DissertationsEnLigne.com - Dissertations gratuites, mémoires, discours et notes de recherche
Recherche

Formation Et Emploi

Mémoire : Formation Et Emploi. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires
Page 1 sur 7

roductivité

... des coûts de production

salaires

… des dividendes … des investissements

… de la demande

… des emplois

… des profits … des emplois

… de la production

Exercice 2 : Le chômage est-il dû à des salaires trop élevés ? 1) Mettez-vous dans la peau d’un chef d’entreprise, et affectez de manière logique chacun des termes suivants ( emploi, coûts de production (2 fois), production, ventes, profit) à la place des points de suspension : salaires ⇒ ….. ⇒ prix ⇒ …. ⇒ ………. ⇒ emplois salaires ⇒ ….. ⇒ ….. ⇒ délocalisation de l’entreprise à l’étranger, dans un pays où les …..

salaires ont plus faibles ⇒

2) Mettez-vous à présent dans la peau d’un salarié, et affectez de nouveau de manière logique chacun des termes suivants ( consommation, production, ventes) la place des points de suspension : salaires ⇒ ……………. ⇒ …………. ⇒ …………… ⇒ emplois 3) Au final, quel est l’effet d’une hausse des salaires sur l’emploi ? Pourquoi ?

Exercice 3 : Carnet de commande et emploi « À Carquefou, la société Tristone Flowtech (ex Trelleborg) met ses 152 salariés au chômage partiel une journée par semaine. Elle enregistre moins de commandes depuis trois mois. Cette société de 152 salariés fabrique, essentiellement pour Renault et PSA, des pièces en plastique : bocaux de liquide de refroidissement, filtres à air etc. « Notre activité a été soutenue jusqu'en octobre, avant de diminuer, explique Jean-Lin Dubus, le directeur de l'usine. Notre chiffre d'affaires, de 26 millions d'euros en 2010, pourrait passer à 21 millions cette année. » Un creux lié à un manque de lancement de nouveaux produits en 2009, au coeur de la crise. « Il faut un an et demi à deux ans pour développer de nouveaux produits : nous ressentons maintenant les effets de la baisse. » La direction entrevoit un frémissement : « Renault Sandouville relance ses commandes. » Jacques SAYAGH, « Automobile : du chômage partiel chez Tristone - Loire Atlantique », Ouest-France, samedi 22 janvier 2011 1) Rappelez ce qu’est le chiffre d’affaires d’une entreprise. Comment se calcule-t-il ? 2) Pourquoi le carnet de commande de l’entreprise est-il un élément déterminant de sa politique d’emplois ?

Taux de croissance du PIB et de l'emploi

Champ : France entière (y compris DOM) Comptes nationaux (base 2000) - Tableau 1.702 pour la population active occupée - mai 2010

3) 4) 5) 6)

Pourquoi peut-on associer « population active occupée » et « emplois » ? Le PIB a-t-il baissé entre 2000 et 2002 ? Pourquoi ? Ce document montre-t-il une relation entre l’évolution du PIB et celle de l’emploi ? Comment peut-on l’expliquer ?

Exercice 3 : Les aides sociales sont-elles responsables du chômage ? 1) Mettez-vous à la place d’une personne touchant le SMIC, soit environ 1 000 euros net par mois pour 35 heures de travail hebdomadaire, et qui vient de perdre son emploi. Dans chacune des trois situations hypothétiques suivantes dans lesquelles elle pourrait se retrouver, déterminez à chaque fois si elle a intérêt selon vous à rechercher un emploi ou non, et expliquez pourquoi :

asuite à la perte de son emploi, elle va continuer, en cumulant différentes aides, à toucher 1 000 euros par mois sans travailler b- suite à la perte de son emploi, elle va toucher 600 euros d’allocations chômage c- suite à la perte de son emploi,, elle ne va pas toucher d’aides sociales.

2) A la lecture de ce qui précède, l’existence d’aides sociales vous semble-t-elle favorable à la lutte contre le chômage ? 3) Répondre à partir du texte aux questions suivantes : - Rappelez ce qu’est le RMI - Ce texte s’oppose-t-il à ce qui aux conclusions que vous avez tiré dans les questions 1 et 2 ? Pourquoi ? - Selon vous, le RSA présenté dans le texte peut-il permettre d’éviter les effets pervers des aides sociales ? Pourquoi ?

Certains disent aujourd’hui qu’il faudrait être un peu moins généreux avec les assistés, et plus avec ceux qui travaillent pour de bas salaires… Quand on est de droite, on dit qu’il faut baisser le RMI pour creuser l’écart avec le salaire minimum ; et quand on est de gauche, qu’il faut augmenter le salaire minimum. On a tort dans les deux cas. Imaginer que pour aider les pauvres il faut baisser le RMI est une obscénité. Mais croire qu’il suffit de décréter une hausse du smic pour venir à bout de la pauvreté est une illusion. On a beau avoir en France un salaire minimum plus élevé que dans d’autres pays, ça n’a pas empêché qu’il y ait des travailleurs pauvres et du chômage. Il faut donc changer de logique. Comment ? Il faut répéter que les gens qui sont au RMI n’ont pas choisi d’être assistés. Mais le système a des effets pervers. Mettons-nous dans la peau d’un RMiste à qui on propose un emploi au salaire minimum : il va se retrouver avec une couverture maladie moins importante, moins d’aide au logement, et au final moins d’argent, tout en étant moins disponible pour ses enfants… Quand le RMI a été créé, en 1988, ce risque avait été perçu : on avait imaginé qu’il faudrait créer un complément aux revenus du travail, afin qu’aucun emploi ne laisse sous le seuil de pauvreté. Le système que notre association défend aujourd’hui, le RSA, revenu de solidarité active, était déjà dans les cartons du RMI. Quel est son principe ? Chaque heure travaillée doit améliorer le revenu final de la famille ; et toute activité, même partielle, doit permettre de franchir le seuil de pauvreté. Pour cela, on peut choisir une réforme maximaliste où toutes les aides (RMI, allocation parents isolés, voire allocations familiales) seraient remplacées par une seule aide dégressive ; ou bien une réforme plus légère qui s’adapterait au système actuel pour en combler les interstices. Martin Hirsch, ex président d’Emmaüs,

...

Télécharger au format  txt (9.8 Kb)   pdf (175.5 Kb)   docx (9.1 Kb)  
Voir 6 pages de plus »
Uniquement disponible sur DissertationsEnLigne.com