Charles De Gaulle

ment de l’art et de la science. Seulement, il dit aussi que, comme impartiale, les mémoires sont souvent incomplètes. C’est ici qu’il fait le lien avec les Mémoires de de Gaulle : celui-ci fait preuve d’une retransmission, d’une réécriture d’évènements passés, mais n’est pas assez précis. De Gaulle possède donc l’art dans son écriture mais manque de science, il est « faillible et incomplet ».

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- On retrouve de nombreux points communs entre le texte de Michelet et celui de de Gaulle. Tout les deux montre un amour dévoué pour la France au point de l’élever au rang maternel et justifiant la mort d’un individu pour cette patrie. Ils associent tous les deux la France comme s’incarnant dans chacun. Donc chaque personne est la France. Sont dépeint une véritable grandeur et puissance de la France qui contient de nombreux symboles de gloires : « Notre-Dame », « Arc de Triomphe », « Drapeau », « enthousiasme du peuple ».

Les deux ont acquis une foi dès la naissance qui est une partie intégrante dans l’éducation qui leur a été inculqué surtout par le père (« sentiment de la France », « histoire héroïque »). La mère est reléguée à un amour passionnel et religieux pour la Patrie, contrairement eu père qui en est fier et digne.

De plus, ils sont sûrs que le sens de l’histoire de la France est loin d’être finie, qu’elle est éternelle, qu’elle peut sauver le monde.

Enfin, les deux font preuve d’une écriture tragique dans leur éloge de la France.

Question 3 :

Les opinions de Pierre Nose et de Roland Barthès sont relativement les mêmes sur les Mémoires. Nose le qualifie comme étant un récit d’une richesse culturelle extrême puisqu’il dit qu’on y retrouve Tacite, César, Retz, Saint-Simon, Napoléon et Chateaubriand dans son écriture. Néanmoins, il définit cette richesse comme étant parfois négative puisqu’elle devient alors une sorte de catalogue des grands hommes de l’histoire. Il le qualifie ainsi de « Mémoires d’Etat ».

Barthès considère que « ce que la publication de ces trois tomes a réveillé durant les années 50, c’est le rêve séculaire en France d’un lien naturel entre la plume et l’épée ». Il rejoint donc l’opinion de Nose puisqu’il veut dire par là que les personnages historiques cherche trop à écrire des mémoires qui serait de véritables œuvres littéraires en s’inspirant d’une panoplie de prédécesseurs.

Question 4 :

- Les idées de Jaurès : l’espoir, la conviction de redresser la France : « je ne vous propose pas un rêve décevant ; je ne vous propose pas non plus un rêve affaiblissant ». + La défense de la France, de la Patrie, à tout prix + la volonté d’une autonomie des pays car tous deux pensent que c’est comme ça qu’ils se relèveront le mieux, sans pour autant les abandonner. Ils sont très poussés vers l’Internationale qu’ils considèrent comme un atout + la question de l’Alsace + volonté de démocratie et de paix.

- Les idées d’Ernest Renan : contre le déterminisme de la race

- Les idées de Jules Soury : le « culte du mort et de la Terre où ils ont vécus et souffert, de la religion et de la patrie », donc un attachement à la Terre, à son histoire + l’importance de la continuité parentale : « respect des traditions, le caractère sacrée de la patrie ».

- Les idées de Barès : l’amour pour la Terre + utilise le terme de « race » parfois pour exprimer son souhait d’une « continuité française ».

- Les idées des Frères Thierry et Chateaubriand : place prédominante du peuple