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Les grand courant des sciences humaines et sociales

Chronologie : Les grand courant des sciences humaines et sociales. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  4 Avril 2022  •  Chronologie  •  12 128 Mots (49 Pages)  •  550 Vues

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Les grands courants des sciences humaines et sociales

Léopold Van Ranke : comment cela s'est passé ? (1795-1886)

Jules Michelet (1798-1874)

Histoire de la révolution française (1847)

Histoire de France

Fustel de Coulanges (1830-1889) La cité antique

École des « méthodistes »

Gabriel Monod (1845-1912)

revue historique fondée en 1876

Charles-Victor Langlois (1863-1929)

Charles Seignobos (1854-1942)

Introduction aux études historiques, 1898

Entre les deux

Paul Lacombe

Henri Berr (revue de synthèse historique fondée en 1900)

École française de sociologie : Durkheim (1858-1917)

François Simiand (1873-1935)

Maurice Halbwachs (1877-1945)

L'année sociologique fondée en 1898

        L'histoire a une longueur d'avance sur la sociologie car elle a été étudier avant. Tout se base sur des sciences dites théologiques. Au XVIIème et XVIIIème siècle, on aune émancipation de cette théologie grâce à la physique avec Copernic à partir d'observation et de ces instrument mais aussi à partir de raisonnement mathématiques. Au 18ème siècle, Galilée symbole du physicien moderne, symbole du processus de modernisation des sciences puis vient Newton au XVIIIème siècle.

        On a la développement des sciences sociales puis les sciences des corps vivant (d'abord appelé physiologie puis biologie par un picard en 1802). Les philosophe des Lumières, ils ont recherchés à montrer des lois, des règles de fonctionnement de la société (système sociaux) par Montesquieu, mais il a aussi fait de l'histoire notamment sur la décadence de l'empire romain. Voltaire est un historien, en ayant écrit une histoire plus historisante avec « le siècle de Louis XIV » et une histoire sur « Les mœurs ». Ils cherche tous à étudier l'homme autre que par la morale qui débouche sur la constitution de la discipline.

        La révolution française ferme toutes les université car elles sont des corporation, et elle ouvre des grandes écoles mais après la réapparition des bourbons les plus ancienne ont été ré-ouverte : faculté de théologie, de lettre (où l'on enseigne la philosophie, l'histoire, la géographie et par la suite la psychologie puis la sociologie), de médecine, de droit. Au XIXème siècle un groupe veut repenser la psychologie en idéologie mais ce la n'a pas aboutis car c'est un terme péjoratif (en ce temps). L'histoire va sortir tôt des faculté de lettre. On va créer l'agrégation d'histoire, qui sert à ceux qui vont enseigner à l'école, elle est préparé dans les grandes école. L'agrégation à lieu sous Philippe, mais elle est devenu une discipline obligatoire avant Philippe.

        L'histoire est lié à l'état national car elle construit une nouvelle communauté. Et va donc créer sa propre monnaie, sa région, sa langue puis sa culture. Au XVIème siècle François Ier a décide que la langue serait la francien, qui créé une culture national qui va devenir une culture scolaire. Après le monopole fiscal, l'état va avoir le monopole de le culture dans les école publiques et privées (sous contrat avec l'état). Au XIXème, l'état national est en construction, en très peu de temps il a fallu imposer la langue française (cela s'est fait en 2 siècle) et l'école a fortement joue dans cette inculcation. L'histoire a été une discipline maîtresse dans les sciences humaines et sociales, et plus précisément l'histoire (l'âme de la nation) et la géographie (corps de la nation).

        L'histoire est le vecteur de « l'identité » nationale (qui pose problème au niveau collectif plus qu'au niveau psychologique). L'histoire essaie d'expliquer aux enfants grâce aux lois Ferry en 1882, ce pays a un passé avec des précurseurs, des ancêtres et on tombe dans ce qu'un historien appelle l'anachronisme (ceux qui est une erreur de jugement dans le temps) car on explique un grand roman de grands hommes aux enfants, déconstruit par la suite. C'est dans cette dynamique qui explique que l'histoire est devenu une discipline phare enseigner de la primaire à l'université tout comme le français et la géographie.


Partie 1 : L'histoire comme méthode des sciences sociales (Langlois et Seignobos)

Ch 1 : Fin XIXème et début XXème siècles : Une division épistémologique et institutionnelle du travail

1.1 Histoire littéraire et aspiration à une histoire-science au XIXème siècle

        Léopold Van Ranke : comment cela s'est passé ? (1795-1886) On peut s'intéressé à tous les aspect de la société et donc cela donne à l'histoire une volonté de puissance car il y a différentes manière d'étudier l'histoire. La question est alors comment l'écrire ? Car ces périodes s'enroulent autour de la chronologie (se sont des dates qui viennent du calendrier Grégorien (Grégoire XIII pape qui reforme le calendrier Julien car il ne calcule pas avec précision la rotation de la terre). Les chrétiens orthodoxe à continuer à utiliser le calendrier Julien se qui fait que la révolution d'Octobre (revolution de russie) à eu lieu en mars mais ceci a été revue et mis à jour. La chronologie renvoie à une chronométrie qui est lié à l'astronomie.

        Est-ce que cela c'est vraiment passé et comment cela s'est passé ? Mais le problème de l'époque est que tous les acteurs sont morts. Donc on cherche des archive puis on les raconte avec une mise en intrigue avec un récit que rappelle celui des romancier. Cas de Jules Michelet, quand on le lis on est étonné aujourd'hui car c'est à la fois de l'histoire, de la philosophie, de la littérature. Son grand livre « Histoire de la Révolution Français » montre une philosophie de l'histoire, cela va apporter la question de savoir s'il n'y a pas de une philosophie derrière chaque historien, chez Michelet c'est conscient. Est-ce qu'il n'y a pas quelque chose de littéraire ? D'autres comme Fustel de Coulanges rejette la méthode de Michelet car ils voulais que l'histoire soit fait de faits réels, attestés, une volonté de faire science. Épistémologie : théorie de la science, quand est-ce qu'on parle de sciences ?, quels sont les critères des sciences ?

        Fustel de Coulanges dit qu'il faut faire attention a ne pas voir l'histoire d'un point de vue politique, anti-église… Il pense que l'histoire doit partir de document avérés, car il y a de faux documents qui entraîne des erreurs. L'un des grands problèmes lorsqu'il a établit des faits avérés, il y a la généralisation. Depuis Aristote, « il n'y a du sens que du général ». Le problème avec l'histoire il n'y a rien de général, elle se présent avec des faits particuliers. Les historiens des écoles « méthodistes » dit que « l'histoire est la sciences qui n'arrive qu'un seule fois » appelé aussi courant nominaliste. Windelband a forger les sciences idiographique (science dont la fonction est de décrit des faits particulier) en opposition au nomothétique (science dont la fonction est d'établir des lois, des règles (ce qui est mis de loi)). Ces terme renvoie à l'idée de partir du particulier pour faire une généralisation dans le but d'expliquer par des lois, des règles. Les sciences humaines et sociale ne peuvent pas être nomothétiques.

        Durkheim et ses disciples pensent que les sciences humaines et sociales sont des sciences qui peuvent établir des lois. Lois du suicide : plus vous inséré dans la société, dans la famille, plus vous êtes protégé du suicide car la socialisation protège du suicide , la désocialisation pousse au suicide.

        Monod se démarque des historiens catholique, car il veut développer une vision téléologique qui ne prend pas de distance selon eux. L'histoire doit devenir la science première. Quand on parle de « histoire-sciences », insiste sur les fait que la discipline des historiens soit une discipline scientifique, il ne veulent plus d'Histoire littéraire, définie essentiellement par sa méthode dans le livre « Introduction aux études historique », en 1898 (p 5 à 11). Ceux qui décroche l'agrégation d'histoire sont surtout les personnes des écoles normales supérieures.

        Langlois et Seignobos sont agrégé d'histoire et Langlois a fait l'école des chartes, élève d'Ernest Laviste concepteur de manuel d'histoire (écrit le grand roman national). Seignobos était à normalien, élève de Fustel de Coulanges qui cherchait à faire une histoire science. Ils sont tous dreyfusards (affaire Dreyfus).

        L'histoire est important car ils considère qu'il n'y a pas de sciences sans faits établit. Le grand problème des sciences sociale est le rapport aux passions, il faut prendre de la distance mais être passionné. Il faut partir de faits avérés. Il va falloir que les archives établissent des inventaire car l'historien aura besoin de ces documents. Selon eux l'histoire est une méthode indirecte.

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