Fiche de lecture de l'histoire du veston ensorcelé

Le début de l’histoire du veston ensorcelé est réaliste:

• Une réception à Milan
• La maison du tailleur est comme d’autres maison
• Le nom des rues peut être dans une ville.

Le narrateur est un homme d’âge mûr, célibataire, aisé, il a une femme de ménage et une secrétaire.

IL y a des moments assez mystérieux quand le narrateur parle de l’homme élégant n’est pas identifié, il reste inconnu. Le narrateur ne saisit pas son nom.

Le tailleur à une attitude surprenante il se contente de peu de clients qu’il choisit lui même.

IL réclame pas le paiement de son travail depuis 3 ans. Il donne pas le prix complet a notre narrateur. Le narrateur à un pressentiment inexplicable, il est mal à l’aise. Il retarde le moment de mettre son costume.

Nous avons les moment surnaturels:

• Apparition du billet de banque : Le narrateur propose deux explications rationnelle.
• Apparition du deuxième billet, puis trois puis un véritable trésors.

 L’enrichissement du narrateur semble reposer sur des tragédies (cambriolage meurtrier, incendie mortel, suicide…) - Le narrateur est « perplexe » car il ne peut y avoir de rapport logique entre deux événements qui se produisent « presque en même temps » dans des lieux différents. - Le narrateur conclut à une coïncidence. Le narrateur ressent un malaise. Il a mauvaise conscience car il sait bien que de toutes façons il ne mérite pas cet argent. Il a des insomnies, provoquées par des remord confus. Le narrateur est de mauvaise foi. Il fait semblant de croire que ce qui arrive est le fruit d’une « concordance vague » En réalité, le narrateur se laisse tenter par le désir de devenir riche. Son égoïsme le pousse à dissimuler l’argent. Il fabrique un autre veston et ment à son entourage. Il a des rêves de grandeur : voitures, voyages, conquêtes féminines, tableaux… Il finit par admettre qu’il est responsable des malheurs qui surviennent. Le suicide de la vieille dame le touche car il s’agit de quelqu’un qu’il connaissait, morte pour une somme dérisoire. Le remord lui fait prendre conscience de sa dégradation morale. Il a succombé à la tentation de l’argent.

Le narrateur succombe à la tentation.

Le lecteur n’en sait pas plus que le narrateur-personnage. Il se pose les même questions.

Le narrateur est omniscient: le narrateur se sait condamné quand il rapporte les événements. - Le narrateur fait des commentaires: si seulement Dieu m’en avait préservé . Le narrateur utilise les temps qui sont en relation avec le moment de l’écriture : présent d’énonciation « dois-je énumérer… » ; futur (ce jour-là, je m’en souviendrai toujours).

 La situation finale du récit marque le retour au présent de l’écriture.

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