Psycho
Recherche de Documents : Psycho. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresntenues à l’écart de notre conscience et influencent notre comportement, nos émotions et nos pensées conscientes. Certains d’entre eux sont bloqués dans l’inconscient= Libido mais l’angoisse joue un rôle important.
c) La structure de la personnalité :
1e topique :
CONSCIENT : ce qu’il se passe, appréhension de l’environnement, ordinateur central.
INCONSCIENT : images, faits de notre vie oubliés mais gardés en mémoire. On y échappe, on ne peut y penser, mais il agit sur notre comportement et notre développement.
SUB (PRECONSCIENT) : souvenir dont on peut avoir accès moyennement un effort.
2e topique :
CA : il contient les besoins fondamentaux de l’homme et l’effort pour être satisfait – Fond pulsionnel de la personnalité. Contenus INCONSCIENT, une part héréditaires et innés et l’autre refoulés (oubliés) et acquis = présent à la naissance. Pôle pulsionnel. Besoin de satisfaire immédiatement les pulsions. Principe de plaisir.
MOI : c'est la partie de la personnalité la plus consciente, toujours en contact avec la réalité extérieure. Le Moi s'efforce de faire régner l'influence du monde extérieur sur le ça. Soumis au principe de réalité, il a un rôle de régulateur et de médiateur. Ses opérations sont inconscientes (mécanismes de défense).
SURMOI : elle fait partie du Moi mais s’en détache et joue un rôle à celui d’un juge. Cette séparation intervient quand l’enfant commence à intégrer les valeurs et les règles de ses parents, la société, C’est important pour la construction. Le Surmoi fonctionne comme principe de la moralité dans la mesure où la violation des règles de la conscience ou le non-respect de l’idéal du Moi s’accompagne d’un sentiment de culpabilité.
d) Les mécanismes de défense, ou adaptation du moi :
La régression :
Le bénéficiaire va revenir à des positions infantiles renvoyant à des stades antérieurs de son développement.
Il va se montrer passif, soumis, laissant aux éducateurs le soin de tout décider. Le bénéficiaire perd toute autonomie et devient dépendant.
Le refoulement :
C’est un rejet dans l’inconscient des représentations désagréables ou douloureuses. Le bénéficiaire pense et dit que « tout va bien » mais les éléments refoulés restent actifs dans l’inconscient et remontent (retour du refoulé). Le sujet va alors ressentir des symptômes (angoisses, tensions, troubles du sommeil).
La projection :
Le bénéficiaire n’arrive pas à reconnaître en lui ses sentiments et affects alors il les projette sur l’extérieur. Il se sent agressé par sa maladie et fait un amalgame avec l’équipe soignante qu’il perçoit comme un agresseur. Il s’agit d’un mécanisme de défense très archaïque témoignant d’une personnalité fragile et peu structurée.
La sublimation :
Elle permet de canaliser des impulsions potentiellement inadaptées vers des comportements socialement acceptables (ex. sport de contact / agressivité, création artistique / mal être).
L’intellectualisation :
Elle ressemble à la sublimation et s’investie dans des discours ou des tâches hautement intellectuelles. (ex. en psychiatrie, un patient lis un livre sur sa maladie, raconte dans le moindre détail.
La rationalisation :
Elle consiste à se justifier rationnellement à des comportements dont on ignore, on refuse les véritables raisons (ex. mythomanie.)
La formation réactionnelle :
Elle consiste à dire le contraire de ce qu’on pense réellement. (ex. j’aime les bonbons, on m’a propose mais je dit je n’aime pas.)
La conversion psycho-somatique ou somatisation :
Elle consiste à transformer l’énergie inacceptée en symptôme physique. Peut être très grave. (ex. une paralysie de la main chez une personne qui se sent coupable d’un geste agressif).
e) Les mécanismes de défense et stratégie d’adaptation :
La notion de coping est issues de l’étude des mécanismes de défenses mais cherche à y incorporer des processus psychologiques afin d’en maîtriser ou diminuer l’impact sur son bien-être physique et psychique.
f) Les mécanismes de défense face à un deuil :
Choc et déni :
Une annonce d’un évènement. Le choc se caractérise par une paralysie, de l’émotivité et des capacités de perceptions. Le déni a pour rôle d’amortir la souffrance vécue, de retarder la peine conscience.
Colère :
Elle représente l’expression de la révolte et de l’impuissante face à une maladie également cacher d’une grande tristesse à l’épreuve vécue.
Marchandage :
Une autre forme de négation qui permet à la personne de se protéger contre la réalité. Manifeste un pseudo-optimiste et tente de négocier la guérison.
Dépression :
Il tente de négocier avec con destin. La réalité devient incontournable et se soumet devant la fatalité en sombrant soit dans un état dépressif ou soit dans une dépression. Un épuisement physique et psychique face aux étapes parcourues.
g) Acceptation et restructuration :
Ce n’est pas un mécanisme de défense, c’est la confrontation à la réalité apprivoisée petit à petit. Acceptation se manifeste quand la personne trouve des réponses à ses questions. (ex. elle trouve un sens à sa maladie et permet de transformer son moral). S’oriente ainsi vers un processus de deuil et une nouvelle définition de la relation à autrui et au monde général. S’ouvre à un environnement qui n’est plus dévasté.
CHAPITRE III : LE COMPORTEMENTALISME
a) John Broadus Watson :
Son principal apport est que le comportement observable comme objet de la personnalité, étudier le lien entre un stimulus et sa réponse comportementale. Ils croient que tout comportement peut être considéré comme une réaction à un stimulus. Les comportementalismes voulaient réduire le fait psychologique au couple stimulus-réponse (SR).
Watson et d’autres comportementalistes postulaient que tout comportement humain ou personnalité est déterminé par l’apprentissage
b) Burrhus Frederic Skinner :
Skinner espérait expliquer les caractéristiques de la personnalité d’une personne en examinant quel stimulus elle avait exposée et quelles en était ses réactions en indépendant à toute caractéristiques biologique ou la vie antérieure.
c) Apprentissage :
Un apprentissage c’est une modification relative permanente du comportement ou du potentiel comportemental résultant de l’exercice ou de l’expérience vécue.
2 grands processus d’apprentissage :
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