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L’Assommoir d’Émile Zola,

Étude de cas : L’Assommoir d’Émile Zola,. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  3 Avril 2022  •  Étude de cas  •  1 722 Mots (7 Pages)  •  730 Vues

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Premiere partie

1. Dans cet extrait de L’Assommoir d’Émile Zola, les problèmes associés à la violence conjugale sont :

- l’alcool « La chambre, mansardée, très propre, était nue et froide, vidée par l’ivrognerie de l’homme qui enlevait les draps du lit pour les boire. » (l.1/2)

- La pauvreté « les voisins disaient qu’il la battait parce qu’elle lui avait refusé vingt sous, le matin. » (l.13/14)

- Le silence de certaines personnes qui assiste a de telle chose sans jamais intervenir « Descends, laisse-les se tuer, ça fera de la canaille de moins ! » (l.16)

- Les enfants assistant impuissant a de telles scènes finalement devenues banales « la petite Lalie, alors âgée de quatre ans, qui regardait son père assommer sa mère. » (l.25/26) ; « Elle avait un large regard noir, d’une fixité pleine de pensées, sans une larme. » (l.28/29)

2.

Certaines personnes ont tendance a pensées que montrée une réalité cru et choquante dans les campagnes de pub visant a venir en aide aux femmes battues est une bonne chose. En effet ces personnes pensent produire un electro choque chez beaucoup afin de venir a bout de telles situations, mais ce choix est-il toujours bien réfléchis ? Ne peut-il pas produire l’effet inverse ?

Nous allons d’abord nous placer du point de vu d’une personne adulte vivant une vie sans violence conjugale. En effet des images d’une réalité crue et choquante vont certainement poussé cette personne a être plus vigilante envers des situations qui pourrait lui sembler louche. Mais est-ce que cette personne ne finirais pas par devenir trop vigilante et voir le mal partout. En effet, il serait possible que cette personne développe une sorte de complexe du super héros et se mette en chasse de bourreaux conjugaux et finisse par interpréter une action assez banale dans le fonctionnement d’un certain couple comme étant une preuve de violence conjugale. Ce qui forcement l'amènerait a faire des signalements non fondés et donc a faire perdre du temps a la police et autres qui ne pourrait pas venir en aide a de réelles victimes.

Nous allons ensuite nous placer du point de vu d’une femme vivant au sein d’un couple dans lequel elle subit des violences conjugale.

Les campagnes de sensibilisation et de prévention montre souvent des images crues et choquantes de femme ayant subit des choses affreuses et étant souvent

remplies de marques laissées par les services subis. Imaginons qu’une femme qui a un mari ayant pour habitude de la gifler (« uniquement ») lorsque quelque chose ne lui convient pas. Et bien cette femme ne parlera surement jamais de ce qu’elle vie, car pour elle des femmes subissent tellement pire, après tout elle ne prend

« que quelques gifles » comparer a ses femmes qui se retrouvent souvent défiguré voir pire. Cette femme pensera que sa situation n’ai pas assez serveuse pour que quelqu’un l’écoute et qu’il y a plus important a faire ailleurs, comme aidé ces femmes avec des maris pire que le sien. Elle ne parlera donc jamais car ce qu’elle subit ne ressemble pas a ce que l’on voit dans les campagnes de sensibilisation et de prévention.

Nous allons ensuite nous intéresser aux cas des enfants. Énormément d’enfant sont témoins de violences conjugales chez eux, mais malheureusement ils ne savent pas ce que c’est. Pour eux voir de telles scène de violence est une habitude, ils ont grandit au milieu de tout cela, malheureusement pour eux rien n’est anormal dans cette situation. Ils doivent serrement penser que sa se passe comme sa chez tout le monde et assiste donc impuissant a tout cela. Ils ne sont pas en âge de comprendre les campagnes de préventions et de sensibilisation aussi crues et choquantes les images soient elles.

Ils ne parleront donc pas car ils ne peuvent pas mesurer la gravité de la situation, pour cela il faudrait prendre le temps de leurs expliquer avec des mots qu’ils peuvent comprendre et les rassurer en leurs promettants que rien de tout sa n’est normale et que sa n’arrivera plus jamais.

Nous allons enfin nous intéresser aux cas des hommes. Car oui les hommes battues existent et non cela ne devrait pas être tabou. Les campagnes de prévention et de sensibilisation disent montrer une réalité cru et choquante mais ce n’est pas tout a fait la vérité. En effet dans ses campagnes ayant pour thème les violences conjugales, le plus souvent les victime sont des femmes et les bourreaux sont des hommes. Les affiches portent toutes fièrement un visage de femme. Les faux dialogues sont tous retranscrit du point de vu d’une femme victime de son mari.

Ce qui bien sur contribue au fait de faire croire aux hommes qu’ils ne peuvent pas être victime de violences conjugales puisqu’ils sont censés être des bourreaux, en tout cas la société les vois comme sa.

De telles actions poussent les hommes a restés enfermer dans leurs silence, par peur et par honte.

En conclusion, je pense donc que montrer une réalité crue et choquante n’est pas toujours efficace pour une campagne de prévention et de sensibilisation. Ce n’est pas efficace car chaque cas est différent, chaque personne est différente et rien ne pourra jamais parvenir a venir en aide a tout le monde.

Deuxième partie

I. Questions d’analyse

1. Les moyens incitant les cibles a agir sont :

- La délivrance ou le renouvellement de votre carte de séjour, que vous soyez en situation régulière ou irrégulière, est automatique. Vous serez dispensée de payer les taxes et frais lors de la délivrance ou le renouvellement de votre titre de séjour.

- La loi française protège toutes les femmes victimes de violences conjugales vivant en France, quelles que soient leur nationalité et leur situation juridique de séjour.

- Que les faits soient anciens ou récents, les policiers et gendarmes ont l’obligation d’enregistrer votre plainte, même si vous ne disposez pas d’un certificat médical. Si vous ne voulez pas déposer plainte, vous pouvez signaler les violences en faisant une déclaration sur main courante (police) ou un procès- verbal de renseignement judiciaire (gendarmerie).

- 3919, le numéro d’écoute gratuit et anonyme, depuis un poste fixe ou un mobile, partout en France. Si vous appelez depuis la France, l’appel n’apparaîtra pas sur votre facture téléphonique. Il est ouvert 7j/7 du lundi au vendredi de 9 h à 22 h et les samedis, dimanches et jours fériés de 9 h à 18 h.

- Des associations spécialisées

- La loi du 4 aout 2014 pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes : des avancées concrètes pour les victimes de violences conjugales.

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