Colina

développement :

Il est clairement séparé de l’introduction (en sautant trois lignes par exemple). Evitez si possible de numéroter les parties et de les titrer (certains correcteurs n’aiment pas du tout).

Chaque partie est soigneusement rédigée, séparée de la suivante par un saut de ligne. Il faut aussi mettre en valeur l’argumentation en construisant des paragraphes (un paragraphe par idée importante). Ne restez pas dans le vague et l’imprécis : appuyez toujours votre argumentation sur des exemples précis. Il s’agit bien de développer, donc on ne fonctionne pas par sous-entendus ou avec des points de suspension ou des etc. !

Il faut chercher à équilibrer chaque partie du devoir. Il y en a toujours au moins deux, la règle est de trois, parfois quatre, mais jamais plus.

La conclusion :

Il ne faut pas la négliger. Elle doit d’abord apporter une réponse à la problématique posée en introduction. Il est assez efficace de reprendre le questionnement établi dans cette introduction selon une formule identique ou voisine dans la conclusion, avec la réponse en plus.

Dans une seconde partie, la conclusion peut ouvrir sur d’autres interrogations sur le même thème mais selon un autre axe que le sujet donné ou sur d’autres considérations chronologiquement en Histoire, spatialement en Géographie.

Comment procéder avant d’engager la rédaction :

- lire et comprendre le sujet.

- sur un brouillon, établir les grandes idées, relever les éléments du cours à mobiliser.

- sur un autre brouillon, construire le plan dans ses grandes lignes en n’oubliant jamais la problématique du sujet.

- rédiger au brouillon, le plus scrupuleusement possible, l’introduction. La recopier au propre quand on est sûr de son résultat. Il n’y a aucune faute d’orthographe dans toute l’introduction.

- sur d’autres feuilles de brouillons, une par partie, préciser les éléments qui seront développés dans chaque partie du développement. On peut faire ce travail en le segmentant : brouillon, rédaction au propre de la première partie, brouillon, rédaction au propre de la seconde partie… Il est sans doute inutile de rédiger entièrement le développement au brouillon avant de le recopier au propre. En laissant le brouillon avec une formulation inachevée, vous vous obligez à rédiger plus lentement au propre, donc avec moins de fautes de forme et plus de réflexion sur le fond.

- Comme pour l’introduction, il faut rédiger le plus soigneusement possible la conclusion, totalement au brouillon, avant de la recopier au propre. Il n’y a aucune faute d’orthographe dans toute la conclusion.