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Ultima Verba

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elle est la science des principes premiers et universels ; ce n'est pas une science pratique, d'une utilité immédiate; elle est la dernière qui paraisse entre toutes les autres; citation de Simonide; grandeur et sublimité presque divine de cette science ; elle cherche à savoir uniquement pour connaître la vérité.CHAPITRE III. — La philosophie est l'étude des causes premières ou principes ; quatre espèces de causes : la substance, la matière, l'origine du mouvement et le but final ; citation de la Physique; les premiers philosophes s'attachèrent à l'idée de la matière; ils sont unanimes à cet égard; mais ils diffèrent sur le nombre des principes; Thalès se prononce pour l'eau : les Théologues, Hippon, Anaximène et Diogène se prononcent pouf l'air; Hippase et Héraclite, pour le feu; Empédocle admet les quatre éléments; insuffisance de ces systèmes, aboutissant tous à l'unité de l'Être; nécessité d'une recherche plus profonde, et d'une cause autre que la matière; Parménide la pressent; Anaxagore de Clazomènes la trouve dans l'Intelligence ; immensité de cette découverte ; Hémiotime de Clazomènes.CHAPITRE IV. — Hésiode et Parménide; puissance de l'Amour: Empédocle admet deux principes : l'Amour et la Discorde ; citation de la Physique; insuffisance de tous ces systèmes; critique d'Empédocle ; ses défauts et ses mérites; Anaxagore ; Leucippe et Démocrite ; leurs systèmes du plein et du vide ; ils expliquent tous les phénomènes à l'aide de trois différences; résumé sur les deux causes, substance et mouvement.CHAPITRE V.— Philosophie des Pythagoriciens ; passionnés pour les mathématiques, ils font des nombres les principes des choses; leurs travaux sur l'harmonie musicale ; ils appliquent le nombre à l'explication des phénomènes célestes; leurs hypothèses hasardées: l'Antichthôn; ils font du nombre la cause matérielle des êtres; théorie de quelques autres Pythagoriciens; la double série des dix principes opposés; Alcméon de Crotone, plus jeune que Pythagore ; infériorité de son système; philosophie de l'unité, Parménide et Mélis-sus; Xénophane admet l'unité en Dieu; citation de la Physique; Parménide forcé de rompre son unité et de reconnaître deux causes; résumé de toutes les philosophies antérieures; mérites et défauts des Pythagoriciens.CHAPITRE VI. — Philosophie de Platon; ses rapports avec les Pythagoriciens, Héraclite et Cratyle; influence de Socrate sur Platon ; la théorie des Idées sortie de ces influences diverses; exposition de cette théorie; comparaison do Platon et des Pythagoriciens; leurs différences.— Résumé des recherches antérieures; citation de la Physique; les philosophes anciens se sont attachés presque uniquement à la cause matérielle; ils ont traité à peine la question de l'essence et la cause finale; exactitude de la théorie de l'auteur prouvée par cette histoire du passé; examen plus détaillé des opinions des philosophes sur les quatre causes.CHAPITRE VII.— Critique des théories antérieures qui n'admettent qu'un seul principe, la matière; elles négligent les choses incorporelles, et elles ne. tiennent compte, ni du mouvement, ni de l'essence des choses, ni des transformations des éléments entre eux ; rôle de la terre dans ces théories ; citation d'Hésiode ; théories qui admettent plusieurs éléments; critique d'Empédocle; critique d'Anaxagore; critique des Pythagoriciens et de leur théorie des nombres ; critique générale de la théorie des Idées de Platon; cette théorie multiplie inutilement les êtres sans expliquer la réalité ; elle crée des homonymies sans substance réelle; elle se fonde sur des démonstrations insuffisantes et des définitions arbitraires; elle suppose entre les Idées et les Êtres un ternie commun, qu'elle ne peut désigner; elle ne peut rendre compte du mouvement, ni même des idées prises pour exemplaires des choses ; citation du Phédon ; confusion des Idées avec les nombres; oubli du mouvement, des longueurs, des surfaces et des solides; les Idées ne peuvent servir à expliquer la science. Résumé général de cette critique des philosophiez antérieures; citation de la Physique; conclusion.LIVRE IICHAPITRE PREMIER: — Difficulté de découvrir le vrai, le progrès s'obtient par le concours des efforts réunis; la splendeur même des phénomènes éblouit notre esprit ; reconnaissance due & tous ceux qui cultivent la science; chacun a son utilité particulière ; la philosophie est la science spéculative de la vérité ; elle est la plus vraie de toutes les sciences, parce que c'est par elle que les autres peuvent être vraies.CHAPITRE II. — Nécessité absolue d'un premier principe en toutes choses; impossibilité d'une série infinie sous le rapport de la matière, du mouvement, du but final et de l'essence ; double sens de l'idée de génération ; simple succession dans le temps; conséquences fâcheuses de la doctrine qui admet la série infinie des causes.CHAPITRE III. — De la méthode à suivre en philosophie et dos diverses modes d'exposition; influence de l'habitude sur les auditeurs et les élèves; exemple des lois; les formules mathématiques; limites dans lesquelles il faut les employer; on ne doit pas confondre la science et la méthode qu'on y explique; méthode propre à l'étude de la nature.LIVRE IIICHAPITRE PREMIER. — Utilité de bien poser les questions pour arriver sûrement aux solutions qu'on cherche; impartialité vis-à-vis de tous les systèmes; énumération des questions préliminaires; indication spéciale de quelques-unes des plus importantes, et notamment de la nature particulière des principes, selon qu'on les sépare des choses ou qu'on les trouve dans les choses mêmes.CHAPITRE II. — Enumération des questions diverses qu'on doit se poser; de la multiplicité des sciences appliquées à l'étude des principes; caractère propre des mathématiques, auxquelles l'idée du Bien est étrangère; critique d'Aristippe; importance supérieure de la science qui s'occupe du but final et du bien dans les choses; des principes de la réalité, et des principes de la démonstration; c'est à une seule science de s'occuper de ces deux ordres de principes; des êtres étudiés en eux-mêmes et dans leurs attributs essentiels; des êtres en dehors des êtres sensibles; critique nouvelle de la théorie des Idées et de la théorie des êtres intermédiaires; conséquences insoutenables de ces deux théories, et spécialement de la dernière, qui mène au renversement de toutes les sciences.CHAPITRE III. — Discussion nouvelle sur les genres; sont-ils les principes des choses? Ou les principes des choses ne sont-ils pas plutôt les éléments matériels dont les choses se composent? Arguments en sens contraires; les genres étant nécessaires à la définition, ils semblent devoir être pris pour principes; réponse à cette objection; l'Un et l'Être ne peuvent être des principes; les espèces ne peuvent pas davantage être des principes; en résumé, ce sont les genres les plus élevés qui peuvent paraître des principes plus que tout le reste.CHAPITRE IV. — Nouvelles objections en sens opposés pour et contre l'existence des genres indépendante et séparée des choses ; conditions nécessaires de la science ; il faut de l'universel et de l'éternel; de la diversité et de l'uniformité des principes, selon que les choses sont périssables ou impérissables; citation d'Hésiode; idées grossières qu'on se fait vulgairement des Dieux, considérés comme auteurs et principes des êtres; citations diverses d'Empédocle; ses contradictions; de la nature des principes ; de l'Un et de l'Être pris pour la substance des choses ; Platon et les Pythagoriciens ; impossibilités de cette théorie ; des rapports de l'Unité et de l'Être avec les Nombres; réfutation de Zénon sur l'indivisibilité de l'Un; son système conduit à l'absolu nihilisme; il ne peut expliquer, ni la multiplicité des êtres, ni les grandeurs.CHAPITRE V. — De la nature des points, des lignes et des surfaces ; on a essayé de les prendre aussi pour la substance des choses ; opinions en sens contraires ; en faire des substances réelles, c'est détruire toute idée de la substance, et aussi de la production et de la destruction des choses; les points, les lignes et les surfaces ne sont que des limites et des divisions, ainsi que l'instant.CHAPITRE VI. — Retour à la critique de la théorie des Idées; nouveaux arguments contre et pour cette théorie, et sur la nature des êtres mathématiques ; autres questions analogues sur la nature des principes, qui peuvent être, ou simplement possibles, ou absolument réels ; de l'existence des Universaux ; il n'y a que des êtres individuels.LIVRE IVtexte grecCHAPITRE PREMIERDe la science spéciale de l'Être considéré uniquement en tant qu'Être, avec ses attributs essentiels ; cette science est distincte de toutes les sciences qui étudient l'Être sous un point de vue particulier.CHAPITRE IIDes acceptions différentes du mot Être ; exemples à l'appui; de la science qui étudie l'Être en tant qu'Être; les sciences spéciales n'étudient que des espèces de l'Être; identité de l'Un et de l'Être; citation du Choix des contraires; une même science connaît les contraires opposés ; différence de la négation et de la privation ; réduction de toutes les oppositions à celle de l'unité et de la pluralité ; rôle de la philosophie dans

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