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Rédaction français

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Par   •  25 Juin 2019  •  Lettre type  •  418 Mots (2 Pages)  •  477 Vues

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À Dieppe, le 18 décembre 1871

Chère amie,

J’espère que je ne te manque pas trop, parce que toi si. Mes journée sont si fade, et comme à l’habitude, je n’ai personne à qui parler ici. En y repensant, tu étais la seule ma brave, à vouloir m’adresser la parole. Je comprends, je suis une honte public, un déchet, un être impur. Tes mots réconfortant me manque. Si tu savais ce que j’ai du faire pour parvenir à Dieppe. Mais je ne regrette pas. Jamais je ne me serais pardonner d’avoir hébergé un Prussien. Ces barbares, pillent, tuent, violent, et nous avons comme devoir de les nourrires. j’espère d’ailleurs que tu ne m’en veux pas d’être partie si vite, j’étais dans la précipitation. Enfin, revenons à l’histoire du pire périple de ma vie. Celui qui m’a fait ouvrir les yeux sur la race humaine, la pauvre Elisabeth tu dois te dire, je l’ai prévenu des centaines de fois qu’elle était trop niaise pour ce monde. Mais j’ai du me débrouiller seule cette fois puis-ce que tu étais absente. J’ai pris une voiture, ce lundi matin, accompagné de 9 autres arrogantes personnes. Je me sentais observée, scrutée et jugée mais je t’ai écouté. J’ai toujours gardé la tête haute.  Alors, de l’hotel de Normandie nous sommes partie, encore fatigué, réveillé si tôt ce matin là. Il faisait un froid de canard et dans le noir on arrivait à peine à distinguer les silhouettes qui montaient dans la voiture. Tu sais, je les entendais parler de moi, ils s’amusaient bine, ah oui, ça ils s’amusaient. J’entendais les mots de « prostituée », « honte public ». Ne crois en aucun cas que j’ai baissé les yeux, non, je leurs ait fait face jusqu’à installé dans la voiture un silence pesant. Enfin pendant plusieurs heures j’ai continué à les ignorer et je me suis occupée de me distraire. Quelques fois, je m’amusait discrètement avec le foin au sol en bougeant mes pieds en rythme, j’examinais aussi, sans que personne s’en aperçoive, les visages des autres personnages. Finalement, aux alentours de dix heures du matin, la faim frappa mon estomac mais je n’osais pas sortir les provisions à la vues de tout le monde, il semblait qu’ils avaient tous oubliés d’apporter de la nourriture et se retrouvait maintenant sans aucun marchands aux alentours , destiné à ne rien avaler pendant encore des heures. Je les observais paniquer, s’arrêter à toute les fermes qu’on croisait alors que j’hésitais à sortir mon panier malgré l

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