

Florus, livre I, [M].

Voyez Polybe. Le sommaire de Florus dit qu’ils levèrent trois cent mille hommes dans la ville et chez les Latins, [M].

Tite-Live, livre XXVII, [M]. — Ces colonies, établies de tous côtés dans l’Empire, faisaient deux effets admirables : l’un de décharger la ville d’un grand nombre de citoyens, et la plupart pauvres ; l’autre de garder les postes principaux, et d’accoutumer peu à peu les peuples étrangers aux mœurs romaines. (Bossuet, Discours sur l’Histoire Universelle, III, 6).

Voyez Appien, lib. Libycus, [M].

Voyez ce que Polybe dit de leurs exactions, surtout dans le fragment du livre IX, Extrait des vertus et des vices, [M].

Variante : On verra bien que l’injustice est une mauvaise ménagère, et ne tient pas même tout ce qu’elle promet. (Édition de 1734).

Livre VI, [M].

Des corps entiers de Numides passèrent à côté des Romains, qui dès lors commencèrent à respirer, [M].

Politique, livre VII, chapitre VI, [M].

Voyez ce que dit Perrault sur les rames des anciens. Essai de physique, tit. 3, Mécanique des animaux, [M].

La même chose arriva à la bataille de Salamine. (Plutarque, Vie de Thémistocle.) — L’histoire est pleine de faits pareils, [M].

En quoi on peut juger de l’imperfection de la marine des anciens, puisque nous avons abandonné une pratique dans laquelle nous avions tant de supériorité sur eux, [M].

Louis XIV, [M].

L’Espagne et la Moscovie, [M].

Antiquités romaines, livre VIII, [M].

Après la bataille de Cannes, où tout autre état eût succombé à sa mauvaise fortune, il n’y eut pas un mouvement de faiblesse parmi le peuple, pas une pensée qui n’allât au bien de la république. Tous les ordres, tous les rangs, toutes les conditions s’épuisèrent volontai¬rement : l’honneur était à retenir le moins, la honte à garder le plus. (Saint-Évremond).

Le sénat l’en remercia publiquement ; et dès lors on résolut, selon les anciennes maximes, de n’écouter dans ce triste état aucune proposition de paix. L’ennemi fut étonné ; le peuple reprit cœur, et crut avoir des ressources que le sénat connaissait par sa prudence (Bossuet, Discours sur l’Histoire universelle, III, 6).

Histoire de sa vie ; Paris, 1742, page 402, [M].

Il est surprenant, comme Josèphe le remarque dans le livre contre Appion, qu’Hérodote ni Thucydide n’aient jamais parlé des Romains, quoiqu’ils eussent fait de si grandes guerres, [M].

Variante : Les Béotiens, les plus épais de tous les Grecs, mais les plus sages,

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