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Analyse Demarche De Soin

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phine et oxycodone

En pré-opératoire Mr T souffrait de douleurs qui étaient traitées par un antalgique de pallier I.

En post-opératoire, Mr T se plaint de douleurs lombaires vives.

A J1 : M T présente une EVA à 5/10 et se plaint de douleurs lombaires.

Antalgique prescrit : Perfalgan 1g 3x /j : Dans le cas de Mr T, il est indiqué dans le traitement de courte durée des douleurs d'intensité modérée, en particulier en période post-opératoire.

Risque de luxation de la prothèse de hanche

Ce risque est en lien avec l’intervention que Mr T vient de subir.

La luxation correspond à une perte de contact des surfaces articulaires l’une par rapport à l’autre.

La tête fémorale se trouvant alors en dehors du cotyle. Cette éventualité existe surtout dans la période immédiate après la chirurgie (environ 2-4 semaines), durant la cicatrisation des tissus capsulaires et musculaires

Afin de prévenir ce risque il a été prescrit à Mr T, un décubitus dorsal strict à J0 et un coussin d’abduction entre les jambes. Ce dernier sert en Prévention du risque de luxation post opératoire à la mise en place d’une prothèse de hanches et permet de stabiliser les jambes en position d’écartement.

Risque thromboembolique

Ce risque correspond à l’apparition d’une thrombose veineuse. Elle désigne la formation d'un caillot de sang au sein d'une veine, entravant la circulation sanguine. Lorsque le caillot de sang se forme dans une veine proche de la surface de la peau, on parle de thrombose veineuse superficielle ou de la « thrombophlébite superficielle », laquelle s'oppose à la thrombose veineuse profonde qui touche des veines plus profondes et de plus gros calibre. La thrombose veineuse profonde affecte plus souvent les veines des membres inférieurs. Thromboses veineuses superficielles et profondes peuvent aussi coexister.

Les signes d’une thrombose veineuse sont : mollet dur, rouge, diminution du ballotement, douleur à la dorsiflexion, fébricule.

Cette thrombose veineuse peut se transformer en embolie pulmonaire si le caillot se détache et migre dans une artère pulmonaire.

Un traitement préventif est mis en place. Il repose sur un lever précoce à J1 et sur l’administration d’héparine à bas poids moléculaires ; ici Lovenox 40mg 1 injection en ss/cut à 20h. Il empêche la formation ou l'extension des caillots dans les vaisseaux sanguins.

Risque d’infection

Le terme infection désigne l'invasion d'un organisme vivant par des germes, plus précisément des micro-organismes pathogènes, comme des bactéries, des virus, des champignon ou encore des parasites. Le terme pathogène désigne ce qui est susceptible d'entraîner une maladie.

Ce dernier est important chez Mr T car il vient de subir une intervention lourde (PTH) donc il fallait une voie d’abord conséquente (grosse cicatrice). De plus, il est porteur d’une voie veineuse périphérique et de deux drains aspiratifs.

Afin de surveiller ce risque, le pansement sera refait à J2 et un bilan sanguin avec NFS sera effectué le même jour.

La Numération Formule Sanguine (NFS) se caractérise par :

Les hématies ou globules rouges : ( 3.5 à 5.5 millions). Cet examen isolé oriente vers une anémie (pas assez de globules) ou une polyglobulie (trop de globules). Il permet aussi de voir si il y a des formes anormales (poïkilocytes, schizocytes, hématies falciformes).

L'hémoglobine : (11 à 16g) une hémoglobine trop basse (inférieure à 10.5g) permet d'établir un diagnostic d'anémie.

L'hématocrite : (37 à 47%) elle donne la concentration en hémoglobine dans le sang, elle est abaissée dans les anémies, elle est augmentée en particulier chez les consommateurs d'EPO.

Le VGM ou volume globulaire moyen ( 80 à 95). Il mesure la taille moyenne du globule rouge. Ce volume diminue dans les anémies chroniques par saignement ou manque de fer. Il augmente dans les anémies par carence en vitamine, par mauvaise absorption alimentaire du tube digestif. Il augmente aussi dans la consommation chronique de tabac ou d'alcool.

Les CCMH et TCMH respectivement "concentration corpusculaire moyenne en hémoglobine" et "taux corpusculaire moyen en hémoglobine" n'ont pas d'intérêt diagnostic sinon que le CCMH bas confirme une hypochromie (manque de fer).

Les réticulocytes. (25.000 à 75.000)

Ce sont des hématies très jeunes. Quand leur taux est élevé, elles signalent que la moelle osseuse fabrique beaucoup de globules et régénère des pertes de sang. En cas d'anémie, si les réticulocytes n'augmentent pas, c'est que la moelle osseuse dysfonctionne et est en cause dans cette anémie.

Les leucocytes ou globules blancs. (1000 à 3500)

Leur mesure sert à s'assurer comme les globules rouges, d'un nombre anormal de leucocytes, ou de formes anormales.

Trop de leucocytes peut correspondre à une inflammation ou à une maladie de type leucémie (beaucoup plus rare). Les formes anormales que l'on appelle des blastes font craindre une leucémie, mais toutes les leucémies ne sont pas graves.

Les leucocytes sont classés en:

Polynucléaire neutrophiles : (2000 à 7500 chez l'adulte) leur élévation importante signe une infection type sinusite, appendicite etc... mais ils augmentent aussi chez le tabagique, sous traitement corticoïde, ou dans certaines leucémies.

polynucléaires éosinophiles : (inf. à 650) leur élévation signe des terrains allergiques, des terrains colitiques, des parasitoses (oxyures, vers solitaire)

polynucléaires basophiles (inf. à 200) leur augmentation se rencontre dans certaines leucémies, dans les cirrhoses et les problèmes thyroïdiens.

lymphocytes (1000 à 4000 chez l’adulte) Leur augmentation se constate dans beaucoup de maladies virales (coqueluche, oreillons, brucellose, grippe etc...) mais aussi dans les leucémies.

Monocytes (200 à 1000) leur nombre augmente dans certaines maladies comme la mononucléose, après une anémie et dans certaines leucémies.

Incapacité partielle à réaliser les gestes de la vie quotidienne

Mr T est en post-opératoire à J0 d’une intervention chirurgicale (PTH). Il est donc alité et ne peux pas se lever de son lit. De plus il porte une voie veineuse périphérique qui peut le gêner dans la réalisation de ses mouvements.

Il faudra donc l’aider dans la réalisation de certains gestes de la vie quotidienne.

Maigreur

Mr T mesure 1m850 et pèse 55kg, son IMC est de 17.

Interprétation :

- moins de 16,5 dénutrition ou famine

- 16,5 à 18,5 maigreur

- 18,5 à 25 corpulences normales

- 25 à 30 surpoids 30 à 35 obésité modérée

- 35 à 40 obésités sévères plus de 40 obésités morbides ou massives

 Antécédents

Surdité bilatérale appareillée

La surdité est l'abolition complète de l'ouïe.

L'oreille permet à l'homme d'avoir une ouverture sur le monde extérieur par l'intermédiaire des vibrations. Les différents organes qui constituent l’oreille peuvent être atteints et expliquent les différentes pertes auditives :

• D'une part l'appareil de transmission (oreille externe, oreille moyenne avec le tympan et les osselets) amplifie mécaniquement le message sonore ;

• D'autre part l'appareil de perception enregistre ce message (cochlée ou organe de Corti) pour le traduire en influx nerveux allant jusqu'au cerveau

Episode de bronchite

La bronchite une inflammation des bronches des poumons, qui entraîne l'arrêt du fonctionnement des cils des cellules épithéliales.

Ces épisodes de bronchites peuvent être relié au fait que Mr T fume ½ paquets de cigarettes par jours.

 Les besoins de Mr T

A J0

Besoin de se mouvoir

Mr T doit rester alité en décubitus dorsal strict.

Besoin d’éliminer

Il faut expliquer à Mr T qu’il faut nous appeler dès qu’il a envie d’aller aux toilettes car il ne peut pas se lever et que par conséquent nous lui proposeront

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