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La Notion De Culture Dans Les Sciences Sociales

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pplication où vous pouvez imposer un navigateur à vos utilisateurs (c’est par exemple parfois possible en contexte d’entreprise).

3. Quand vous proposez une version alternative du site (ou de la portion de site) pour les navigateurs ne supportant pas les fonctionnalités HTML5 que vous utilisez.

4. Pour faire de petits développements d’applications mobiles avec des frameworks tels que Phonegap : je parle bien là d’application à installer, pas de site mobile.

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5 moyens de se débarrasser de la dette publique à l’épreuve des faits

Le 15 August 2011 par JB Boisseau

Il y a environ un an et demi paraissait dans ce blog un bref billet rappelant comment de manière historique les états règlent leur dettes. Alors que la crise généralisée de la dette publique est désormais une évidence pour tous, il est intéressant de voir comment ces leviers ont été utilisés jusqu’à présent.

1- L’inflation

L’inflation est une arme redoutable de réduction des dettes : pour faire simple, tout augmente (vos coûts mais aussi vos revenus) sauf le montant de vos dettes qui vous coûtent donc relativement moins cher. Ce fut l’arme employée (volontairement ?) en 1947 par les USA pour liquider l’énorme dette accumulée pendant la seconde guerre mondiale.

Jusqu’à présent, personne ne l’a franchement utilisée, du moins pas directement. Pour le moment, l’inflation est limitée parce que les coûts (matières premières) montent mais que les revenus ne suivent pas en proportion. Du coup, la consommation patine et la croissance trinque.

2- La planche à billets

La planche à billets, c’est ce qu’on appelle techniquement “monétiser la dette” : soit grosso modo, imprimer des billets pour payer la dette des états. Après avoir déclaré pendant des mois que cela ne se ferait jamais, que c’était contraire à ses statuts, la Banque Centrale Européenne a cédé en mai 2010 et a commencé à racheter des titres de dettes certains pays (Irlande, Grèce puis Portugal, Espagne et Italie). Elle en remet une couche aujourd’hui. Les américains avaient eu recours à cette politique dès 2008 et ont continué tranquillement avec l’opération “QE2″ de la Fed…

3- La renégociation de la dette

Longtemps reniée par la plupart des décideurs politiques mondiaux, cette solution radicale fait de plus en plus parler d’elle : elle a commencé à être utilisé dans le cas grec de manière marginale… mais pourrait l’être à l’avenir de façon beaucoup plus massive comme le fit l’Argentine en 2004.

4- L’excédent budgétaire

Cela reste, de manière incompréhensible, l’outil de réduction de dettes privilégié par un grand nombre de chroniqueurs économiques. Dans un monde économique parfait, on pourrait les comprendre (le remboursement “normal” des dettes paraît en effet la solution la plus saine et la plus respectueuse des prêteurs), mais la dette de la plupart des états occidentaux a dépassé depuis longtemps les bornes rendant cette seule solution envisageable.

5- Le miracle

Nul doute que nous entrons dans une ère économique, politique et sociale agitée : bien des événements “non-conventionnels” peuvent y surgir. Guerres ? Nationalisations forcées ? Découvertes de ressources naturelles lucratives pour l’état ? Autant de choses susceptibles de changer la donner pour tel ou tel pays, mais qui ne sauraient constituer de solutions universelles.

Rappelons-nous par exemple des multiples astuces trouvées par Constantin pour financer l’empire romain en crise au IVème siècle : dévaluation monétaire, confiscation de la fortune d’ennemis politiques, réquisition des biens des temples, exploitation de nouvelles mines d’or, création de nouveaux impôts… une liste qui peut aujourd’hui faire sourire, mais pour combien de temps ?

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Le web mobile en 2010 : l’inévitable croissance

Le 21 June 2010 par JB Boisseau

On nous le promet depuis plus de 10 ans… et le voilà qui arrive enfin dans sa phase de décollage : le web mobile est devenu un vrai marché qui ne va cesser de se renforcer et nous allons décrire ici pourquoi.

Le web mobile semble d’une certaine manière connaître la même histoire que le web de nos vieux desktops avec 10 à 15 ans de retard. Ce n’est bien entendu pas un hasard. En effet, pour qu’un nouveau canal d’information se popularise, plusieurs conditions doivent être remplies :

1 - Construire l’information pour ce canal doit être simple mais souple

Une des raisons du succès de HTML dans les années 90 tient à sa simplicité : il suffit d’écrire un document et d’ajouter quelques balises ici et là pour préciser sa structure. Le protocole Gopher - qui a préexisté au web - avait cette simplicité qui en a fait un des canaux d’information de référence des universités américaines du début des années 90… mais sans avoir la souplesse du couple HTTP/HTML qui l’a rapidement supplanté.

Dès lors, plus il a été simple (et fonctionnel) de créer de l’information sur HTML, plus la domination du web s’est renforcée : avec des outils de création (Front Page, Dreamweaver), des langages de programmation simples (en particulier PHP), les systèmes de gestion de contenus et de manière générale tous les systèmes qui ont abouti au Read/write web d’aujourd’hui… un canal sur lequel, construire l’information est la portée de n’importe qui.

Après quelques années de tâtonnements, le web mobile est en passe d’acquérir cette même qualité. Aux premières années du web mobile qui ont vu s’affronter plusieurs normes (HDML, WML, CHTML puis iMode), le (X)HTML (avec d’éventuelles petites variantes comme le Basic XHTML ou le XHTML mobile profile) impose ses qualités à l’univers smart phone. De plus le parc client a évolué de telle manière (nous y reviendrons) qu’il n’est plus aujourd’hui nécessaire de multiplier les adaptations pour obtenir une site web mobile compatible avec la majorité des clients potentiels.

Donc on peut le dire : produire de l’information pour le web mobile est désormais simple et souple, presque autant que sur le web classique.

2- Le réseau doit être efficace et bon marché

La progression continue de l’usage du web est indissociable de celle des réseaux. Pourrait-on aujourd’hui imaginer qu’il nous faille payer nos connexions internet à la minute de consommation (tout en occupant la ligne téléphonique !) pour des débits misérables ?

C’est pourtant ce qui était demandé il y a encore peu de temps dans l’Internet mobile. Depuis l’arrivée - attendue de longue date - des réseaux 3G, le web mobile connaît la même évolution que le web lors du passage progressif du RTC : la navigation se fait plus fluide et l’on peut flâner en ligne sans trop se poser de question grâce à des forfaits Internet mobile “illimité” abordables.

3- Les systèmes clients doivent être standardisés et répandus

L’évolution du prix et de la qualité des systèmes client (des PC) comptent pour beaucoup dans la consécration du web en tant que média. Pour rappel, un PC de milieu de gamme de 1994 (équipé d’un bon Pentium à 70MHz… alors largement suffisant pour faire fonctionner Mosaic) coûtait autour de ce qui seraient 3000 de nos euros d’aujourd’hui… de quoi réfréner bien des envies de surf sur la toile. Entre temps, les prix ont baissé de manière suffisamment vertigineuse (18% par an en moyenne) pour qu’aujourd’hui plus de 2 foyers français sur 3 soient équipés d’un ordinateur personnel.

Les smartphones connaissent une trajectoire similaire : le taux d’équipement progresse rapidement grâce à une évolution spectaculaire du rapport performances/prix. Tous les smartphones vendus aujourd’hui disposent d’autre part de navigateurs web suffisamment performants pour gérer des interfaces évoluées (XHTML, multimedia, javascript avancé), ce qui renforce notre point 1 (plus haut) et le point 4 ci-dessous.

4- L’accès à l’information doit être intuitif

La toute-puissance de l’HTML est de mettre l’information souhaitée à la portée d’un clic. Mais l’outil n’aurait sans doute pas eu le même succès sans l’amélioration permanente de la vitesse d’accès à la bonne information : ergonomies améliorées, moteurs de recherche plus pertinents, navigateurs web plus efficaces.

De ce point de vue, l’iphone a incontestablement changé la façon de concevoir la navigation web sur un téléphone et il a probablement constitué le chainon qui manquait jusque là pour faire véritablement décoller le marché (et d’ailleurs 70% des visites web mobiles en France proviennent d’Iphone/Ipod Touch). La navigation tactile et la taille d’écran proposées constituent maintenant des standards pour les concurrents tels les systèmes compatibles Android et autre Winphones.

Le web mobile n’est encore peu de chose (2.5% des visites d’après StatCounter ) mais sa part de marché par rapport à l’ensemble des visites a été multiplié par 4 en un an et demi ! Et au regard des

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