Adm2007 tn2 leadership

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Feuille d’identité

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D’après la lecture du texte de Mme Coutu, je remarque que les leaders sont marqué par leurs expériences de vie.D’après M.Kets de Vries,les leaders sont le miroir de ce qu’ils ont vécu dans le vie.L’explication de M.Kets de Vries :  il résulte du transfert d’empreintes inconscientes d’une expérience passée vers une situation actuelle. Ce transfert constitue une forme de motivation inconsciente. Selon Freud, des raisons conscientes déterminent nos comportements conscients; et des motifs inconscients expliquent notre comportement à long terme. Nous nous construisons une structure défensive afin de contrôler nos pensées spontanées et cette structure défensive peut nous empêcher de voir notre véritable personnalité. S’il est trop poussé, cet aveuglement correspond à ce que les psychiatres appellent un trouble du caractère (ou de la personnalité) : la personnalité narcissique, paranoïaque, obsessionnelle et compulsive, dépressive, etc. Cette façon d’être un leader résulte des expériences passées de celui-ci.^[1]

Lors de recherche de M.Kets de Vries, les leaders masculins ont vécu avec une famille instable. Je m’explique. Les grands leaders masculins ont souvent un père peu impliquer dans la famille. Par contre, les mères ont encouragés, motiver leurs enfants a devenir meilleurs et se relever après un revers ou une déception. Cela aide les leaders masculins à être combatif et imaginatifs.

 Pour ma part, la lecture du texte de Mme Coutu et les cours, tous leaders doivent avoir un point de départ. Leurs vies bon coup, les échèques, les apprentissages de personnes influentes pour eux, mère, père, professeur, amis, etc. font ce que l’on est. C’est ce qui nous rend différents comme leader et comme personne. Exemple : M. Kets de vires a travaillé pendant deux ans avec des banquiers. Après quelque temps, les banquiers ont reconnu ceci : les banquiers ont commencé à reconnaître que les racines de leurs problèmes étaient ailleurs, dans des conflits internes. En creusant, j’ai découvert que ces banquiers, comme bien des dirigeants obsédés par le travail et l’argent, avaient connu des expériences de privation d’une forme ou d’une autre dans leur enfance. Ils travaillent pour de gros salaires et des options d’achat d’actions de façon à obtenir ce qu’ils décrivent grossièrement comme la possibilité d’envoyer les gens au diable [fuck you money], l’argent de l’indépendance. C’est leur façon d’avoir plus de contrôle dans un monde qu’ils perçoivent souvent (compte tenu de leurs expériences de vie) comme incontrôlable.^[2]

Je me rends compte dans mon travail, je me considère comme un équipier. Je suis ce que l’on me dit ou j’influence le leader en fonction de mes besoins. Cela comme mentionner dans le texte peut induire en erreur le leader et le mettre en situation difficile ou positive selon sa perception.

J’aime bien la façon donc M. Kets de Vries représente les gens qui ont cette façon de voir la vérité et de la révéler. Le bouffon est une personne qui n’a pas de gène à démontrer ce qu’il se passe vraiment. Dans la société moderne où nous vivons, ces gens sont souvent pris au sens propre de bouffon et peu de personnes leur prêtent attention. Il est intéressant de lire dans les réponses de M.Kets de Vries : le fou ou bouffon dont je parle agit comme repoussoir pour le leader — et chaque leader en a besoin. Historiquement, le fou du roi a joué un rôle traditionnel de stabilisateur pour les reines et les rois (et autres leaders). C’est le « bouffon-sage » du roi Lear — le gardien de la réalité. Le bouffon montre au leader son reflet et lui rappelle le caractère éphémère du pouvoir. Il utilise pitreries et humour pour éviter des actions ou des réflexions de groupe stupides.^[3] 

De mon expérience personne sur le marché du travail et mon opinion, ce texte de Mme Coutu reflète bien leader que je côtoie ou que j’ai côtoyé.

[1] Manfred F. R. Kets de Vries, La face cachée du leadership, Pearson Éducation France, 2010.

[2] . Diane Coutu, « Putting leaders on the couch », Harvard Business Review, janvier 2004 (traduction libre).

[3] . Diane Coutu, « Putting leaders on the couch », Harvard Business Review, janvier 2004 (traduction libre).

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