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Rin 1013 1ere devoir

Résumé : Rin 1013 1ere devoir. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  5 Mai 2020  •  Résumé  •  2 831 Mots (12 Pages)  •  869 Vues

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Problème de santé au travail

TRAVAIL NOTÉ

Problème de santé au travail- travail noté 1

        Remplissez soigneusement cette feuille d’identité.

        Rédigez votre travail, en commençant à la page suivante.

        Sauvegardez votre travail de cette façon : SIGLEDUCOURS_TN1_VOTRENOM.

■        Utilisez le Dépôt des travaux pour acheminer votre travail à votre professeur ou son délégué. http://www.teluq.ca/mateluq/

Feuille d’identité

Nom        Côté                Prénom        Mélissa        

Numéro d’étudiant        19374522                Trimestre        1er        

Adresse        7030 rue de Honfleur, Trois-Rivières        

                     Code postal        G9C 1L2        

Téléphone        Domicile                             Travail                     

        Cellulaire        819-690-0558        

Courriel        cote.melissa.8@univ.teluq.ca        

Nom du professeur ou son délégué   Anne-renée Gravel        

Réservé à l’usage du professeur ou son délégué

Date de réception                             Date de retour                     

Note                     

Date d’envoi                     [pic 2]


Travail noté 1

Questions de compréhension

  1. Quelle est la différence entre les notions de santé et de sécurité au travail?

    -la santé est un état complet de bien –être physique ou mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. La notion de santé au travail est souvent associée à l’absence de maladies professionnelles.

    La notion de sécurité renvoie à des risques soudains, alors que la notion de santé renvoi à des risques chroniques. Il est l’état d’esprit confiant et tranquille de celui qui se croit à l’abri du danger.

  1. Quels sont les critères d’indemnisation dans le régime sans égard à la faute?

    -Pour les faits accidentels il faut savoir si un événement qui a causé une blessure ou une maladie à un travailleur est un accident du travail, les critères qui suivent doivent être respectés.
    C’est un événement qui survient soudainement et qui se produit d'une manière imprévue. Il peut notamment se produire à cause de gestes faits en exécutant un travail, comme un effort soutenu et inhabituel. L'événement peut se produire :
    par le fait du travail : il est alors directement en lien avec les tâches pour lesquelles le travailleur est employé et il survient pendant qu'il les faits. Ou à l'occasion du travail : le travailleur n'est peut-être pas en train de faire les tâches qu’il exécute normalement, mais les activités qu'il exerce sont en lien.
    Pour les faits d’une présence de lésion professionnelle l’événement doit causer une lésion professionnelle, c'est-à-dire une blessure ou une maladie diagnostiquée par un médecin. Il doit y avoir une relation de cause à effet, et non seulement une coïncidence entre l'accident et la lésion.
    La CSST indemnise les accidents de travail, les maladies professionnelles et les blessures. 

  2. Dans quels cas l’employeur peut-il s’opposer à l’application de la présomption selon l’art. 29 LATMP pour des réclamations concernant des TMS?

    -Dès le début d’audience, l’employeur peut s’opposer à l’usage de la présomption en vertu de l’art.29 LATMP dans les conditions suivantes :
    - il ne considère pas être en présence d’une lésion musculosquelettiques mentionnée en vertu de l’annexe a : bursite, tendinite ou ténosynovite
    - la lésion n’est pas établie par un diagnostic clair
    - les médecins n’ont pas démontré un de signes objectifs de la lésion
    -Le travailleur n’exécutait pas, au moment de la lésion, justifiant une réclamation. Donc ça veut dire que le travailleur n’accomplit pas un travail nécessitant une répétition de mouvements ou de pressions pendant des périodes prolongées et que le travail ne l’Exposait pas à une position de surélévation par rapport à ses épaules de façon prolongée. La lésion ne résulte donc pas à une longue exposition aux mouvements répétitifs agressant. Mais bien à un agent extérieur. Comme un coup ou faux mouvement.

  1. Dans le texte 2, l’auteur illustre bien une démarche diagnostique d’une problématique générale de TMS reposant sur la thèse des microtraumatismes. Vous pouvez identifier correctement les TMS ressentis et déclarés par les opératrices et les opérateurs, repérer les correctifs technologiques qu’a tenté d’apporter l’employeur, repérer les circonstances ou les occurrences sont les plus fréquentes, les stratégies utilisés par les opératrices et les opérateurs, leurs avantages et leurs inconvénients et, finalement les tailles de la solution technologique apportés par l’employeur. A la fin de la démarche, vous pouvez bien cerner en quoi les TMS ressentis par les opératrices et les opérateurs de cette usine illustrent la thèse des microtraumatismes. Résumez cette démarche en reprenant les points précédents un a un. Comptez au moins une page pour répondre.

    -Le texte 2 illustre la thèse des microtraumatismes. La thèse des microtraumatismes est celle où on recherche des microtraumatismes, mais que la succession ou l’accumulation devient problématiques en longue période et provoque une lésion musculosquelettiques et les répétitions peut en devenir la cause directe.

    Pour illustrer la thèse il faut :

    Tous d’abord l’identification des TMS ressentis et/ou déclaré par les opérateurs. Les TMS identifiés sont les mouvements répétitifs d’élévation des bras qui cause des douleurs aux épaules ainsi que des mouvements de pivots du corps avec charge supplémentaire qui contribue aux problèmes lombaires et dorsaux.

    Ensuite l’identification des correctifs technologiques qu’a tenté d’apporter l’employeur. Il a décidé de remplacer les métiers de type manuel par des types Auto-2, qui sont des robots-attacheurs et robots souleveurs pour les tâches d’attache du fil et de la lever des cônes. Par contre dans le cas des métiers auto-2, les rubans sont plus gros et plus lourd à soulever ainsi que les portes et cônes sont aussi plus hauts et pesant que les métiers manuels.

    Ensuite il faut repérez les circonstances où  les occurrences sont les plus fréquentes. Ici on parle des arrêts de production généraux qui engendrent un grand nombre d’opérations et à cause de cela les opératrices doivent accélérer la cadences ce qui a pour effet d’augmenter les mouvements répétitifs.  Il y a aussi le manque de chariots d’entreposage cause le problème, que lorsque  l’opératrice doivent aller en chercher, elle fait sauter un cycle de levée. Donc elle doit accélérer la cadence pour le levé des cônes et par conséquent pour la cueillette de ceux-ci. Tout cela augmentera la charge de travail à court terme.  Il y a aussi comme occurrence, l’opération nettoyage. Si l’opération est faite par les préposés de l’entretien, avec un aspirateur, il y aurait moins de bris, de cassures, car la poussière en est la source. En réduisant les cassures, il aurait en même temps moins de mouvements répétitifs.

    Il a des avantages et inconvénients sur les stratégies proposer par les opérateurs. En premier, en raison des multiples arrêts de productions, des opératrices ont modifié leurs modes opératoires en effectuant une activité de nettoyage minimale en retirant plusieurs opérations. Cette façon d’agir a pour effet de diminuer le temps d’intervention. Il n’y a aucune stratégie de nettoyage utilisé par les opératrices qui consiste à ouvrir la porte et la refermer partiellement, puis ouvrir à nouveau et constater le résultat. Cette stratégie à l’avantage de gagner 20 secondes, environ, sur les opérations, mais elle peut provoquer une augmentation de cassures du fils et par conséquent augmenter le nombre d’interventions des opératrices.

    Une autre stratégie est de redémarrer les cônes manuellement plutôt  que d’attendre le robot-attacheur qui est plus lent. Cela a pour effet de diminuer le nombre d’interventions effectuer par le robot-attacheur, qui lui pendant ce temps peux faire le tour de d’autres cassure plus rapidement. Cela augmente le temps d’intervention de 70% et diminue les arrêts de production et 63% des cassures. Ce qui aide au rendement de la machine.

    Les failles de la solution technologique du type Auto-2 par l’employeur sont : le nombre total d’accidents déclaré est de 20 pour les types Auto-2 contrairement au type manuel qui est à 15.  Les portes sont plus hautes et les cônes aussi, ce qui entraine une élévation des bras, donc une mauvaise posture des épaules, donc causera plus de blessures.  Le robot-attacheur est en cause pour les cassures des métiers n’est peut-être approprié pour le travail à effectuer.
  1. A) Parmi les propositions de solution provenant des groupes Ergo, les projets majeurs sont moins souvent réalisés. Comment les auteures expliquent-elles cette distinction? Comptez au moins une demi-page pour répondre.

    -Les projets majeurs sont moins souvent réalisés à cause des coûts et l’entreprise ne voit pas la nécessité de la réalisé. Les dirigeants réalisent moins de projets lorsque ceux-ci touchent à l’organisation du travail ou les méthodes. Pour les projets majeurs, ce sont les gestionnaires de niveau supérieur qui peuvent les autoriser les investissements. Dans plusieurs cas, il semble que la direction ne soit pas convaincue que les problèmes à prévenir méritent des investissements important, les projets majeurs qui se réalisent sont faites parce qu’il était déjà planifier le projet. Il peut aussi provenir d’une bonification de projet. Il est parfois difficile de faire valoir les réparations puisque l’information doit être transmit par différents paliers. Dans le cas où se sont les gestionnaires majeurs qui autorisent les projets, et bien souvent ils me se réalisent pas puisque c’est cadres participent rarement au comité de pilotage d’usine.

B) Quelle explication alternative trouvez-vous dans le texte?

-Il est question d’intervention ergonomique visant des actions plus efficaces afin de diminuer les fréquences de TMS. Le travail doit de situer à plusieurs fronts. Il y a la tâche d’observateur, ensuite de formateur et communicateur. Chacun fait sa tâche mais au global la hiérarchie se fait par chacun qui se communique des données et résultats obtenues de l’étude ergonomique.

L’employeur d’un travailleur victime d’une lésion professionnelle peut temporairement un travail à ce dernier, en attendant qu’il revienne capable d’exercer son emploi, ou qu’il soit capable d’exercer un emploi convenable.  Donc au lieu d’analyser la situation et d’améliorer la sécurité  dans le milieu de travail, il assigne les employés ailleurs et ainsi paye moins pour des accidents ou maladie. Avec cela les entreprises investissent moins en prévention.

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