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Questions De Langage

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tionnement du canal.

Fonction esthétique/poétique : le principal objectif est le message.

Langage, langue et parole.La langue est la faculté particulière du langage. La langue est le code dans le schéma de la communication. Langage = faculté de parole à travers la langue. La langue est un stock de ressources, de paroles, qui concernent les éléments (réseau abstrait de règles).

Un signe implique une signification. Le langage est une faculté qui ne s'actualise que dans les langues.

La convention du signe linguistique.Le signal est un signe qui engendre une réaction automatisée. Un symbole est un signe qui à un rapport d'analogie entre sa propre forme et la forme qu'il doit représenter. Un signe n'attend pas une réaction automatique, n'a aucune analogie de forme qu'il désigne. Le signe linguistique est fait par l'injonction de signe extérieur et d'une idée de sens mais attend une interprétation. A chaque signifié est attribué un référent.

Il n'y a pas de différence entre l'intensité et la manifestation extérieure exprimée. Lorsqu'un signe est codifié, il y a un sens au signe (sur internet, lorsqu'on écrit en majuscule cela signifie qu'on crie!). Le signe linguistique conjugue un lien entre signifiant et signifié (lien indétachable).

Il y a des signifiés possibles qui n'ont pas de référents possibles. Le monde des mots et le monde des choses sont totalement séparés. La langue conditionne la traduction linguistique du son.

Comment construit on le signifié ?

On a pas besoin de connaître toutes les informations sur le signifié pour savoir de quoi/qui on parle

Ex : Tout le monde ne sait pas la durée de sommeil du chat, pourtant lorsqu'on l'évoque, on est capable de l'imaginer.

Le fonctionnement de la langue est généralisé. Plusieurs auteurs ont déduit que les mots dysfonctionnaient. La langue adamique montre que les mots désignaient parfaitement la chose. Si les mots correspondaient aux choses ce serait l'incompréhension, le doute, l'erreur.

L'idée d'une fleur ne suscite pas la fleur qui peut exister. La fleur du langage n'est pas la fleur existante. L'idée de fleur c'est une fleur qui n'existe dans un aucun bouquet.

La frontière entre le monde des mots et celui des choses n'est pas franchissable. Le signe linguistique le permet. Les mots sont incapables de désigner la totalité de l'existence des choses.

Ex : le mot racine n'informe pas sur la couleur, la forme, … du signifié.

Le mot abstraie la chose. On donne aux signifiés, un nom selon leur usage dans la vie quotidienne. Les mots font des catégories. Un signifiant d'un mot désigne un groupe d'objet. Un mot est donné aux signifiés lorsque leur usage est important. On ne donne pas de nom aux signifiés qui nous sont indifférents. Parce que les mots désignent un groupe de chose sont incapable de désigner la singularité d'un signifié. Lorsqu'on donne un nom à notre sentiment, on le rend valorisable. A cause du langage, nous ne sommes pas en phase avec les choses réelles (en nous) cr le monde des mots et le monde des choses réelles sont totalement séparés.

Le signe linguistique est démotivé (arbitraire) mais il existe des tentatives linguistiques de remotivation

Ex: l’œil, le « oe » équivaut à la forme visible de l’œil.

Dans la forme orthographique des mots, il y a des renvois sonores et/ou visibles des signifiés → c'est illusoire. On peut remotivé le signe linguistique. Le langage nous met à l'écart de nous même car il crée des catégories. S'il y avait une infinité de mots pour les signifiés la langue serai imparlable, impartageable.

La théories des actes de langage.La théorie de James AustinTous les énoncés peuvent s'évaluer en terme de vrai ou de faux. Il y a cependant des énoncés différents (particulièrement les ordres, ou les énoncés réussite/échec)

Ex : Je te promets d'arriver à l'heure demain (évaluation réussite/échec)

Austin introduit une distinction entre les énoncés constatifs (vrai/faux) et les énoncés performatifs (réussite/échec).

La notion de force illocutoire d'un énoncé, c'est le fait que celui ci se présente comme performatif car il recourt à des verbes qui indiquent l'action portée par cette énoncé.

Ex : Je te promets, je pari, je vous déclare, je vous condamne.

Dans la phrase « la séance est levée », n'a ni locuteur, ni de verbe performatif. Si la bonne personne la prononce au bon endroit institutionnel, alors cet énoncé est tout de même performatif (rapport explicite/implicite).

Ex : la séance est levée → je déclare que la séance est levée.

Tous les énoncés ne sont pas performatifs.

Ex: La terre prendra fin en décembre 2012 → rapport vrai/faux

La théorie de John SearleSelon Searle, il n'y a pas d'énoncés qui ne soient pas performatifs. Pour lui, tous les énoncés sont performatifs. Il propose de renoncer à la distinction constatif/performatif.

La plus banale des affirmations n'a pas lieu d'être dites si elle est de vérité absolue. Si on dit quelque chose d'évident, le fait de le dire le rend moins évident

Ex : j'ai 5 doigts à la main droite.

On parle de chose lorsque celles ci ne sont pas universelles pour tout le monde. Chaque prise de parole suppose une redéfinition de la position entre locuteur et interlocuteur. Lorsqu'on affirme quelque chose, on place notre personne comme garant de la vérité de cette chose. Si on suppose la fausseté de cette chose, la vérité est un échec.

Ex : « ces rideaux sont jaunes » et qu'une personne dit qu'ils sont oranges, alors la première personne subit un échec.

Chaque énoncé est vêtu d'une fonction performative car l'interaction sociale est nécessaire.

Searle distingue des types d'actes :

acte assertif

acte directif

acte promissif

acte expressif

acte déclaratif

Ces types d'actes présument la structure profonde des relations entre interlocuteurs. Il ya des différences d'intensités de la force de l'acte

Ex : je pense < je jure.

Il y a des énoncés différents mais qui impliquent le même acte. Austin avait imaginé trois étages de phénomènes que Searl a repris.

Tout acte de langages, représente est forcément la combinaison entre un phénomène locutoire, perlocutoire, et un phénomène illocutoire.

La dimension perlocutoire concerne les conséquence réel de l'acte. Un acte promissif engage forcément un comportement du locuteur.

La dimension illocutoire, c'est la façon dont l'énoncé représente l'acte de langage qu'il porte.

Ex : Je viendrai demain – Je vous promet que je viendrai demain.

→ Les deux énoncés ont un acte de langage identiques (promissif) mais dans le second, le verbe « promettre » est un marqueur illocutoire qui rend l'énoncé encore plus promissif.

Il existe des énoncés où il n'y a aucun marqueur illocutoire.

Dans

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