Politique Monetaire
Rapports de Stage : Politique Monetaire. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresl'Etat. Elles se composent des impôts indirects (TVA...), et des impôts directs (impôt sur le revenu des personnes physiques, impôt sur les sociétés)
Chapitre 1 : Fondement théorique de la politique budgétaire
A. Notions et concepts
1) Objectifs
La politique budgétaire vise à réguler la conjoncture et à rechercher des grands équilibres.
Cette régulation peut consister en la mise en place de relance de l'activité économique par la demande et l'investissement. A l'inverse, elle peut prendre la forme d'une politique de rigueur lorsque le gouvernement cherche à lutter contre les déficits ou contre l'inflation. Dans ce cas, il cherche à réduire la demande des agents économiques ;
la politique budgétaire a aussi un objectif de justice sociale et d'équité dans la mesure où le budget est un moyen de lutter contre les inégalités les plus criantes par le biais des prélèvements fiscaux et de l'aide aux plus démunis.
2) Instruments
La politique budgétaire de relance est actionnée par les dépenses et les recettes de
L’État. Lorsque l’État injecte des fonds supplémentaires dans l’économie, des répercussions en cascade se produisent, appelées effets multiplicateurs. Par exemple, une commande d’un stade par l’État va engendrer une production supplémentaire, donc le versement d’une masse de revenus additionnels dont la fraction non épargnée stimulera une production dans d’autres branches de l’économie.
L’action sur les recettes constitue un deuxième instrument de la politique budgétaire de relance. En diminuant le niveau de variables tels que les taux de TVA, le taux de l’impôt sur les sociétés, l’État peut accorder un pouvoir d’achat supplémentaire et ainsi relancer la consommation et l’investissement, donc l’emploi .o budgétaire consiste à utiliser le budgete un instrument
La politique budgétaire et fiscale consiste à agir sur les dépenses et les recettes de l'Etat. Le budget de l'Etat est l'instrument privilégié par un gouvernement pour mener sa politique pour dynamiser une économie dépressive.
a) Recettes
Les recettes fiscales constituent 90 % des recettes de l'Etat. Elles se composent des impôts indirects (TVA...), et des impôts directs (impôt sur le revenu des personnes physiques, impôt sur les sociétés)
Chapitre 1 : Fondement théorique de la politique budgétaire
A. Notions et concepts
1) Objectifs
La politique budgétaire vise à réguler la conjoncture et à rechercher des grands équilibres.
Cette régulation peut consister en la mise en place de relance de l'activité économique par la demande et l'investissement. A l'inverse, elle peut prendre la forme d'une politique de rigueur lorsque le gouvernement cherche à lutter contre les déficits ou contre l'inflation. Dans ce cas, il cherche à réduire la demande des agents économiques ;
la politique budgétaire a aussi un objectif de justice sociale et d'équité dans la mesure où le budget est un moyen de lutter contre les inégalités les plus criantes par le biais des prélèvements fiscaux et de l'aide aux plus démunis.
2) Instruments
La politique budgétaire de relance est actionnée par les dépenses et les recettes de
L’État. Lorsque l’État injecte des fonds supplémentaires dans l’économie, des répercussions en cascade se produisent, appelées effets multiplicateurs. Par exemple, une commande d’un stade par l’État va engendrer une production supplémentaire, donc le versement d’une masse de revenus additionnels dont la fraction non épargnée stimulera une production dans d’autres branches de l’économie.
L’action sur les recettes constitue un deuxième instrument de la politique budgétaire de relance. En diminuant le niveau de variables tels que les taux de TVA, le taux de l’impôt sur les sociétés, l’État peut accorder un pouvoir d’achat supplémentaire et ainsi relancer la consommation et l’investissement, donc l’emploi .o budgétaire consiste à utiliser le budgete un instrument
La politique budgétaire et fiscale consiste à agir sur les dépenses et les recettes de l'Etat. Le budget de l'Etat est l'instrument privilégié par un gouvernement pour mener sa politique pour dynamiser une économie dépressive.
a) Recettes
Les recettes fiscales constituent 90 % des recettes de l'Etat. Elles se composent des impôts indirects (TVA...), et des impôts directs (impôt sur le revenu des personnes physiques, impôt sur les sociétés)
b) Dépenses
Avec les dépenses Publiques qu’il effectue, l’Etat verse des ressources monétaires aux différents agents économiques. Une augmentation des dépenses publiques accroit le montant de ces ressources et stimule la dépense des agents.
Les dépenses publiques sont de nature diverses. Il peut s’agir d’abord des rémunérations des fonctionnaires : ainsi, l’Etat qui embauche de nouveaux fonctionnaires favorise l’emploi et la consommation qui favorise l’emploi et la consommation des ménages lorsque le chômage servit. Les aides aux entreprises constituent un deuxième grand type de dépenses destinées à favoriser l’activité; se sont par exemple des les subventions (dons) ou les bonifications d’intérêts grâce auxquelles la banque accorde des taux d’intérêts moins élevés que ceux du marché avec une aide de l’Etat qui comble la différence. Le budget de l’Etat contribue aussi à soutenir la demande grâce aux dépenses d’infrastructure (transport, autoroutes, par exemple, afin de soutenir l’industrie du bâtiment et des travaux publics) ainsi que par l’intermédiaire de sa propre activité productive (entreprises publiques qui, par exemple, inversement massivement lorsque le secteur privé ne le fais pas).
c) Soldes budgétaires
Un déficit budgétaire a indéniablement un effet stimulant sur un l’activité car l’Etat dépense davantage qu’il ne prélève. Pendant longtemps a régné le dogme de l’équilibre budgétaire selon lequel tout déficit public était a priori condamnable. dés qu’une telle situation se présentait, lorsque les prévisions de dépenses et de recettes ne se réalisaient pas (conjoncture défavorable par exemple), les pouvoirs publics devaient tout mettre en œuvre pour rétablir l’équilibre budgétaire.
B. Politique budgétaire chez les CPE
1) Classique
Dans le cas d’une politique budgétaire pure : le déficit budgétaire provoquerait un effet d’éviction, cette éviction d'origine financière revêt un double aspect :
- Un effet direct : cet effet peut jouer lorsque l'encaisse de spéculation (thésaurisation) est nulle (ce qui correspond dans le modèle IS LM à la zone dite "classique"), dans ce cas les agents privés achètent des titres publics avec de l'épargne initialement destinée à des dépenses d'investissement ou de consommation privée (encaisse de transaction). La politique budgétaire n'est efficace que lorsque les agents privés achètent des titres publics avec de l'argent oisif (encaisse de spéculation), il y a alors déthésaurisation (donc injection monétaire), ce qui stimule l'activité économique.
- Un effet indirect : l'augmentation de la demande de fonds prêtables entraîne une hausse du taux d'intérêt qui conduit à une diminution des projets d'investissements privés. Plus les investissements privés sont élastiques au taux d'intérêt, moins la politique budgétaire est efficace.
Dans le cas d’une politique budgétaire financée par création monétaire le déficit aurait un effet inflationniste.
Selon l'optique traditionnelle, la politique budgétaire met l'accent sur l'influence directe des recettes et des dépenses gouvernementales sur la demande globale. On utilise le solde budgétaire du gouvernement comme indicateur grossier de l'influence du gouvernement sur la demande globale, même s'il est reconnu que certains changements apportés aux recettes fiscales et aux dépenses ont plus d'influence que d'autres
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