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(1830) :

Hernani est un jeune noble proscrit par le roi Carlos et en lutte

contre celui-ci. Il est amoureux et aimé de Doña Sol, pupille du vieux duc

Don Ruy Gomez qui est également épris d'elle.

Alfred de Musset :

Les caprices de Marianne (1833) :

La pièce se passe à Naples (un Naples imaginaire). Elle raconte l'histoire de Cœlio, un jeune homme amoureux qui rêve de conquérir Marianne, épouse du juge Claudio. N'osant l'aborder, il tente d'abord d'utiliser l'entremise de la vieille Ciuta, qui n'obtient rien de la jeune femme que l'affirmation de sa fidélité conjugale. Cœlio fait alors en dernier recours appel à son ami Octave, viveur et libertin, cousin du mari de Marianne. Celle-ci continue de refuser ses avances mais tombe peu à peu amoureuse du messager : par caprice, elle lui offre même un rendez-vous où elle lui annonce sa décision de prendre un amant, mais surtout lui avoue à demi-mot son amour…

Poèmes :

Alfred de Vigny :

Les destinées : La maison du Berger (1840-1844) :

C’est là ce que me dit sa voix triste et superbe,


Et dans mon cœur alors je la hais, et je vois


Notre sang dans son onde et nos morts sous son herbe


Nourrissant de leurs sucs la racine des bois.


Et je dis à mes yeux qui lui trouvaient des charmes :


- Ailleurs tous vos regards, ailleurs toutes vos larmes,


Aimez ce que jamais on ne verra deux fois.

Oh ! qui verra deux fois ta grâce et ta tendresse,


Ange doux et plaintif qui parle en soupirant ?


Qui naîtra comme toi portant une caresse


Dans chaque éclair tombé de ton regard mourant,


Dans les balancements de ta tête penchée,


Dans ta taille indolente et mollement couchée,


Et dans ton pur sourire amoureux, et souffrant ?

(Vers 302 à 316).

Alphonse de Lamartine :

Méditations Poétiques : Le lac (1820) :

Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,

Dans la nuit éternelle emportés sans retour,

Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges

Jeter l’ancre un seul jour ?

Ô lac ! L’année à peine a fini sa carrière,

Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,

Regarde ! Je viens seul m’asseoir sur cette pierre

Où tu la vis s’asseoir !

Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,

Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,

Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes

Sur ses pieds adorés.

Un soir, t’en souvient-il ? Nous voguions en silence ;

On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux,

Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence

Tes flots harmonieux.

Tout à coup des accents inconnus à la terre

Du rivage charmé frappèrent les échos ;

Le flot fut attentif, et la voix qui m’est chère

Laissa tomber ces mots :

(Vers 1 à 20).

Si ce n'est pas moi, alors c’est quelqu'un d'autre qui va sentir la douleur que je ressentais.

Je regarde un visage ridé sur une vieille photo, je le regarde et je souris, je souris tristement. J’essaie de me raccrocher aux branches et de ne plus y penser jusqu'à ce que ce soit à mon tour de chanter le blues. Jusqu'à ce que je me rende compte que c’est comme si on vous souillait, si on vous effaçait d'un lieu sans laisser de trace.

Et si ce n'est pas vous, alors c’est quelqu'un d'autre qui sera victime de ces moqueries.

Parfois mentionné

Jusqu'à ce qu'il soit à son tour une il va se rapportent

Pour ce que c'est que d'être remplacé

Vous pouvez être un vieux fou

De ses jours anciens

Jusqu'à ce qu'il se trouve effacée

Il peut la trouver dans un coin

Et de fournir pour elle une épaule

Comme elle pleure ses contes de vous

Il ne sait pas qu'il est juste une échelle

Pour elle, monter sur les toits

Où elle va trouver une meilleure vue

Et il va nous rejoindre dès maintenant

La

...

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