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Ecriture D'Invention Sur Le Thème Du Voyage

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us profond qui soit car un gras de marée détruisit sa barque. Il mit deux xalantes et trois croissants pour la reconstruire à l'aide de bois d'Ombilical.

Il quitta cet endroit maudit, emplit par la rancœur de ne pas avoir posé le pied en Graice.

Eatoire continua son épopée, naviguant à travers la Mer Aufoyer. Son passage de l'autre côté de l'Ebrateur fut agité. En effet, c'était la période des moussons pautomniales, qui, par des averses sporadiques, le firent accoster inopinément sur la cervaustralie. L'amiral pouvait enfin se réjouir, il avait atteint son plus grand objectif, rejoindre cette île inconnue de la plupart de la blonde, la cervaustralie. Bien que ce ne fût pas un lieu très grand ni véritablement beau,il était fier de pouvoir contredire les légendes ridicules qui prétendaient qu'elle n'existait pas.

Cela faisait déjà plusieurs croissants qu'il errait sans but au sein de son île. Il cherchait une distraction, un rien pour s'occuper, un rayon de soleil dans ses journées nuageuses d'ennuis et de froid. Afin de fuir ses idées moroses, l'Amiral Eatoire se décida à ramer vers le Nord, il ne savait pas ce qui l'attendait et ne voulait en aucun cas le savoir. Tout ce qu'il voulait, s'était s'épargner une attente trop longue. Cette attente était dû au fait que la marée était montée durant son voyage vers la cerveaustralie, il devait donc attendre un nouveau régime avant de redescendre vers son pays natal, la Podorique du Nord.

Sa rame à bout de bras, il poussait doucement sa nasse jusqu'à ce soleil jaune qui brillait au loin, ce soleil d'or que nul n'avait approché et dont le mythe était bien souvent revisité. Certains disaient que c'était un feu immense, qui se rallumait chaque jour, d'autres qu'un ermite y vivait et que, dès qu'il se réveillait, allait dans le noir allumait un phare grand comme seizuite fois la Podorique.

Au fur et à mesure que sa barque avançait, l'amiral voyait se dessinait au Nord plus qu'un soleil. C'était une lueur aveuglante qui paraissait jaune et brillante. Il accéléra donc, bientôt la vitesse de sa barque pouvait atteindre celle d'un véritable bateau à moteur, il monta en haut du mât, hissa les voiles et accostait quelques minutes plus tard sur une péninsule. Il mit l'antivol de sa barque, jeta de l'encre, et fît quelque pas, doucement, sur un ponton en bois craquelant. Il se dirigait vers l'un des trésors les plus beaux qu'il n'ait jamais vu... C'était un amas d'or, de couronne et de toute autres richesses, un trésor inimaginable, voilà enfin, le dû de son voyage, ce que le destin lui devait, l'amiral ne regrettait donc rien, tout ces moments passés à combattre les vents, à tirer ses muscles jusqu'à la déchirure. Ce n'était plus seulement de la joie, c'était des larmes qui s'affichaient sur son visage, des larmes de soulagement. Il pourrait revenir vers son pays vainqueur : tout d'abord il avait trouvé la cervaustralie, il ferait donc avancer l'histoire et prouverait au monde entier que ce n'était pas qu'un mythe. Il avait aussi trouvé un trésor, une découverte qui ferait de sa vie un luxe. L'amiral repartit

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