DissertationsEnLigne.com - Dissertations gratuites, mémoires, discours et notes de recherche
Recherche

Exposé Homme Battu

Rapports de Stage : Exposé Homme Battu. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires
Page 1 sur 9

sont physiques

* 14.3 % des actes de violence sont sexuels.

80 % des hommes vivant cette situation seraient pères, parmi eux, 12 % sont séparés ou divorcés. Les femmes sont les plus souvent citées dans les violences envers les enfants.

* En 2011, 31 d’entre eux sont décédés, soit un décès tous les 13 jours.

Par comparaison, 10 % des femmes se déclarent victimes de violences conjugales et une femme est tuée par son compagnon tous les 4 jours. Malgré le taux supérieur de femmes battues, il ne faut pas négliger ces hommes battus.

II ° Sources de ce phénomène :

Les hommes de tous les milieux sont touchés par ses violences.

Au départ, on parle de violence de manière indirecte

Dans tous les témoignages d'hommes battus, il ressort que les femmes qui les agressent ne sont pas différentes dans leur cheminement que les hommes violentent. Tout commence par un dénigrement systématique de la virilité du compagnon. Critiqué en tant que mari, que père, qu'amant, mais aussi sa vie professionnelle et publique est visée, il subira ensuite, généralement, un isolement familial.

La violence envers les hommes est plus souvent psychologique, mais pas uniquement, et une femme qui frappe son compagnon peut souvent le faire en sachant qu'il n'y aura pas de retour : un homme qui frappe une femme devient aussitôt la pire des ordures, et il le sait. Particularité consternante : les femmes violentes attendent le faux pas de leur compagnon, ceci après diverses intimidations et provocations, parfois après une série de gifles. Si l'homme répond de la même manière, elles s'empressent d'aller porter plainte et obtiennent souvent gain de cause, là où l'homme battu ne récoltera qu'un sourire narquois du policer qui le recevra, quand ce ne sera pas un bon gros rire bien gras.

Naturellement, ces femmes violentes vont grossir les statistiques des femmes battues, de par leur plainte... L’homme battu par sa femme a fatalement honte de lui-même. Il s'enferme dans une attitude de négation, s'il ne part pas aussitôt. Cela n'est pas venu seul et n'est pas plus risible que lorsqu'une femme reste auprès d'un homme violent, en espérant qu'il changera.

Comme les femmes, l'homme a peur pour ses enfants. Face à une personne déséquilibrée, il craint que toute cette violence ne rejaillisse sur eux (et de fait, les statistiques lui donnent raison : les enfants sont plus souvent maltraités par les mères que par les pères). La femme manipulatrice sait très bien ce qu'elle fait, elle n'ignore en rien que la loi sera de son côté, elle n'ignore pas que l'homme sera aussitôt jugé coupable. Elle agit en conséquence.

III – Conséquences et effets :

“La violence des femmes est tue, et pourtant elle tue”, déplore Sébastien L. (homme qui a subi pendant des années des insultes par sa femme)

— Les conséquences de la violence contre les hommes dépassent largement les dommages corporels immédiats infligés à la victime. Cette maltraitance peut entrainer des troubles chez les hommes, tel que :

* Troubles de l'alimentation (boulimie ou anorexie)

* Insomnies, cauchemars.

* Des blessures ou une Incapacité permanente.

* Des infections transmises sexuellement.

* Des traumatismes affectifs.

* La mort.

— À plus long terme, la violence peut aboutir à une foule de problèmes de santé chroniques qui peut aller jusqu’au Suicide.

— Les répercussions de la violence contre les hommes se propagent dans toute la famille et l’entourage.

— Les enfants qui vivent dans un climat de violence courent plus de risques de devenir victimes d’actes violents ou d’en perpétrer eux-mêmes.

— La violence, qu’elle soit effective ou à l’état de menace, affecte les vies quotidiennes de tous les hommes et pas seulement celle des victimes immédiates, crée une atmosphère lourde où la peur est omniprésente ; elle limite l’horizon des hommes, restreint leur liberté de mouvement comme leur capacité à participer aux prises de décisions publiques et provoque une baisse de leur niveau de vie.

— De plus, la violence envers les hommes leur fait perdre confiance en eux, c’est leur égo qui est touché dans un premier temps, il e sait à qui en parler, car un homme qui subit des violences par une femme reste un sujet tabou. Cette violence laisse apparaitre beaucoup de honte chez l’homme.

Par exemple : Les cas recensés peuvent faire sourire, mais la réalité en est tout autre : une professeure de judo de 130 kg maltraite son mari par des violences physiques telles que des étranglements, des coups de poing parce que le mari à fait appel à la justice pour une procédure de divorce. Lors de procédures de divorce, il est important de souligner que près de 80 % des hommes sont condamnés aux torts exclusifs pour faute et que le statut de persécuté peut étrangement s’échanger. Les violences physiques sur les hommes sont souvent sous-estimées et les plaintes ne sont pas retirées ou tout simplement jamais déposées. Il faudrait peut-être envisager la formation d’une aide spécialisée et adaptée dans les commissariats au lieu d’un molosse au sourire gras et à l’œil accusateur qui réprime toute volonté. Une plainte déposée par une femme a plus de chance d’être traitée dans l’empressement, accompagnée d’une larme à l’œil. Il y a peu de chances de croiser une victime masculine à l’hôpital. C’est davantage du côté de la morgue qu’il faudra recherchée le suicidé.

80 % des martyres sont des pères et 12 % sont séparés ou divorcés. Seulement 2 % des femmes paient une pension alimentaire à leur ancien conjoint. Peu d’entre elles sont également contraintes à déménager dans des contrées reculées. Beaucoup de victimes ne reçoivent pas le même traitement réservé aux femmes, alors que la justice, les autorités policières et les acteurs sociaux sont là pour les aider. Tristement, de nombreuses féministes ont dénigré l’homme. Sentiment compréhensible au vu du mauvais traitement et de la supériorité qu’a exercé la gent masculine au travers des siècles. Mais au lieu de rétablir une égalité, certaines tombent dans l’extrême.


“Quand on est un homme, on se dit que ce genre de choses ne peut pas arriver.” Après la naissance de leur premier enfant, leurs relations ont commencé à se détériorer. Le mari s’est laissé enfermer dans une sorte de bulle infernale et a été coupé de toute vie sociale, entourée uniquement de la famille et ami de sa femme. Ensuite, les violences physiques sont apparues, des claques, des coups de poing, des objets lancés…

Elle a profité de ma fragilité : je me taisais, car je l’aimais. Son but, c’était de me faire craquer. Je ne l’ai pas frappée, mais ce n’était pas loin, car elle voulait vraiment me pousser à bout. »

Après la naissance de leur deuxième enfant, la situation a encore empiré.

« Elle me jette des cailloux »

« Elle s’enfermait à clé avec la petite après m’avoir tapée. Quand c’est devenu trop insupportable, j’ai quitté le domicile conjugal et contacté un avocat. Il m’a dit de ne pas charger la mère et de faire profil bas devant le juge pour ne pas l’“énerver”. Quand on est un homme, il faut tout justifier, on a l’impression d’être toujours le méchant. Si j’avais été handicapée à vie, le juge en aurait peut-être tenu compte. »

Et aujourd’hui encore, cela continue. « À chaque fois que je viens chercher les enfants, c’est l’esclandre, elle me jette des cailloux, elle essaie de les monter contre moi. C’est difficile pour moi de réaliser

...

Télécharger au format  txt (12.1 Kb)   pdf (187.5 Kb)   docx (10.7 Kb)  
Voir 8 pages de plus »
Uniquement disponible sur DissertationsEnLigne.com