Landersby

œuvre il faut es conditions appropriées à savoir le changement de politique commerciale. Le style convivial, dans ce style les intentions du manager sont d’instaurer ou restaurer une ambiance de travail agréable. À cet effet on note au niveau du management du groupe : usage de techniques de dynamique de groupe, instauration de moments d’échange, on crée de nouvelles habitudes de travail en équipe, fait passer d’une logique d’effort individuel à une logique d ’entraide et d ’efficacité collective. Le style participatif qui est caractérisé par l’établissement d’objectif, une participation des salariés aux décisions, une communication facilitée et la distribution matérielle. Le style exemplaire les intentions du manager sont d’obtenir un très haut niveau de performance en s’impliquant dans le suivi des affaires, voire en mettant la main à la pâte. Le style autoritaire avec une hiérarchie forte et des décisions imposées. A ces styles on ajoute le style technocratique, le style anarchique, institutionnel, coopératif, personnel, formel et informel, le style paternaliste caractérisé par la centralisation et la motivation par récompense, le style consultatif dans lequel on note une décision davantage partagée et la distribution matérielle, le style démocratique. A travers cet étalage de styles, on aperçoit clairement que plusieurs sont adoptés pour atteindre les différents objectifs fixés. Cependant il ressort que nombreuse sont les entreprises qui optent pour des styles singuliers tels le style participatif parce qu’il est après analyse le style prometteur. Quel est alors leur impact dans la gestion de l’entreprise ?

La plupart des styles énumérés ci-dessus ont pour vocation de permettre une bonne performance des entreprises .Mais leur influence pris à part chacun, souvent constitue une entrave dans la réalisation des travailleurs ou des salariés. Très souvent les employés sont marginalisés dans les prise de décisions, autrement dit, ils ne sont pas associés à la vie de l’entreprise. Ils sont considérés comme des simples exécuteurs. Ce qui pourrait être source de frustration et de démotivation. Ce résultat est sans doute l’adoption des styles autoritaires, paternaliste.

Le style leadership du dirigeant détermine en grande partie les relations sociales au sein de l’entreprise, selon qu’il est très directif ou, à l’inverse, très participatif. Effectivement, plusieurs critères restent déterminants dans le choix du style de direction. Plusieurs typologies permettent d’analyser les styles de management. Deux des typologies principales sont celles de Lewin et de Likert. Selon K. Lewin, psychologue, il existe trois types de leadership. Le leadership autoritaire, ou le chef donne des ordres à l’équipe et sanctionne ; le leadership démocratique, qui encourage les salariés à faire des suggestions et à utiliser leurs créativités ; le leadership permissif, où le chef laisse les salariés faire ce qu’ils veulent. Ainsi selon Lewin, c’est le leadership démocratique qui permet d’obtenir les meilleurs résultats. Quant à R.Likert, lui aussi psychologue, il en distingue quatre. Le style autoritaire qui est très directif ; les style autoritaire bienveillant, qui correspond au paternalisme ; le style consultatif, les salariés sont consultés sur les informations les concernant et le système participatif du groupe dans lequel les décisions sont décentralisées et prises par l’équipe. C’est ce dernier qui semble le plus efficace car il favorise la coopération entre salariés. Actuellement le leader efficace semble moins autoritaire et davantage axé sur l’encouragement de son équipe et le développement de sa motivation. Cette est liée à celle de l’organisation du travail, qui favorise l’autonomie des salariés .Dans ce sens la vision de l’entreprise est partagée par tous les membres, l’établissement de liens de confiances et le maintient d’une bonne ambiance s’installe.

En quoi